Nom : Garn dit le bâtard
Race : humain ; peuple de Wiehl
Classe : rôdeur
Age : 17 ans
Description physique et personnalité :
Garn est l'inverse de ce qu'on attend d'un guerrier de wiehl. Aux antipodes des enfants de son Age, Garn n'est ni grand, ni puissant. Ses cheveux bruns foncés approche le noir et couvre sa peau légèrement halée. Ses yeux bleus sont si claires qu'ils paraissent gris. Un nez long et fin structure son visage, sa mâchoire toujours serrée lui donne une expression constamment neutre, que ces sourcils sombres et arqués démentent, plein de fureur. Garn est un bâtard, sûrement. Sa mère etait chatain clair, son père l'est. L'aura même qui se dégage de son regard inspire la méfiance, malgré un corps trop fin et trop élancé : il est jugé faible, dans ses vêtements simplement trop grand pour lui. Légèrement en dessous de la moyenne de taille, Garn, toujours les yeux levés sur les autres, est considéré comme sur de lui, provocateur, insolent. Peu bavard, il répond aux questions par des réponses concises, ne laissant que peu de place a la discussion. Son manque de sociabilité s'explique par une constante prudence à l'égard d'autrui, frisant l'indifférence à la solitude. Celui ou celle qui réussirai à lui extraire plus de quelques mots saurait immédiatement qu'il ne ment jamais. Et à toujours être incapable de mentir, il préférerait se taire à jamais plutôt que de divulguer ce qui ne doit pas être dit. Considérant la femme comme un être vivant quelconque plus que comme une partenaire potentielle, Garn n'accorde que peu d'importance aux attraits féminins, seule exception faite à l'égard des figures maternelles, contre lesquelles il ne peut se liguer : il devient pour elle un tendre et timide garçon démuni. La seule distinction que Garn fait entre les individus, est celle du respect. Bien que constamment fermé et distancié, il arrive que le rôdeur accorde plus d'intérêts à quelques combattantes ou combattants aguéris, mais il n'en deviendrait que plus méfiant encore, car la confiance na aucun sens pour lui. De tels vétérans peuvent être sûrs qu'il n'aura pas la naïveté de se confronter à eux, car, bien qu'il ne vit que pour élever son niveau, Garn n'est pas suicidaire. Il est un être sans imagination qui n'accorde d'importance qu'à la guerre et au combat. Ainsi, il peut rester des heures sans rien faire à attendre le déclenchement d'un quelque chose. Ne possédant rien que des armes, il ne demande rien d'autre, et passera des heures à vérifier le bon huilage d'un plastron, l'équilibre d'une épée, plutôt qu'a compter ses connaissances. Mais bien qu'il apparaisse comme un tueur né, il n'est rien de plus qu'un homme à qui on appris à tuer pour se sentir en vie.
Biographie :
Comme tous le enfants de wiehl, Garn suivit les enseignements de son père, et fut initié aux arts du combat. De constitution fragile, gaucher, assassin de sa mère pour simplement être né et reconnut bâtard de la tromperie de sa femme, son géniteur ne l'aura jamais aimé. Combattant moyen en toutes les disciplines, il pâtit dans son enfance de son physique fluet et de sa petitesse. Mais bien qu'en constante infériorité, contrairement aux autres, Garn ne put connaître l'amour maternel, et ne fut former qu'à la condition de guerrier. Sans compassion, sans pitié, ni même fierté d'une quelconque appartenance, seul le fracas de ses armes de bois lui apportèrent une sensation de vie , tandis que d'autres sentiments lui restaient absents.
Par son mutisme, on désespéra de lui apprendre à lire, bien qu'il ne soit pas idiot, et qu'il comprenne parfaitement, à l'insu de son tuteur, le langage écrit. Malgré tout, il ne lisait qu'en cas de nécessité et les grimoires, cartographies et encyclopédies l'ennuyaient. Hermétiquement fermé aux arcanes de la magie, il ne s'en inquiétait nullement ; le simple fait de réciter un sort le barbait, et bien qu'il puisse nommer toutes les pièces d'une armure, il lui était difficile de retenir une incantation, fusse un simple mot. Sa mémoire sélective faisait d'autres ravages, et Garn etait incapable de rester concentrer ou de mémoriser quelques choses qui ne intéressait pas.
Toutes affection ou bonté paternel inexistantes, Garn était toujours seul en dehors de l'entraînement. Son père lui apprenait à tuer et la ville se chargeait du reste. Déambulant dans les rues de Tulorim, il observait les passants. Il y apprit les engrenages du pouvoirs, les notions de soumission, de troc, de loi, d'argent, mais il lui restait impossible de comprendre les sentiments humains et leurs complexités. Et bien qu'il est une vague idée de chacun d'eux, il ne savait expliquer des actes en dehors de sa logique et de sa définition de la vie. Il apprit tout de même à reconnaître les signes d'un quelconque changement d'humeur, mais resta toujours en marge de la société.
C'est prés de ces treize ans sur Garn découvrit les dieux pour la première fois. Son père n'accordait que peu d'intérêt à ses croyances et ne jurait que par la transmission de son héritage, c'est pourquoi, lorsqu'il fut confronté pour la première fois à ses grandes statues, les vit t il comme des figurations de ses ancêtres, et vit dans ces icônes des représentations de guerriers valeureux. Bien qu'il ne s'en rendait compte, il devenait curieux ; il était fasciné par ces êtres universaux qui veilleraient sur lui, et les idéalisa encore, ne rêvant que de les affronter et choisissant parmi eux des rivaux. Une femme dut le reprendre à plusieurs fois, afin de lui faire comprendre que les dieux n'étaient pas à tuer mais à prier. Et c'est ce qu'il fit. Il en choisit deux, sans hésitation. Le premier fut Thimoros, à qui il voua un culte intérieur, et dont il pria la colère. Chaque jour priant le ravage, il en choisit plus tard un second, Phaitos, qu'il implorera à chaque fois que sa vie devra être en jeu. Car pour tuer plus, il faut moins mourir.
À c'est dix sept ans, le père de Garn mourut. Il avait alors presque atteint la fin de son apprentissage, mais personne ne voulut lui accorder de chance, et il comprit qu'il ne passerait jamais le rituel de passage à l'age adulte du peuple de wiehl. Il avait attiré trop de haine. Il partit de Tulorim, et décida d'achever lui même sa formation, la où on reconnaitra sa vrai valeur, là où le tonnerre de la bataille gronde.
Tout commencera à Yarthiss.
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Arme et bouclier :
Main principale (gauche) : poignard (For +2)
Main secondaire (droite) :
Armure :
Protection pour le torse: cuirasse (End +2)
Protection pour la tête :
Protection pour les bras :
Protection pour les jambes :
Cape :
Bijoux magiques :
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Sac :
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Argent :
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Sorts acquis :
Sorts de combats évolutifs :
Sorts RP :
Sorts créés par le pj lui même :
Capacité de combat :
Sans arme acquise :
Avec arme acquise : feinte
Avec arme de jet acquise :
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Points de vie: 20/20
Point de Ki : 2/2
XP nécessaire jusqu'au prochain niveau : 10
Niveau : 1
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Réputation : Yarthiss: 0/100 (renommée), 0/100 (infamie)
Croyances :Dieu vénéré : Thimoros
Dieu(x) prié(s) régulièrement : Phaitos
Dieu(x) hai(s) : Aucun
Dieu(x) non reconnu(s) : Aucun