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Nom : Katsura Akihiko
Classe : Fanatique
Race : Humaine d’Ynorie
Age : 17 ans

Description physique et de la personnalité :

Katsura est assez menue, il faut dire qu’elle ne fait pas vraiment son âge. Ses traits sont restés assez poupins et son innocence naturelle ne fait qu’appuyer cette impression juvénile. Somme toute, elle est assez banale : des cheveux noirs de jais, de petits yeux bridés foncés ; on pourrait toutefois noter que son teint est bien plus pâle que celui de ses congénères (et même que celui de sa propre famille).
Katsura est une jeune fille assez naïve, à tel point qu’elle s’embarque souvent dans des ennuis bien malgré elle.
De nature joviale, elle aime rencontrer de nouvelles personnes pourtant on pourrait croire à une jeune fille timide et introvertie : en effet, assez discrète, elle parle peu et passe son temps libre dans des activités manuelles ou cérébrales tels la peinture ou encore la poterie et la céramique.
Katsura mange et dort très peu en revanche, elle boit beaucoup et il lui arrive couramment de faire plusieurs fois sa toilette par jour.
Ce petit être très lunatique oscille régulièrement entre une bonne humeur rayonnante et une mélancolie profonde.
Elle supporte très mal d’être ce qu’elle est et de posseder une magie qui semble bien sombre. La haine que lui porte sa mère ne fait que la ramener continuellement à ce fardeau qu’elle voudrait pourtant ne pas avoir à porter.
De ce fait, elle s’efforce de ne jamais manifester ses capacités. Depuis toujours, elle n’a jamais utilisé ni entraîné sa magie.

Biographie (résumé) :(je suis désolée, je n’ai vraiment pas su faire plus court …)

Si l’histoire de Katsura commençait à sa naissance les choses auraient pu être bien plus simples que ce qu’elles ne le sont. Malheureusement, c’est une histoire transgénérationnelle et de tradition qu’il me faut vous conter.

Il y a de cela douze générations, la belle Mizuki commença à manifester dès son plus âge des tendances étranges et malsaines qui effraya son entourage. Sa mère ne sachant vers qui se tourner tenta de sauver son enfant en la baignant de prières et de purifications.
La religion devint un véritable tombeau pour Mizuki qui s’y enchaîna corps et âme.
Elle s’imposa une vie acétique qui lui permettrait à terme d’atteindre LA vérité spirituelle. Elle priait jour et nuit Zewen et ne cessait d’honorer ses ancêtres.
Peut-être trouvait-elle dans cette pratique inhabituelle une manière de canaliser ses démons, peut-être encore était-ce pour exorciser ses pulsions inassouvissables, peut-être encore était-ce comme le disait les habitants du village la preuve d’une profonde folie incurable.
Pour ne pas déroger à la coutume de ses racines, elle prit mariage dès qu’elle fut en âge. Malheureusement, avant même d’avoir consommé son union, Mizuki tomba malade et une poussée de fièvre l’emporta dans la nuit qui suivit.

Sa plus jeune sœur, Namiko, était sur le point d’accoucher lorsqu’on vint lui apprendre la nouvelle du décès de sa sœur. Le travail avait déjà commencé mais il semblait que l’enfant ne naitrait pas avant le lever du jour.
Lorsque son mari vint à son chevet et eut fini de lui apprendre cette terrible nouvelle, sous l’effet de l’émotion Namiko eut une nouvelle série de contractions qui menèrent à l’accouchement. A l’instant où l’enfant nouvellement né lui fût donné à voir, Namiko fût immédiatement convaincue que sa sœur bien-aimée ne l’avait pas abandonnée. L’enfant avait dans le regard cette même lueur qu’avait Mizuki : une absence comme-ci rien ici-bas n’avait d'importance et que la vraie vie se trouvait ailleurs.
Namiko traita donc l’enfant non pas comme tel mais comme la réincarnation de sa défunte sœur. Elle ne fût jamais infantilisée, n’eut jamais l’occasion de s’adonner aux jeux d’enfants, d’être prise dans les bras de sa mère ou de jouer sur les genoux de son père.
Non, elle devait poursuivre ce qui avait commencé avant « sa » mort. Ainsi, l’histoire sembla se répéter et sous l’obligation maternelle, la foi devint son lot quotidien.
Sur son lit de mort, Namiko fit promettre à sa fille, Yume, de perpétrer la mémoire de Mizuki comme elle l’avait fait avec elle : en choisissant l’une de ses filles pour se dévouer au culte de Zewen.
C’est ainsi que commença cette tradition familiale qui se perpétue depuis 11 générations.

Bien sûr, les générations futures transmirent cette tradition moins scrupuleusement, n’imposant pas à leur descendance de telles restrictions. Néanmoins, il fut admis qu’une fille de chaque génération soit choisie pour prier pour le bien de sa famille et pour honorer les ancêtres couramment. Se chargeant ainsi d’encenser chaque jour l’autel familial ; honorant les défunts à leur date anniversaire ; priant pour le prompt rétablissement d’un malade, la bonne couche d’une future mère, la bonne arrivée dans l’au-delà d’un mourant, …

Actuellement, et ce depuis plusieurs générations, la tradition s’étiole. Avec l’évolution des mœurs et du système de pensées des Ynoriens, ces obligations deviennent fardeaux pour celles qui ont à le porter. Cependant, cette petite révolution silencieuse reste jusqu’ici des pensées intériorisées qu’aucune n’oserait transmettre à quiconque.
Ainsi elles continuent d’honorer leur mère et transmettent cette tâche à l’une de leur fille.
On ne peut donc plus vraiment dire que la dévotion infinie dont elles font preuve se situe dans l’adoration à Zewen (comme ce fut pourtant le cas pour les premières générations). Aujourd’hui la dévotion se situe plutôt dans cet attachement inconditionnel à la tradition familiale. Chacune de ces femmes place sa famille bien au-dessus de son bonheur personnel et de celui de ses enfants. Honorer - quitte à souffrir- la volonté de cette vieille ancêtre.

La tradition faillit bien s’éteindre avec la mère de Katsura, Tamaki. Celle-ci eu cinq filles et à la naissance de chacune d’entre elles, elle postposait son obligation familiale :

« Pas celle-ci, disait-elle, regarde-là elle est si belle, si petite, si pure. Je ne peux me résoudre à lui demander ça ! »

Il faut croire qu’au regard de cette femme, ce choix était cornélien.
Katsura devait être moins belle, moins petite, moins pure que ses sœurs car elle fût choisie. Par la suite, sa mère lui répéta souvent que si elle l’avait choisie c’est pour qu’elle souffre. Oui elle devait souffrir autant qu’elle avait fait souffrir sa mère.
Katsura ne compris jamais vraiment ce que cela signifiait mais à force de répétitions elle finit par accepter l’idée que bien qu’elle ne puisse s’en rappeler, elle dut durant sa tendre enfance faire une chose si terrible que sa mère n’eut d’autre choix que de la punir en lui léguant sa croix.

Croix qui le fut d’autant que Tamaki ne se contenta pas de prières sporadiques, d’encens et de chants à l’aube. Non, une punition est une punition et pour ce faire elle renoua avec l’acétisme dont faisait preuve son illustre arrière-grand-mère. Ainsi elle imposa à sa fille de longue nuit de prières et de méditation ; des privations en terme de nourriture et de sommeil ; des bains glacés purifiants ; des humiliations et des traitements physiques censés l’aider à s’ouvrir l’esprit ; … Sa colère était sans limite et jamais rien n’apaisait la haine qu’elle ressentait.

Par la suite, en grandissant, Katsura se mit à manifester une étrange aura, assez sombre.
Pire, la magie qu’elle semblait maîtriser était une magie obscure, étrange.
Pour sa famille et ainsi pour elle, cette étrange faculté n’était autre que la preuve qu’un terrible mal l’habitait.
Sa mère l’avait bien choisie, peut-être par la prière, comme cette lointaine grand-mère Mizuki, pourrait-elle canaliser ce qui se terre en elle.

Vraiment l’histoire ne fait que se répéter.

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Armes et bouclier :

En main principale : Dague " Serpent " (For +1) (1 chance sur 5 d'ajouter +2 de dégâts de poison en frappant. Empoisonnement automatique si réussite critique)
En main secondaire :

Armure(s) :

Protection pour le torse :

Protection pour la tête :

Protection pour les jambes :

Protection pour les bras :

Cape :

Bijoux Magiques :
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Sac (Encombrement = 0/20) :
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Or : 50 Yus
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Magies Acquise(s) :
- souffle de thimoros -2PV/lvl

Capacités de combat (CC) :

CC sans arme acquise(s) :
-

CC avec arme acquise(s) :
-

CC avec arme de jet acquise(s) :
-

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PV: 20/20
PM: 2/2 (ombre)
PKi :1/1
Nombre d'xp nécessaire pour changer de niveau : 10
Niveau : 1
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ville de départ: Continent de Nirtim, République d’Ynori , aux alentours de la ville d’Onaran

Réputation :
République d'Ynorie : 0/100 (renommée), 0/100 (infamie)

Dieu vénéré : Zewen
Dieu(x) prié(s) régulièrement : (selon le besoin) Valyus, Jeri
Dieu(x) non-reconnus : Uniquement des dieux inconnus : Kubi, Sithi, Selhinae, Oaxaca, Koushuu