Trop de peines, trop de haine, dans ce monde de hyènes, tu m’étonnes que certains deviennent schizophrènes.
Des attentats à tout va, la vie devient de plus en plus un combat et tout ceci pourquoi ? Pour Allah ? Voudrait-il de tout ça ?
Ma colère est immense, l’homme ne pense qu’à tout détruire sans penser aux conséquences que cela pourrait engendrer sur sa descendance.
A ce qu’il parait, la paix n’est qu’une utopie, mais si tout le monde pense ainsi, c’est sûr que nous ne l’aurons pas notre petit bout de paradis.
Egoïstes nous sommes, seulement avec le matériel on fusionne, n’oubliez pas que l’on n’apportera rien avec nous au crématorium.
Hier j’ai vu à la télévision que certaines personnes font de la délation, ça m’a choqué de voir qu’elles n’ont que de mauvaises intentions.
Heureusement que le bonheur existe, heureusement qu’il n’y a pas que des choses tristes. Faut pas oublier le passé, faut pas recommencer.
Si on veut s’en sortir, va falloir croire en notre avenir.
J’ai une grosse pensée pour tous les affamés, ceux qui n’ont pas de chance au quotidien et qui n’ont rien pour subvenir à leur lendemain…

Après toutes ces défaites et victoires, je peux dire que ce soir, je suis heureux de vivre une nouvelle histoire. Ca n’a pas été facile de tout reconstruire mais au final je m’aperçois que j’ai réussi un véritable exploit en croyant en mon avenir. Le transfert de mon âme du bon côté n’a pas été un enfer, je le vis aujourd’hui comme un trentenaire qui s’est tiré des galères. Le charme de Christelle m’a ouvert les ailes, maintenant je m’arme de tout ce qui en vaut la chandelle. Après toutes ces questions, j’ai trouvé des solutions pour mes réponses. Et si jamais un jour je renonce, rappelez-moi par quoi je suis passé pour obtenir les bonnes annonces. Ma convalescence de 2013 était nécessaire pour avoir une nouvelle chance et éteindre les braises. On m’a épargné de plus graves méfaits, je fais le souhait que vous aussi vous trouviez la paix. J’ai rapporté dans mes expériences bien plus qu’un butin, une sorte de science pour tenir de lendemains en lendemains. Et la conquête de Christelle envers mon coeur et ma tête, me sert aujourd’hui pour voir en la vie un bonheur, une sorte de merveilleuse fête.

Je parsème mes feuilles de papier d’un concentré de tout ce que j’aime. Je ne peux pas clôturer mon imagination tant que mon cerveau sera en élévation. Viens me bousculer, j’en ai besoin pour m’améliorer. Quand ma plume est en endormissement, je me sens proche du néant, comme si je ne pouvais pas profiter de l’instant présent. Et pourtant, cette sensation n’est qu’une illusion. Je n’ai plus besoin d’écrire pour me sentir exister, quoique à bien y réfléchir, sans cette passion je n’aurai pas pu surmonter le pire. Je vis des contradictions, la preuve dans ce genre de réflexion mais dans le fond, je sais que c’est bon de souvent tout remettre en question. Je suis quelqu’un de dérangé, je le sais et tant mieux parce que ça me fait vibrer. Aujourd’hui je me sens propulsé vers l’incertitude de ce que je sais et quand viendra le temps d’être sûr de ce que je sais, je recommencerai à rester incertain comme un petit gamin qui découvre son lendemain.

Je suis ce débrouillard qui trouve de la lumière dans le brouillard, je suis cette personne qui cherche un regard chaleureux avant qu’il ne soit trop tard. Je ne retiens plus mes larmes, quand elles coulent jamais je ne m’alarme car elles sont des armes pour combattre le diable et ses charmes. C’est notre destin de tenir bon jusqu’à demain et c’est enfantin quand on croit au divin. Tout chagrin n’est rien face à la misère que vivent ceux qui meurent de faim. J’ai de la joie à chaque fois que les plus démunis réussissent à se sortir du pétrin. Cette vie est un écriteau dont les mots que l’on écrit dessus deviennent beaux à chaque fois que l’on se tire vers le haut. J’ai autrefois perdu toute notion de la réalité pour me protéger du moindre méfait. Mais ce que j’ai fais pour m’en sortir, pour mon avenir, jamais je ne l’oublierais. Je pense pas qu’il y ait une majorité de pourritures dans ce monde remplis de ratures. Je comprends les galères, je suis parfois ce galet que l’on jette à la mer ou cette bouteille comportant un liquide amer. Faut s’acharner, faut se réveiller, car après, c’est terminé. Le terrain est miné mais on peut s’envoler et éviter ce que l’on ne peut plus aimer. Courage, n’importe quel sage a un jour traversé de mauvais présages…