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Nom : Nathanaël
Classe : Mage
Race : Humain, peuple de Wiehl
Age : 25 ans
Description physique et de la personnalité :Physique : De taille moyenne, Nathanaël présente une musculature développée pour un mage, héritage de ses jeunes années d’apprentissage du combat de mêlée. Ses cheveux, d’un châtain plutôt clair, forment une masse rebelle et désorganisée autour de son visage. Sa mâchoire est carrée, cerclée d’une barbe naissante, parfois de plusieurs jours, et ses yeux sont d’un vert émeraude profond.
Il est habituellement vêtu d’une large tunique à manches longues finement brodée, voire parfois d’une robe de lin lorsqu’il ne monte pas à cheval, et ses couleurs fétiches ne se détachent que rarement des teintes sombres. Lors de ses déplacements, il arbore généralement une longue cape de laine dont la capuche, profonde, dissimule à moitié le haut de son visage.
Psychologique : Nathanaël est un homme sage au tempérament profondément modéré. Il fit preuve, au cours de son jeune âge, d’un caractère haut en couleur, ainsi que le développait l’enseignement de ses aïeux. Cependant, ses années d’apprentissage aux côtés de son maître mage, dame Leïyn, apaisèrent sa fougue juvénile, et plusieurs saisons de pèlerinage suite à leur séparation suffirent à forger ses murailles.
Nathanaël est donc résolument calme et posé, et préférera toujours jouer d’artifices et de diplomatie pour se tirer de mauvaises situations, avant d’en venir à la magie. Il est très bon parleur. D’ailleurs, ses affinités pour la magie dite neutre, tournée vers la maîtrise psychique, est pour lui un atout considérable lors d’altercations.
En compagnie de tierces personnes, il consacrera de longues heures à observer, étudier, et cerner chacun de leurs profils. Il préfèrera s’entourer de personnages complexes que d’âmes ternes et prévisibles.
Biographie :Fils de duc, Nathanaël naquit parmi les nobles, dans un contexte d’habitude favorable à tout enfant premier né. Ce ne fut pas son cas.
Sept jours avant sa naissance, son père, le duc Glenthord, fit organiser une excursion dans les monts sacrés afin de quérir l’Oracle de Zewen, et ainsi lever ses doutes quant à la naissance de son premier héritier. L’Oracle se prononça, et alors que Glenthord priait les dieux de se voir annoncer un fier et brave gaillard, il s’avéra que ce premier enfant serait bel et bien un mâle, mais que celui-ci se verrait doté du « don des dieux », bénédiction caractérisant les enfants mages.
«
Outrage ! Mon fils maniera le fer comme l’ont manié ses ancêtres, et il fera honneur à sa famille ! », avait proclamé le duc dans une rage folle, rejetant jusque à sa moindre évocation le fait que le garçon puisse avoir quelques affinités avec ce qu’il appelait la sorcellerie.
Il vit le jour, et comme l’avait prédit l’Oracle, ce fut un mâle. Sa mère lui donna le nom de Nathanaël.
Huit années s’écoulèrent sans qu’aucun signe de la seconde partie de la prophétie ne se manifeste. Le duc en oublia cette malédiction, persuadé d’une mauvaise interprétation de la prêtresse, et entreprit d’initier son enfant au combat de mêlée, à l’arc, et à la chasse. « Ce petit duc deviendrait un grand guerrier », répétait-il chaque jour. C’est avec fierté qu’il lui offrit, pour ses neuf ans, son premier cheval et sa première épée de bois, et c’est avec excitation et émerveillement que Nathanaël les reçu. Pour sûr, il ferait honneur à son vieux père, et deviendrait fort et courageux, à son image.
Hélas, le touché des dieux n’épargna pas le garçonnet. C’est à l’aube de sa onzième année, alors qu’il s’entrainait avec hargne et vigueur dans la cour du château, par un matin d’hiver, que Nathanaël prit conscience pour la première fois de ce qui s’était éveillé en lui. Son épée s’était brisée en mille éclats de givre alors qu’elle avait percuté le sol, et l’enfant s’était rué au chevet de son père afin de lui conter comment, de sa seule pensée, il était parvenu à changer le bois en glace. Amère révélation. L’enfant ne comprit pas le geste de violence qu’eut son père à son égard, pas plus que la colère qui le consuma. A compter de ce jour, rien ne fut comme avant.
Nathanaël reçu la formelle interdiction d’user de son don, et ce dans n’importe quelle situation. On lui inculqua que sa différence n’était que malédiction, qu’il en deviendrait méprisable et dangereux aux yeux de sa propre famille. L’innocence eut raison de ce mensonge. Jamais il ne s’attarda à exploiter ses facultés malgré le trouble qu’elles animèrent en lui. Et dés lors qu’un nouveau phénomène involontaire se produisait, sur le coup de la rage ou de l’émotion, c’est avec honte et crainte qu’il œuvrait pour le dissimuler. Le duc devint de plus en plus méfiant à son égard, et de plus en plus exigeant lors de ses entrainements. Les réprimandes s’accompagnèrent bientôt d’une violence inopinée, et l’admiration que vouait le garçon pour son paternel se changea peu à peu en une crainte muette…
Le petit duc devint malheureux du haut de sa douzième année, trop jeune pour comprendre l’attitude de son paternel, trop naïf pour prendre conscience de sa nature. C’est sans enthousiasme qu’il continua de se plier aux entrainements : épée, lance, poings… Quelque chose cependant lui fit réaliser que, peut-être, son père faisait s’éterniser ce travail pour qu’au crépuscule il se révèle trop exténué pour se livrer à une toute autre activité secrète… que Glenthord soupçonnait fortement. Nathanaël ne put toutefois contenir davantage sa curiosité. Il s’afféra, au cours des quelques moments de répits que lui accordaient ses journées, seul tapi dans le noir, à maîtriser son démon. Une habitude qui devint bientôt nécessaire au garçon, un moment de plaisir et de découverte que le secret rendait plus excitant encore. Le vice fut découvert, et l’on entreprit cette fois une mesure bien plus drastique pour venir à bout de ce fléau.
Un jour, un homme que Nathanaël n’avait jamais vu auparavant apparu au château. Agé d’un certain âge, sa longue barbe grise intrigua fortement le garçonnet. Il était vêtu curieusement d’une robe, chose qu’il assimilait d’habitude aux femmes, et soutenait toujours sa démarche d’un grand bâton étrange. Ce fut la première fois que Nathanaël cotoya un de ses semblables. « Le mal sera régulé par le mal », proclama Glenthord alors que le vieillard entourait le poignet du garçon d’un curieux bijou (un brassard de cuir finement tanné sur lequel courrait une ribambelle de symboles indéchiffrables), et qu’il proclamait un charabia étranger à son oreille. A partir de ce jour et ce malgré ses efforts, jamais Nathanaël ne put se défaire de ce fardeau, et plus jamais il ne parvint à geler les flaques d’eau, ou à lire dans les pensées des suivantes du château.
Suite à venir… (en cours de rédaction)

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Armes et bouclier :En main principale : Bâton de frêne (mag +2)
En main secondaire :
Armure(s) :Protection pour le torse :
Protection pour la tête :
Protection pour les jambes :
Protection pour les bras :
Cape :
Bijoux Magiques :
- Amulette en argent (mag +1)
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Sac (Encombrement = 0/20) :-
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Or : 50 Yus
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Sorts Acquis :
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Toucher glacé : Ce sort permet de geler la surface de la peau de son adversaire en le touchant (esquive SA concernée). L'adversaire subit alors de graves lésions infligeant - [0,5 PV/lvl] durant [lvl/6] tours (minimum 1).
Capacités de combat (CC) :CC Sans Arme acquises (CC SA) :-
CC Avec Arme acquises (CC AA) :-
CC avec Arme de Jet acquises (CC AJ) :-
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Pm : 2/2 (glace)
Points de vie: 20/20
XP nécessaire jusqu'au prochain niveau : 10
Niveau : 1
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Ville de départ: Tulorim
Réputation :Tulorim: 0/100 (renommée), 0/100 (infamie)
Croyances :- Dieu vénéré :
- Dieu(x) prié(s) régulièrement : Zewen, Rana et Yuia
- Dieu(x) haïs : Thimoros
- Dieux non reconnus :