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 Sujet du message: Voyages maritimes génériques
MessagePosté: Sam 22 Sep 2018 17:03 
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Voyages maritimes génériques.



Ce sujet sert à poster tous les voyages maritimes, au sein d’un continent ou entre deux continents, dont le navire n’a que peu ou pas d’importance dans le RP du joueur, afin de ne pas encombrer les sujets des voyages avec d’innombrables sujets de navires utilisés une seule fois. Considérez les navires de cette section comme des navires à vitesse X1 pour la durée des trajets.

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 Sujet du message: Re: Voyages maritimes génériques
MessagePosté: Sam 22 Sep 2018 17:05 
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(((Trajet maritime de Kendra-Kâr à Tulorim, vitesse x1, 14 jours)))

Le temps d'acheter quelques babioles, un peu de nourriture au cas où, des fruits secs, de la viande salée, quelques pains sans levain, une gourde d'eau supplémentaire, et l'heure d'embarquer est vite là. Pas question de profiter plus que cela de la capitale, il n'y a guère de place pour les gens comme moi dans les rues. Les hommes d'arme peuvent encore passer relativement inaperçu sur le ports, équipage de navire en repos, soldats en transit, mercenaires à la recherche d'un contrat, toute cette faune est étroitement surveillée par la milice ; une fois en ville, c'est autre chose, avoir l'air menaçant ne me semble guère recommandé. Et puis les gens comme moi... ça ne tient pas qu'à ma vêture, qu'à mon équipement : je suis plus un homme de halliers que de ruelles, d'épaisses frondaisons peuvent obscurcir mon ciel lorsque je parcours les chemins, jamais des façades trop hautes, des balcons et des avancées de toit. Shory c'était ma limite. Oranan, je n'y avais guère mis les pieds dans mon autre vie. Les bourgs des Duchés c'est autre chose, et de toute façon des lieux de passage.

Ce n'est pas non plus un soulagement de voir arriver le canot. Une grande barque qui en plus de quelques marins contient des marchandises, des vivres, des outils. Je ne doute pas que l'esquif nous amènera tous jusqu'au navire, qu'il a sans doute été conçu par de bons charpentiers pour faire son office. En tant qu'ancien bûcheron, j'ai une certaine estime pour le travail de ceux qui prennent en charge le bois après l'abattage. Estime c'est une chose, confiance en est une autre. De toute façon, tout ce qui flotte et tangue sur une étendue d'eau où je n'ai pas pied ne me met pas à l'aise. Pour ce que j'en sais, l'océan vaut bien la terre ferme en termes de menaces : il y aura toujours quelque chose d'assez gros pour envoyer des âmes à Phaïtos.

Alors autant dire que je n'en mène déjà pas large après avoir gravi l'échelle de corde plaquée contre la coque du navire. Je m'y tenais comme si ma vie en dépendait, ce qui était en quelque sorte le cas. La barque montait et descendait sous mes pieds, je ne lui faisais guère confiance pour amortir la chute de mon corps, chargé comme je l'étais, je m'attendais surtout à couler à pic. Me voilà bien... rongé par les angoisses à peine sur le chemin d'un voyage que j'espère salutaire... Encore faut-il que je parvienne à destination. Le discours du capitaine à ce sujet est éloquent. En quelques mots bien sentis, des formules cures et efficaces, il fait comprendre l'essentiel à tous ceux venus se greffer à son équipage : obéir à ses ordres, ne pas déranger les manœuvres, ne pas faire d'esclandre, défendre le navire parce que c'est le seul moyen de sauver notre vie – il tuera de ses mains les pleutres s'ils survivent, ou reviendra les hanter – et enfin prier les dieux avec toute la ferveur possible. Avant de lever l'ancre, nous nous réunissons tous sur le pont pour une cérémonie censée nous attirer les faveurs divines. J'en profite pour me mettre dans l’œil les différentes physionomies et il ne me semble reconnaître personne : tant mieux. Le capitaine Charon brûle une résine odorante sur un petit trépied de bronze et invoque Rana. Je reprends en cœur avec les marins les répons à sa prière. Je comprends qu'il n'est pas que question de vents favorables, mais également dans leur croyance, d'une lucidité pour le capitaine, agir sagement face aux menaces, interpréter les signes avec lucidité. Les cendres sont dispersée dans une bourrasque avec le dernier verset. Vient ensuite l'offrande à Moura. Là encore, ma voix se joint aux autres pour honorer cette déesse pour laquelle je n'avais jamais jusque là priée. Pour se concilier les grâces de cette puissance tutélaire des océans, la force pour voguer jusqu'à bon port, tenir dans la tempête, l'éloignement de tout ce qui vit et menace dans l'océan, de bonnes pluies pour avoir toujours de l'eau douce dans les barriques, Charon ne regarde pas à la dépense : il sacrifie un chevreau qui aurait sans doute constitué un excellent repas, s'entaille l'avant-bras pour laisser couler quelques gouttes de sang à la mer à la suite du cadavre de l'ovin et enfin livre aux profondeurs deux sabres de bel acier.

Au cours de la traversée, lorsque je ne dégueule pas tripes et boyaux par-dessus le bastingage quand la mer est trop forte, j'ai l'occasion de repenser à cette cérémonie. Un drôle de prêtre que nous avions là et des fidèles tout aussi originaux. Pourtant j'avais trouvé là une atmosphère particulière que jamais je n'avais rencontré, même dans un temple. La prière était sans doute la plus sincère que j'avais jamais entendu de ma vie. Cela tenait-il au dénuement de la scène ? A la conviction pour tous ces gars, conviction contagieuse, que leur survie dépendait de la piété du moment. Et j'ai prié avec eux. Pas seulement par ma voix, aussi un peu dans mon cœur. J'avoue être un peu déstabilisé de m'être ainsi senti entraîné.

La chance, la volonté des dieux et le génie des hommes engagés dans cette expédition rendirent cette traversée paisible. Deux événements vinrent troubler le déroulement serein du voyage. Le premier nous maintint en alerte : au loin, une voile s'était profilée au septième jour, semblant se rapprocher de nous. Le vent nous fut favorable et les manœuvres avisées du capitaine nous mirent bien vite hors de vue. Nous ne saurions jamais s'il s'agissait d'autres commerçants, d'un bâtiment militaire ou d'une menace bien plus certaine. Les deux jours suivant, l'attention de la vigie fut bien plus soutenue, car notre vitesse avait décru et nous n'étions pas à l'abri d'un revers de fortune.

L'autre survint alors que je me tressais avec d'autres matelots des cordes, pour passer le temps et occuper les mains, la patience s'émoussant au dixième jour de la traversée. La vigie avertit le capitaine qu'il apercevait des jets au loin. Aussitôt, ce fut la ruée pour grimper au mat, apercevoir les créatures avant les autres. Une nouvelle trajectoire fut adoptée pour nous en approcher plus encore. Étant resté sur le pont, j'aperçus plus tardivement, bien après les cris d'exclamation, les hourras, ces formes puissantes qui émergeaient à intervalles régulier des flots. Remarquant ma surprise et extrapolant avec justesse mon statut de terrien invétéré, un gars avec qui j'avais sympathisé, Rolund, m'indiqua qu'il s'agissait de baleines. J'en restais tout émerveillé et surpris à la fois. Pour autant que je pouvais en juger, il y en avait de toutes tailles et probablement des petits dans ce troupeau océanique. Et quelle taille ! Il me semblait qu'une d'elle aurait pu sans peine renverser notre navire. J'en conçus une crainte nouvelle ainsi qu'une forme d'admiration immédiate. Comment des créatures aussi massives pouvaient onduler avec une telle grâce ? On les aurait dit aussi à l'aise dans l'onde que les oiseaux dans le ciel. Rolund m'indiqua que certains navires les chassaient sur l'océan, traquant les spécimens les plus petits, les perforant de harpons pour les ramener et récupérer leur lard pour en tirer une huile de grande qualité. Il y avait quelque chose de fou dans cette déclaration. Quel courage ou quelle folie fallait-il donc pour s'en prendre à une telle montagne de vie ? Quelle force aussi ? Je savais traquer une bête dans la forêt, la montagne, me hasardant même parfois dans la neige et le froid lorsque les circonstances l'exigeaient, ma vie avait déjà été en jeu face à un liykor qui me dépassait en force brute. J'ai rencontré des hommes qui prétendent que des bêtes grandes comme des collines et dotées d'immense défenses arpentent Nosvéris et qu'il est des hommes pour les mettre à mort : cela, je le comprenais. Pour qui coure assez vite et sait se cacher, la terre ferme offre presque toujours une échappatoire. Mais ça... Oui, il faudrait être fou pour s'aventurer sur cette étendue immense et sans refuge dans le seul but de mettre à mort ces baleines majestueuses.

Leur route divergeaient de la nôtre, elles se dirigeaient vers le cœur de l'Aéronland, tandis que nous devions voguer vers le sud. Alors nous les perdîmes de vue. Elles ne quittèrent pas mes rêves jusqu'à notre arrivée en vue de Tulorim.

Le capitaine Charon me propose de participer au déchargement de la cargaison du navire en échange de quelques yus. Une proposition que je ne peux pas refuser. Après toute cette inactivité forcée, je me sens presque bien de pouvoir faire à nouveau jouer mes muscles, même si je sens que je paierai ce soir de courbatures cette proposition. La somme acquise me permettra au moins de les faire passer dans le lit d'une bonne auberge plutôt que dans le hamac qui avait causé tant de souci à mon sommeil au cours de ces quatorze jours de mer. Il me faut d'ailleurs un certain temps pour que mon corps se réhabitue tout à fait à la stabilité du monde. Plus rien ne bouge, et c'est une bonne chose.

Avant de nous séparer, je demande à Rolund s'il connaît un tant soit peu la ville. Ses informations sont limitées aux tavernes, auberges, bordels et établissements du port. Il parvient cependant à m'indiquer la direction du marché, en me précisant que je trouverai là de quoi remplir mon sac pour un voyage, des cartes, informations et peut-être même des marchands intéressés par une escorte en direction d'une autre ville. Ce sera donc ma première escale dans cette nouvelle ville.

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 Sujet du message: Re: Voyages maritimes génériques
MessagePosté: Lun 26 Nov 2018 16:32 
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Chapitre III : n° 22 ILs partirent pour un long voyage

((Croisière aux alentours de Dehant))

!!! MISE EN GARDE: CETTE HISTOIRE PEUT CONTENIR DES TERMES VIOLENTS ET DES JURONS POUVANT CHOQUER LES PLUS JEUNES, PERSONNE SENSIBLE S‘ABSTENIR DE LIRE !!!

Le vent soufflait paisiblement et des vagues ondulaient sur la mer avec douceur, des bruits d'éclaboussures résonnait sur la coque du bateau, notre navire se nommait Constance. Constance s’éloignait du rivage pour montrer aux touristes la beauté de la mer.

Je me sentais mal à l’aise proche d’Anah. C’était la première fois que j’avais un rendez-vous avec une fille. Je la regardais avec émerveillement, elle portait une belle robe blanche faite en soie et de belles chaussures grises. Ces cheveux ondoyaient soufflés par le vent.
Le navire était déjà loin du port, tout en haut du bateau sur le mat un marin fessait le guet, un autre passait à l’arrière du bateau pour crier des chiffres en parlant de nœud. Je ne pris aucune attention à ses mot ni à ceux du capitaine qui lui répondait. Je regardais Nina qui elle regardait l’horizon.

- Je n’ai pas l’habitude des bateaux, mes parents ne sont pas friands des voyages

- Pourquoi ? Ils ont le mal de mer

- Non, c’est qu’ils pensent que le seul métier pour les elfes c’est d’être prêtresse

- Pourtant tu ferais une bonne prêtresse avec ta belle robe blanche

Elle en fut rouge de colère.

- Qu’est-ce que ça signifie ? Tu trouves que je m’habille en prêtresse ?

- Euh… Finalement tu ferais une mauvaise prêtresse avec ton caractère.Fis-je en la taquinant.

Elle allait s’énerver quand je la pris par la taille et la regardait droit dans les yeux, elle parut troublé et apeurée. J’approchai lentement mon visage puis un son retentis.

- Pirate à bâbord!!! C’était le matelot sur le mat.

- Quoi des pirates. Anah me repoussa et regarda vers le côté gauche du navire.

Un navire nous fonçait droit dessus

- Mille sabord, il profite du vent pour nous atteindre rapidement en plus. Ces marins d’eau douce coupent notre retraite en venant du côté du port.

C’était le capitaine, un sabre à ses côtés et avec une longue vue il examina le bateau. Son visage parut pale.

- Aux armes !!! Mettez les femmes, les enfants, et les invalides dans la cave. Que tous les hommes capables de se battre se tiennent prêt.

Je m’approchai du capitaine qui faisait déjà les cent pas en criant des ordres à tout le monde.

- Pourquoi est-ce qu’on ne se rend pas si on lutte, il risque d’y avoir beaucoup de blessé.

- S’il ne s’agissait que d’un pillage. Nous n’aurions qu’à leurs donné tout ce qui a de la valeur mais regardez-vous même le pavillon.

Le capitaine me tendit sa longue vue et me pointa le navire du doigt. Je regardai et vis des silhouettes pas du tout amicale. En regardant le mat je vis…

- IL est rouge le pavillon. Ce qui signifie que ce sera un combat à mort.

- Capitaine, nous ne sommes que quinze homes et nous n’avons pas assez d’armes. Juste quatre épée et un arc. Nous ne pensions pas rencontrer des pirates d’ailleurs nous pensions juste faire un tour avant de regagner la berge mais nous nous sommes trop éloignés

C’était le second du capitaine qui fessait un compte rendu de la situation.

- Sacrebleu, ce n’est pas la première fois que j’ai affaire à des fripouilles. Prenez les harpons, les marteaux, les haches, les rames,… tout ce qui peut server d’arme. On ne va pas se laisser tuer sans résister.

Le Navire se rapprochait de plus en plus menaçant de frapper le navire de plein fouet.

- S’ils continuent comme ça ils vont fondre notre navire en deux. Barre à tribords toute!!! vitesse de croisière maximale faite pivoter le voile !!! On ne peut plus espérer les semer mais on va se tenir prêt pour les recevoir.

Constance venait de se positionner parallèlement par rapport au bateau qui avait manqué de nous toucher. Des hommes avec une peau bleue se tenaient sur le navire. Un impatient se tenait sur une corde un couteau dans ses dents et un sabre à ses côtés, il se hissa pour se balancer. Tout le monde sur le bateau était interdit, on pouvait voir sur sa trajectoire qu’il allait sur la barre pour s’attaquer au maître en second qui guidait la barre.

- Fichtre aucun de nous ne sais tirer à l’arc. Lança le capitaine

Se rapprochant du navire et son couteau à la main, on tous voyait déjà que le pauvre homme sur la barre allait se faire tuer car l’action se déroulait en une fraction de seconde preuve que ses pirates connaissaient leur métier. Et avant d’atteindre le navire l’homme tomba dans la mer, tout le monde fut étonné et un moment de silence s’ensuivit. En me retournant je vis Anah avec un arc.

Nous faisant parti de la milice de Dehant. Et nous ne laisserons personne menacé la paix de notre ville sur terre ou sur mer!!

Ces mots avait été encouragés tout le monde de tels sorte que personne ne perdit espoir quand des ponts en bois tombaient sur notre côté du navire pour relier les deux navires tandis que d’autre marin s’étaient hissé sur des cordes pour l’abordage.

A L’ABORDAGE!!!

PAS DE QUARTIER!!!

SUS A L’ENNEMIE!!!

Les cris et les jurons fusaient de toute part, que ce soit du côté des pirates ou du notre. Environ sept pirates était déjà sur le navire. Le second ne tournait plus le dos à son adversaire et faisait face à deux pirates avec son épée. Ses deux adversaires tenaient aussi un sabre d’une main et un couteau de l’autre. IL s’avança en lançant un grand coup d’épée pour les faire reculer puis il fit un pas et donna un coup de pied à l’ennemie le plus prêt qui tomba dans l’eau, incapable de réagir face à la vitesse de réaction du contremaitre. Mais son acolyte frappa et blessa le contremaitre sur le dos celui-ci fit un bond en arrière pour éviter les autres coups d’épée qu’on lui donna.

- C’est tout ce que tu as ?

- Attend un peu tu vas voir

Leur épée s’entre choqua et le contre maître esquiva un coup de couteau qui visait sa gorge

- (Ça rigole pas avec eux, une erreur et on est mort)

Quatre autre pirate étaient sur le navire au prise avec les hommes du navire, l’un d’eux une cicatrice aux visage ne portait pas d’épée mais lançais des couteaux. Quatre hommes était déjà allongé au sol un couteau sur le visage ou sur son cou, l’homme au cicatrice regarda deux hommes qui lui faisaient face l’un pali tandis que l’autre fit un pas en arrière, il sourit.

- (Vous êtes déjà mort) Pensa t-il dans sa tête, en calculant la trajectoire de ses lames.

- (Une dans le coup, pour l’autre ce sera un coup sur la jambe pour l’immobiliser et une dernière sur le Cœur)

IL eut un rictus malsain puis positionna ses couteaux et en lançant ses couteaux il vit une flèche qui visait son visage. Comme un fauve, il fit basculer sa tête. IL regarda ses victimes l’un était mort mais l’autre avait reçus un couteau en pleine jambe comme prévus mais son deuxième coup avait manqué le cœur pour toucher l’épaule. En colère il se tourna vers celui qui avait décoché la flèche. A sa grande surprise c’était une femme et elfe. IL regarda ses compagnons tous aux sols avec une flèche sur le dos ou en plein cœur.

- Je n’ai jamais manqué ma cible auparavant et à cause de toi, j’ai raté ma légende

- Ne t’inquiète pas, ta légende et ta vie se termine ici.

Anah décocha une flèche tout en reculant, l’homme se mit sur le sol comme un félin en évitant à nouveau une flèche qui manqua de touché sa tête une nouvelle fois. Anah gémis en sentant une douleur vive sur son épaule, la lame l’avait effleuré assez pour la blesser et faire apparaitre une tache rouge sur sa robe blanche.

- Tu veux continuer ou je dois changer la couleur de ta robe, ma belle

- Ferme ta bouche, gros porc. Ne me sous-estime pas. Elle sourit

Et à ce même moment l’homme à la cicatrice caressa sa propre joue en sentant une douleur. Anah l’avait aussi effleurer.

- (J’en ai tué trois, elle en a tué trois. Je l’ai touché et elle m’a touché donc c’est un match nul)Pensa t-il avant de pousser un cri.

- Je vais te tuer!!!

Le capitaine quant à lieu tenait son sabre en l’air et faisait face au flux de pirate qui venait de deux ponts en bois, il para un coup d’épée puis riposta si vite que son adversaire ne plus rien faire à part tomber. Un autre s’avançait pour le pourfendre quand le capitaine saisit la main de son ennemie et le tordit de sa main libre celui-ci lâcha son arme. Le capitaine réceptionna l’épée avec sa lame tout en faisant tomber son adversaire puis il fit volé dans les airs l’épée à ce moment deux pirates c’était avancé chacun sur un pont pour l’attaquer puis ils regardèrent l’épée voltigé sur leur tête se demandant quelle était sa direction. Ce qui était une erreur fatale, le capitaine les terrassa d’un seul coup d’épée tout en bondissant sur les deux ponts chaque pieds sur un pont. Puis en ouvrant sa main gauche le poignet de l’arme qu’il avait envoyé dans les airs était maintenant dans sa main.

- Bien je vais vous faire regretter d’avoir osé vous attaquer à mon navire. MILLE MILLIARD DE MILLE SABORD !!!

Ces mots grondaient comme le tonnerre pétrifiant les assaillants qui s’était mis sur le pont, ce qui était encore une erreur fatale car le capitaine leur fonça dessus en faisant virevolter ses deux lames. Un adepte du combat à l’épée pouvait reconnaitre que chacun de ses mouvements étaient sensé un coup visait un point vitale, un autre servait à blesser à blesser si son adversaire avait une bonne garde afin de la briser, un autre encore feintait, et une quatrième paradait.

IL exécutait ses coups si vite que tout ce que voyaient ses adversaires s’étaient un barrage de lame impénétrable.
Quant à moi j’étais en train de frapper à coup de rame les pirates qui arrivaient sur un autre pont. Ca n’avait rien d’artistique, je frappais les pieds surtout au niveau du tibia pour faire tomber les assaillants ou je les poussais avec la pointe de ma rame faisant tomber quelques un puisqu’il devait se mettre en file indienne pour avancer sur le pont quand ma stratégie manqua d’efficacité je reculai pour accueillir le premier pirate qui mit un pied sur le navire avec un grand coup de rame sur la tête.

Maintenant je faisais face à trois pirates armés et moi solitaire avec ma fidèle rame. Je les maintenais à distance car je savais clairement que s’ils s’approchaient, je serais embroché car je n’aurais plus d’élan pour frapper. Je poussai un pirate qui faillit tomber à la mer et bloqua un coup d’épée, je donnai un coup de pied pas très honorable mais efficace dans l’entre jambe de mon agresseur. Je n’attendis pas longtemps pour avoir l’effet escompter, il se plia en deux et la rame accueillit sa tête comme il se doit.
J’alignais ma rame pour la rendre parallèle à mes épaules et le mis au niveau de ma poitrine. Puis je poussai mes deux autres adversaires l’un à ma gauche et l’autre à ma droite vers le rebord du navire. Ils essayèrent de me repoussé mais avec ma force surhumaine je n’eus aucun mal à les balancés par-dessus bords. Je saisis une épée qui était tombé et à ce même moment des pirates arrivèrent deux qui s’étaient hissé avec les cordes de leur navire et deux autres qui venaient du pont.

- Le vrai combat va commencer dis-je à haute voix tout en me mettant en garde.

La sueur perlait sur mon front et mon souffle était rauque, je fus heureux d’avoir suivi un entrainement d’endurance.

- (Merci sergent).

!!! MISE EN GARDE: CETTE HISTOIRE PEUT CONTENIR DES TERMES VIOLENT ET JURONS POUVANT CHOQUER LES PLUS JEUNNES, PERSONNE SENSIBLE S‘ABSTENIR DE LIRE !!!

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Dernière édition par Jake strange le Lun 26 Nov 2018 17:30, édité 1 fois.

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 Sujet du message: Re: Voyages maritimes génériques
MessagePosté: Lun 26 Nov 2018 16:59 
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Chapitre 3 : n°23 Sans savoir où naviguer
!!! MISE EN GARDE: CETTE HISTOIRE PEUT CONTENIR DES TERMES VIOLENTS ET DES JURONS POUVANT CHOQUER LES PLUS JEUNNES, PERSONNE SENSIBLE S‘ABSTENIR DE LIRE !!!

Le capitaine en second avait terrassé trois hommes puis s’était joint à l’homme qui défendait un pont d’où les pirates pouvaient monter sur leur navire.

- Ca fait donc quatre ponts d’où l’ennemie peut venir, cinq hommes à terre et environ dix pirates mis hors combats.

Le contremaitre faisait ses calculs tous en combattant.

- Nous somme encore onze, mais il y a deux problèmes.

IL esquiva un coup d’épée et frappe. Il recula et regarda le navire d’autre pirate arrivait après s’être balance sur les cordes des bateaux.

- ILs sont trop nombreux, et le capitaine…

IL se retourna et regardait le capitaine qui combattait seul sur le navire ennemie, le capitaine faisait virevolter deux sabres qui ne finissaient pas de combattre ses adversaires et déjà beaucoup de pirates gisait sur le sol.

Les pirates étaient tellement absorbés par cette adversaire qu’ils ne pouvaient pas utiliser les deux ponts pour attaquer le navire.

- IL ne va pas tenir le coup, s’il continua à ce rythme…Je vais le rejoindre.

Un tremblement se fit entendre sur le navire comme si un rocher était tombé et un home grand comme une montagne et musclé armé d’une hache happa deux hommes.

- Si je m’occupe pas de lui. Il va plus rester d’homme sur ce bateau.

Un autre home passa part dessus bords après un coup de hache, puis un second qui tenta une attaque perdis un bras. Le contremaitre s’avança, puis se plia pour esquiver un coup de hache laissant tomber son épée il courut sur le géant pour le plaquer.
Celui-ci pris de court ne pus réagir à temps. IL tombât lourdement sur son dos, le contremaitre saisit la main armé du géant et avec agilité il fit une clé de bras, immobilisant l’épaule et la tête du géant avec ses pieds et tirant sur la main du colosse un bruit de craquement retentis.

- (Voilà sans ta main droite, tu ne tueras personne. IL ne reste plus que sept personnes capable de se battre)

Un terrible coup de poing le frappa, puis le géant souleva le contremaitre par le coup. Celui-ci se tortilla entrain de suffoqué, dans un élan, il donna un coup de pied sur la tête du géant. Celui-ci paru basculé un moment puis raffermis sa prise, le contremaitre essaya de se dégager avec ses mains puis ses mains tombèrent il perdit connaissance.
Le géant le lâcha, il tomba dans la mer. Quand il sombra dans les eaux, il vit l’une de ses mains pointant la surface vers la lumière du soleil. Avec ses dernières pensées.

- Désolé capitaine, j’ai fait de mon mieux pour vous aider. Plus que six personne…

Anah ne s’arrêtait pas de décocher mais son adversaire esquivait chaque coup. Elle s’apprêta à décocher une autre flèche quand elle réalisa que son carquois était vide. Son adversaire se mis à sourire tandis que d’autre individus à la mine patibulaire l’entourait.

- (Mais où est tu Jake ?)

J’étais en train de livré bataille avec quatre pirates, j’esquivais un coup puis parada un autre. Je grimpais sur un tonneau quand un pirate essaya de couper mes pieds je sautai puis en descendant je poussai le tonneau vers mes assaillants. Qui tombèrent en les recevant sur leurs pieds.
Deux pirates s’élancèrent sur moi mais je montais vite les escaliers du navire pour arriver sur la barre. Un pirate m’y attendait, les deux autres montaient quand celui qui s’y trouva fit un signe de la main et les deux pirates se figèrent. IL dit :

- Rend toi petit tu es cerner.

- Qu’est-ce que vous racontez ?

Je me retournai un peu pour constater qu’il n’y avait plus que des pirates sur le bateau. A part moi, il ne restait plus que trois hommes qui étaient acculés des épées à la gorge. Et Anah déjà ligoté.

- Soit résonnable et rend toi.

- Jamais de la vie, je préfère mourir.

IL y eut un rire général.

- Je vais tous vous battre. Ma voix commençais à trembler.

- La jeunesse tant d’énergie mais si peu d’intelligence, soit je te donne une chance de tous les sauver et pouvoir repartir sain et sauf.

J’eus un regard de méfiance pourquoi cette homme se risquait à faire ce pari.

- Et qu’est ce qui me garantie que vous ne me mentez pas.

- Si tu me bat moi le capitaine barbe bleu, rien ne sera fait à tes amis. De plus tu n’as pas d’autre choix par contre si tu perds tu me dis où son cacher les femmes.

C’était un pari dur à risquer car les femmes et les enfants étaient cachés dans la cave dans un compartiment secret que le capitaine nous avait montré et qu’il était impossible à trouver sauf si on l’avait déjà vu.

- D’accords . Répondis-je en pointant ma lame vers le capitaine pirate

En le regardant de plus près seul sa peau était bleu sa barbe quant à lui était roux. Je fendis sur lui, il parada.
Je me mis à lancer de grandes attaques car je n’arrivais pas bien à maitriser mon sabre.

- (Si j’avais mon katana je pourrais mieux manœuvrer). Me dis-je en paradant avec peine un grand coup d’épée.

- Avec de l’expérience et un siècle d’entrainement, tu pourrais me battre.Avais dit le capitaine en utilisant une botte secrète qui brisa ma lame.

J’allais m’élancé quand la pointe de son sabre fut sur ma gorge.

- Bien maintenant que j’ai gagné dit moi où sont-ils.

Mon Cœur battit à cent à l’heure. C’était donc ça la peur de mourir, je compris pourquoi tant d’homme s’était dérobé et avait avoué toute la vérité et fais tout ce qui était déshonorant pour survivre.

- Vous pouvez toujours courire.

- Quel dommage et moi qui pensais que tu étais un homme d’honneur

- Même si je vous avais battus vous ne nous auriez pas épargniez.

Le vieille homme me sourit sans répondre à la question et dit :

- Si vous refusez de répondre, nous allons passer de la discussion à l’exécution. Nous allons commencer par vous chère capitaine.

Un homme fut poussé par les pirates, des blessures saignaient de partout sur son corps et des pointes de flèches sur son ventre et sa pointrine preuves qu’ils s’étaient battus jusqu’au bout, ses mains étaient enchainés et une chaine liaient ses pieds et une grosse pierre que portait deux hommes liait le capitaine. L’homme se tenait toujours bien droit et la tête haute tous les pirates autour de lui restaient interdis aucun ne lui crachait dessus ni ne l’injuriait car beaucoup avait reçus ses coups et en gardaient une mémoire terrible.

- Tu as le choix capitaine sauve ta vie ou meurt

- Je ne dirais jamais où ils sont cachés. Et j’espère qu’aucun de mes hommes ne le fera.

- Soit qu’on le jette par-dessus bord

Et le capitaine se tenait debout sur le pont face au vide, il regarda l'horizon qu'il avait vu tant de vois depuis sa jeunesse jusqu'à sa mort.

- Ton crime sera puni Barbe bleu.

Et l’on fit tomber la grosse pierre le capitaine tomba, on vit quelques bulles puis plus rien. Tels fut la fin d’un capitaine qui n'a jamais tourner le dos à la mort. D'ailleurs j'aurai jurer que son dos n'avait aucune blessure ni même la trace de sang.

- Bien voyant voir les suivants

On prit un autre homme et on le positionna sur le pont.

- Alors tu vas parler ou préfère tu mourir

- Plus tôt la mort que trahir mon capitaine.

Et la pierre tomba à nouveau, cette fois si l’eau s’agita beaucoup et beaucoup de bulles apparus preuves que l’homme souffrait beaucoup. On saisit un autre homme celui-ci se débattis et dit :

- Pitié j’ai une femme et des enfants qui m’attendent à la maison

- Raison de plus pour nous dire où sont caché les femmes et les enfants sur ce bateau.

L’homme allait parler quand il réalisa ce qu’il allait faire.

- Je préfère me taire et sauver d’autre femmes et enfants qui veulent revoir leur pères

Et encore une autre pierre coula dans les profondeurs de la mer. IL ne restait plus que trois personnes Anah, moi, et homme honnête. Ils saisirent Anah qui criait quand le capitaine dit :

- Non, laisser là nous ne tuons pas les femmes nous sommes des gentlemans.

Et des rires résonnèrent, puis ils saisirent l’autre homme, celui-ci était bien habillé et était respectable. Ce qui n’empêchait pas les pirates de l’injurier et de lui cracher dessus comme ce fut le sort des autres hommes. IL gardait la tête haute.

- Bon je ne pense pas avoir à te poser la question.

Le capitaine allais lever la main pour qu’on le jette par-dessus bord quand il dit :

- Ils sont dans la cave, derrière les tonneaux de vin derrière une porte. Le capitaine à couler avec la clés mais avec une hache vous pourrez ouvrir la porte.

IL y eut un Silence. Puis l’homme dit :

- Maintenant détacher moi, je vous ai tout dit.

Deux hommes s'approchèrent et le capitaine dit en levant la main:

- Tu es libre

Et une autre pierre coula avec un cri.

Mon tour était venu, je me tenais devant le pont face à la mer avec un coucher de soleil qui rendaient le soleil orange et rouge de sang, des étoiles commençait à briller. Je ne voyais pas Dehant, en me retournant je cherchai Anah du regard dans cette foule de pirate mais ne la trouva point.

Mes pensées allèrent à ma famille qui me pense aujourd’hui en train de faire une patrouille dans la rue ou à rêvasser sur les murs en faisant la garde. Si je n’étais pas parti, je serai en train de manger avec eux.

- J’allais te poser la question mais vus que j’ai déjà ma réponse. Un dernier mot.

Mes mains étaient liées, mes pieds attachées, et la pierre était grosse donc assez lourde pour que je ne puisse pas remonter à la surface.

- Dans cette vie ou dans une autre je vous tuerais. Avais-je dis en le regardant droit dans les yeux.

- Bonne chance à toi donc. fit-il avec un sourire et suivit par le rire de ses hommes.

Pour sur j’allais détester les hommes bleus pour l’éternité. Et la pierre tomba, je tombai à sa suite si vite que je commençais à ne plus voir la lumière. D’ailleurs le soir tombait, je réalisais donc que c’était ça la mort.

- (JE SUIS MORT)


Mes mains tombèrent et je sentis le froid m’envahirent je commençais à m’évanouir car je retenais mon souffle mais je sentis aussi quelque chose de tranchant. Je sentis une douleur vive, assez vive pour me réveiller sous l’eau, je vis un petit nuage de sang monté devant moi. Je réalisai que j’avais mal à la main. Immédiatement je me souvent de quelque chose.

- Le couteau!!!

C'était le couteau que j'avais pris quand je déjeunais à l'auberge par curiosités.

Sans faillir et grâce à l’adrénaline que ma blessure avait donnée je pus mettre ma main dans ma poche et saisir le couteau. Je coupai les cordes qui liai mes mains et en fit de même pour mes pieds. Je remontai à la surface à moitié étourdi par le manqué d’oxygène.

- Vous avez manquez de chaine, et avez utiliser de la corde pour m’attacher bande d’idiots vous aller voir. Je m’étais mis à crier le bateau était loin et la constance avec eux.

Je me mis à nager de toute mes forces grâces à une étoile que je connaissais je pouvais savoir où était Eniod et donc où se situait Dehant. Avec l’énergie du désespoir je me mis à nager de toutes mes forces.

Deux heures plus tard, une silhouette noire vaseuse, rampait sur la rive de Dehant. J’étais remplie de boue, de saleté, et fatigué. Mais une chose me faisait avancer.

- Je vais me venger et te ramener Anah.

!!! MISE EN GARDE: CETTE HISTOIRE PEUT CONTENIR DES TERMES VIOLENTS ET DES JURONS POUVANT CHOQUER LES PLUS JEUNNES, PERSONNE SENSIBLE S‘ABSTENIR DE LIRE !!!


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