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 Sujet du message: Mallow / Voleur (Lvl 1)
MessagePosté: Sam 8 Fév 2014 15:34 
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Nom: Mallow

Classe: Voleur

Race: Humain de Wheil

Age: 19 ans



Description physique et de la personnalité:

Je suis un Homme de Wheil. Grand, vertueux et invincible, c’est ainsi que nous décrivent les chants des ménestrels dans les Cour du monde entier. S’il fallait les croire, j’étais l’exception qui confirmait la règle. Plutôt habile de ma tête que de mes bras, je me désintéressai très jeune à la tradition physique et guerrière de mon peuple, à laquelle mon père était pourtant très rattaché. Me voyant si abattu par ses leçons, il préféra reporter toute son attention et sans doute ses espoirs en mon jeune frère, à mon grand soulagement. En résulte que je suis devenu un homme grand très svelte, loin de la montagne de muscles des légendes. Mes principales qualités au combat ne sont pas de l’ordre de la mêlée brutale, mais plus subtile, plus réfléchie… et plus mortelles. Mes cheveux noirs se livrent une guerre sans merci depuis le sommet de mon crâne jusqu’à mes épaules, en retombant quelque peu sur mon visage. Derrière l’épais rideau s’entroivent deux lueurs vertes, deux émeraudes qui sont, croyez-le ou non, les meilleures du royaume. Ma peau est d’un pâle léger d’hiver, et refuse à noircir malgré les assauts du soleil. Père n’a jamais autorisé un quelconque tatouage pour ses enfants, et j’ai la chance d n’être encore balafré à aucun endroit.

Depuis très longtemps, il va sans dire que Mallow est un malin. Peu loquace, certes, car je considère que le silence est souvent bien plus beau que les paroles des Hommes, mais tenants des réflexions insensées dans les méandres brumeux de son esprit tordu. En réalité, ces réflexions diverses me construisent peu et à peu, et il y’a pour moi toujours une nouvelle question à se poser, une réponse à trouver. De nature curieuse, il m’arrive de m’enfermer avec un livre et de ne pas fourrer mon nez dehors quelques jours durant. Cela dit, j’aime également les grands espaces, les merveilles que nous offre à contempler la nature. Je ne prie aucun Dieu, car je crois fermement en elle, en cette nature logique qui régit le monde.

Et puis, enfin… Il y’a cette ambition. Grandissante. Dévorante. Démesurée.





Histoire:

Du monde, je ne connaissais que mon petit village et Tulorim jusqu’à mes 19 ans .Tout ce que je savais venait des livres et des quelques voyageurs que j’avais rencontré au village ou lors de voyage à Tulorim, une grande ville côtière à quelques lieues de mon village. Une bourgade isolée, vivant de la pêche ; et ma maison, isolée plus encore, au bord même de la mer, où j’ai grandi avec mes parents, mon frère et ma sœur. Je suppose que c’est ce que l’on peut appeler une enfance heureuse. A l’abri du besoin grâce au commerce de poisson fructueux de mon père, accompagné de mes cadets pour m’occuper, en exploration constante d’un univers riche de forêts et d’océan. Mon père passait une grande partie du temps en mer parfois une semaine ou deux, et rapportait souvent de rares spécimens, que lui seul savait où trouver, comme son père le savait avant lui. Ainsi, il attirait la clientèle riche et raffinée de la proche Tulorim, s’assurant un pécule assez élevé pour un simple pêcheur. Mais durant ses longues absences, c’était ma mère qui se chargeait de nous élever. Une femme des plus douces, des plus agréables mais estimant cependant qu’une vie saine passait par un ordre irréprochable. J’ai donc passé mon enfance à sillonner les environs du village avec mon frère Kendân et ma sœur Mya. Lui a pris la voie des armes et elle celle de l’alchimie. Nous vivions tous encore dans la maison familiale, bien que nous rendant quotidiennement à la grande ville, chacun pour étudier notre domaine. Je me destinais à la médecine, dans un élan philanthropique certain et avec enthousiasme.

Ainsi, tout était absolument banal dans ma vie jusqu’à ce jour précis où j’ai fait connaissance avec le reste du monde et les Hommes. C’était un jour de repos tout ce qu’il y’a des plus normal à la campagne. Nous les jeunes, vaquions à nos occupations, certains flânant, d’autre déjà plongé dans un bon verre à la taverne ou encore s’entrainant à l’épée. Les vieux causaient comme d’habitude du bon temps sur la place du bourg où ce dressait un vénérable chêne bicentenaire. La vie suivait son cours sans se soucier de la noirceur du monde.

C’est alors qu’ils sont arrivés. Un navire comme je n’en avais jamais vu de tel, courbé et optimisé pour atteindre une grande vitesse. Sa coque était de bois sombre, presque d’ébène, tandis que leurs voiles noires dardaient sur l’eau une ombre grandissante et menaçante. Au sommet du mat, un pavillon battait un vent. Je l’ai immédiatement reconnu, il s’agissait de celui de Darhàm.

"Pirates !" A hurlé un homme, et aussitôt chaque homme valide s’est précipité à la recherche d’un arme elle aussi valide ce qui n’était pas monnaie courante dans ce genre d’endroits. Les chasseurs et les soldats de carrière ont distribués leurs armes en vue de l’attaque, le tout dans une énorme confusion. Je me suis moi-même armé d’un arc et les ai rejoints sur la plage, me plaçant derrière mon frère, à une distance raisonnable de là où se tiendraient les combats. Le navire a atteint progressivement nos côtes, et mis une chaloupe à la mer une fois arrivé à une centaine de mètres de nous. Dès que nous avons pu, les autres archers et moi-même avons commencé à les cibler. Mais nos talents étaient ridicules face à des mercenaires entrainés, et dans un vent qui déviait tout trait lancé. Mais un des chasseurs à réussi à encocher une flèche qui est venu se loger dans la gorge d’un pirate, puis d’un autre. Un cri a retenti depuis le bateau, et j’ai vu une haute silhouette se dresser en équilibre sur la figure de proue, un dragon avalant la tête d’un homme. Lentement, ses lèvres ont articulés une incantation. Puis, une lumière blanche, aveuglante a surgi du bateau, et j’ai senti mes pieds se dérober du sol dans une véritable explosion. Après ça, plus rien.

Je me suis réveillé des heures plus tard, suspendu lamentablement dans un arbre à la lisière de mon village, et une de mes propres flèches plantée dans la cuisse gauche. Pris de panique, je gesticulai dans tous les sens jusqu’à chuter quelque mètres plus bas. Par chance, je m’effondrai sur le dos, sans que la flèche puisse s’enfoncer encore plus en moi. Ce que je vis en relevant la tête me fit froid dans le dos. De la fumée s’élevait de la plupart des maisons, et des débris jonchaient çà et là le sol gorgé du sang des habitants. Il y’avait aussi des cadavres dans les rues, des gens que je connaissais depuis ma plus tendre enfance, qui avaient toujours été bon avec moi. Cela dit, ils étaient bien peu, cela me semblait étrange, une idée me vint comme quoi les pirates avaient fait des prisonnier. Peut-être que ma famille s’y trouvait, parmi ces macchabés ? J’avais comme l’intuition que non, comme si une part de moi sentait leurs cœurs palpiter, certes à des lieues et des lieues mais survivant bel et bien. J’entrepris de ramper jusqu’à ma petite cabane personnelle qui me servait de cabinet de médecine. Après de longues minutes d’efforts, je franchissais enfin le seuil de ce paradis. L’ombre et la température ambiante, beaucoup plus fraiche que dehors, me firent énormément de bien. Je vidai aussitôt une cruche d’eau restée par terre. Je me hissai doucement sur le lit réservé au patient, à proximité de ma trousse. Il fallait à présent retirer la flèche. C’est ce que je j’ai fait, dans un élan irréfléchi, douloureux ma ils pourtant salvateur. Dans un cri de grand blessé, j’empoignai un chiffon que je plongeai dans un bol rempli d’un onguent à base de plante, préparé par ma sœur. Une fois appliqué à la blessure, il me soulagea instantanément ; ma sœur m’avait dit qu’il tenait le rôle d’anesthésiant pour les animaux de la nature. Je pus alors m’appliquer à recoudre la plaie, un exercice simple qui ne prit qu’une dizaine de minute. Après avoir appliqué un pansement imbibée de la solution miraculeuse, je m’étendais sur la couchette. Seulement quelques instants, me disais-je, mais mon corps fatigué ne l’entendait pas de cette oreille.

La nuit tombait doucement quand je me suis éveillé de nouveau, cette fois ci en meilleure forme et prêt à agir. Rien n’avait changé dans le village. Dégoûté et boitillant, je me mis tout de même à entreprendre la reconnaissance des cadavres. Je fus soulagé de n’y trouver aucun membre de ma famille, mais abattu parce que je les connaissais tous personnellement. Je jurai de les venger tout en les empilant face à la mer d’où nous était venu tant de tourment. Une fois la quinzaine de macchabée réunit, je les couvrais d’un bois que nous utilisions pour faire du feu, et y jetai une torche, tout en proférant et promettant une vengeance sanglante.

***


Une heure plus tard, j’étais prêt à partir. J’avais peaufiné mes plans tout en faisant mon deuil près de l’océan. Je me rendrai à Tulorim, d’où il me faudrait trouver de l’argent, quitte à exercer le métier de voleur, pour ensuite me payer une traversée jusqu’au continent du Nord. De là, je chevaucherai jusqu’à cette ville maudite qu’est Darhàm pour y trouver ma famille et les autres, les libérer et tuer tous ces pirates, jusqu’au dernier. Je m’accrochai à ce plan comme à ma seule chance de réussite, mais je m’avançai en réalité tremblant et traumatisé par ce que je venais de vivre. Il me faudrait quelques temps pour oublier ce choc, mais je n’avais pas le temps. Il me fallait partir, maintenant. Alors, je me suis équipé de la dague qui appartenait à mon père, de sa bourse qui contenait quelque chose comme 50 Yus, d’un long morceau de corde qui traînait dans l’atelier de pêche, et puis d’une ration de nourriture suffisante pour atteindre Tulorim.

C’est alors que, le pas hésitant comme celui de l’enfant que j’étais encore, je me mis en route.


------------------------------------------

Armes et bouclier :

En main principale : Dague (For +2)
En main secondaire :

Armure(s) :

Protection pour le torse :

Protection pour la tête :

Protection pour les jambes :

Protection pour les bras :

Cape :

Bijoux Magiques :
-
-

Sac (Encombrement = 0/20) :
- Corde de 10m
-
-

Argent : 50 Yus

------------------------------------------

Sorts Acquis :

    Sorts de combat évolutifs :
    -

    Sorts RP :
    -

    Sorts créés par le PJ lui-même :
    -
Capacités de combat (CC) :

    CC Sans Arme acquises (CC SA) :
    - Dérober

    CC Avec Arme acquises (CC AA) :
    -

    CC avec Arme de Jet acquises (CC AJ) :
    -
------------------------------------------
Points de vie : 20/20
Pki : 2/2
Nbre d'xp nécessaire pour changer de niveau : 10
Niveau : 1
------------------------------------------
Image
------------------------------------------
Réputation :
Tulorim: 0/100 (renommée), 0/100 (infamie)

Croyances :

- Dieu vénéré : Aucun pour le moment
- Dieu(x) prié(s) régulièrement : Aucun pour le moment
- Dieu(x) haïs : Aucun pour le moment
- Dieux non reconnus : Aucun pour le moment

_________________
Image

À votre service, pour le plaisir de rp !


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