Kafziel a écrit:
Naral est en furie, c'est parfait, on ne va pas dans son sens, c'est parfait, Sandro n'est plus la, encore mieux, Ezak, Tathar et Raesha sont à mes cotés, décidément, c'est une bonne journée.
J'exulte, le sourire jusqu'aux oreilles, m'étirant de tout mon long, ma queue fouettant l'air d'un air satisfait.
"Que la situation est plaisante! vous ne trouvez pas?"
Je continue de jubiler tandis que je parle.
"Mmmmmmmm, Naral, naral, naral, au diable cette infâme créature, et ses chiens avec lui."
Je reprends un air sériux.
'"Bien toutefois que Tiinis n'y soit pour rien, j'ai un peu de peine pour lui, il va payer pour son crétin de maitre."
Puis mon visage s'illumine à nouveau.
"Amaltia, pour quelqu'un qui avait à faire à la montagne, vous me semblez assez desorientée...."
Puis je me tourne vers tous, radieux.
"Je ne sais pas vous, mais moi..."
Mon ton change radicalement.
"J'en ai marre, marre d'être balloté comme un paquet pour des rainsons obscures. Alors, Amaltia, j'exige, avec courtoisie toutefois, mais j'exige tout de même des explications, et dans une langue que je puisse comprendre, assez des énigmes et des remises à plus tard, vos secrets me tappent sur le système, et le mystère me pèse, vous qui en savez plus, éclairez moi, car le fauve qui m'habite etst lassé de tourner en rond dans sa cage, et si sa curiosité dévorante n'est pas satisfaite, j'arrête. J'arrête, je vous laisse, je m'abandonne, je vous quitte. j'irais vivre dans le village Woran le temps qu'un bateau passe, ma vie entière s'il le faut, même dans la jungle; Les évenements qui entourent cete compagnie sont horripillants tant ils sont insensés, et je préfère de loin vivre dans la rue, la faim au ventre et des trous aux poches, que de poursuivre cette absurdité de périple, de plus et pour finir, je vous avoue que vous êtes ma candidate préférée pour le jeu du "trouve l'assassin du groupe"! Il n'y avait rien de tout ça auparavant, et vos ennemis imaginaires me sont trop inexistants pour justifier de quoi que ce soit. Vous savez ma position, désormais je veux savoir le reste.
Je m'assied en tailleur au sol, la fixant dans les yeux, y cherchant un signe quelconque.