De styles divers, au vu des trois peuples habitant la petite cité – earions, kendrans et sinaris – les habitations de Dehant n’en sont pas moins toutes coquettes et plutôt récentes. L’entretien de celles-ci fait l’honneur des habitants de la bourgade, qui prennent un malin plaisir d’en décorer les fenêtres de bacs fleuris, pour le plus grand plaisir des semi-hommes. Confortables et accueillantes, vous serez toujours bienvenus à la table de l’une d’elle. Mais uniquement si vous n’amenez pas dans vos bagages des soucis et autres tracas : Dehant n’aime rien de plus que sa paix, et sa tranquilité.

Ⅱ-Partie 2 :
IL me mena dans une salle aérée par une petite fenêtre qui donnait accès à un petit jardin où des fleurs poussait et dont trois batiments l'encadrait. L'homme en m'invitant à m'assoir dit qu'il avait construit se petit jardin de ses propres main pour sa petite fille qui aimait les fleurs. Et il dit :

IL y avait une cave à vin là autrefois d'ailleurs cette maison à été une taverne avant que son ancien propriétaire ne meurt et que sa maison ne brule. Cette épisode fut une époqe sombre dans le quartier. Les enquêtes n'ont rien trouver.Son regard s'assombri et il fixa le jardin du regard comme si quelque mauvais souvenir resurgisait.

Une femme arriva avec un plateau, et la petite fille ammena le couvert. Puis il m'invita à manger après avoir bénnis le repas en priant Gaia, il discuta avec moi en se présentant :

Je me nomme Artemis et voici ma femme Geunièvre et ma fille Nina. Ton père a dus te parler de moi. Nous étions tout les deux dans le même escadron quand on était dans l'armée d'Eniod et que nous luttions pour son imdépendance

Je me remémorais les récits de mon père mais elles étaient trop longue et datait de mon enfance.

Pas vraiment

Biensur, c'était il y a longtemps je ne me rappelle plus de tout. IL me souris.

Je te conseil d'intégrer la milice de Dehant au lieu de l'armée

Quoi?! mais....

Je comprend ton enthousiasme mais l'armée être dans l'armée est très difficile crois en mon expérience Puis il se leva et alla prendre un papier dans le tiroir et il me la tendis.

Tient voici une lettre de recommandation que j'ai faite pour que tu puisse entrée dans la milice. Je connais quelqu'un là bas. Et me souriant, il ajouta :
J'ai racroché mon épée depuis longtemps, maintenant je suis marchand et j'ai une belle famille

Pourquoi tu es si sale ? La petite fille venait de parler

J'ai voyagé, on est toujours sale après un voyage


Tu peux rester chez nous si tu n'as nul part où aller

Oui, merci mais je voudrais d'abords aller m'inscrire à la milice

Repose toi, un peut avant d'y aller

C'est comment ? Chez toi. La petite fille venait de me posé une nouvelle question.

C'est assez beau, au Sud tu peux voir la mer toute bleu, à l'Est et à l'Ouest il y a des collines et des pleines vertes et au Nord la forêt.

Papa, est ce qu'on peut aller là bas

Ne dit pas de sottise Nina, c'est trop loin. Et on peut aussi voir la mer ici

Artémis ne dis rien et se contenta de sourire

Je t'enmmènerait voir mon pays un jour, tu verras ma mère fait la meilleur soupe du monde et il y a plein d'endant là bas

Hi hi

La petite fille était toute heureuse comme ci j'allais l'y amené demain pour y faire une balade et que nous serions de retour demain soir. Je souris à cette idée enfantine car j'avais fais le voyage en plusieur mois et pas sans danger.
Je m'amusa ensuite avec la petite fille en cueillant des fleurs et en la portsnt mais je calma bien vite mon ardeur quand je sentis mes bléssur les spus mes bandages que je cachait sous ma cape et mes vêtements.

Je suis partis quand Nina c'est endormie épuissé par nos jeux. Je devais encore aller voir la milice. En passant par le salon je compris mieux les mots de l'homme en voyant une épée acrochée au mur prêt de la cheminée.

Ⅲ-partie 2
Je pénétrais dans le domicile me sentant assez bête. Le sergent dit sans perdre de temps :

Eran tu reste ici pour surveiller, le reste avec moi.

Nous montâme l'escalier même si avec la vitesse à laquelle nous montions, la situations ressemblait plus au verbe voler que monter, il y avait quatres portes dans cette étage. Assez vite le sergent s'arrêta sur la troisième porte où devait se trouver une chambre. Et d'un puissant coup de pied, il défonca la porte et y fus éruption avec l'acher et moi à ses côtés. Un elfe bleu était sur un lit surpris de voir un homme avec un grand marteau en armure et une barbe hirsute entrer dans sa chambre, mais ayant toujours la politesse d'entrer sans avoir oublié de frapper si l'on peut dire les choses ainsis.

Hein mais qu'est ce que vous faite ici ?

Vous êtes bien Legas

Oui, mais pourquoi vous... arrêter lachez moi

Le sergent l'avait maitrisé par un clé de bras, et en un temps records l'attacha. Les mains liées, le sergent l'amena en bas en disant :

Fouillez tout !!

Je me contenta de toucher le lit et de regarder tout ses angles comme si c'était quelque chose d'important tandisque mon autre comparse "fouillait tout" avec une ardeur que je respectais, il blayait de la main tout ce qui se trouvaient sur une table, il ouvrit un armoir et jeta tout ce qu'il y avait par terre, il fit comme cela pour tout ce qui se trouvaient dans la chambre. N'ayant rien trouver je déscendis, je ne fut pas étonnés de voir un désordre total en bas.

Alors qu'avez vous trouvez

Je n'ai rien trouvé sergent

Rien à signaler non plus sergent avait dit Eran, tenant une planche à moité arracher. Je me demandais d'où cela venait.

Vous m'arrêtez sans raison. Attendez que je rapporte celà à l'hotel de ville vous allez perdre votre grade et bien plus. Après, vous finnirez par labourer les champs. Avait dit l'elfe bleu avec amertume.

Le sergent commenca à palire, j'enfut étonné car un simple civil n'avait pas les moyens ni les pouvoirs de destituer un sergent de la milice pour aucun motif, alors pourquoi il avait peur ?

Regarder sergent ca, c'étais sous une planche du lit. Mon acolyte était descendus tenant un arc elfique à la main avec un carquois remplis de flèches noires.

Bien, ton compte est bon l'elfe

Eran resta dans la maison tandisque nous sortions pour amener le prisonnier à la base.