Nom : Idraac Mo Komané Ali Kanaté
Classe : Rodeur
Race : Humain du peuple des dunes
Age : 32 ans
Description physique et de la personnalité :Que dire de cet être, si ce n'est qu'il est sombre. Non de par sa peau brune brûlé par le soleil ou ses longs cheveux asséchés par les souffles arides et constants du désert ,mais de part le mystère qui habite son âme. Car, il faut le dire, Idraac n'a plus vraiment rien d'un humain. C'est une créature prostrée qui depuis de longues années vie en reclusion totale, évitant soigneusement tout contact avec l'homme. Le désert, il le connait comme sa poche. Ses moindres murmures sont pour lui comme des mots doux qui lui chuchotent ses secrets oubliés et ses tempêtes violentes sont des avertissements qui lui rappellent la fragilité de son existence. Idraac aime le désert et il n'en est pas a douté qu'il l'aime en retour.
Car les longues années de solitudes, lui ont permis d'établir un lien spécial avec sa nature particulière. Soumis aux aléas de ce biome sans pitié, il en fait partie intégrante. Sa rare flore et sa faune cruelle n'ont aucun secret pour lui. Si bien qu'il est capable d'imiter le blatèrement du chameau ou le ricanement de la hyène, ce qui suffit parfois à éloigner d'éventuels gêneurs. Souvent chasseur, parfois proie, il fait partie intégrante de la chaîne alimentaire désertique. Cet homme à la peau d'ébène n'est au final qu'une bête parmi les bêtes.
C'est pourquoi il ne porte aucune attention à son apparence. Ses cheveux tressés reflètent bien moins une coquetterie humaine qu'a un stratagème pour éviter que des nuisibles viennent s'y loger. Sa barbe noire et hirsute lui donne l'air d'un vieux mâle conforté par sa solitude. Et ses grands yeux noirs brillent d'une lueur que l'on retrouve chez les grands prédateurs.
Biographie (résumé) :Mais aucun animal ne peut porter le patronyme d' Idraac Mo Komané Ali Kanaté. Car avant de devenir cet être à l'allure négligé, il était un homme vivant parmi les siens. Un fier guerrier de son peuple du désert de l'Ouest. Troisième enfant de l'une des quatre femmes de son père, il n'était rien de plus qu'un homme comme les autres. Élevé dans le respect des valeurs du peuple de l'Ouest, il devint rapidement un guerrier au service d'une caravane marchande, comme beaucoup des siens. Un homme dans toute sa banalité, non moins dénué de tentations que les siens. C'est donc ironiquement que ce sont ses pulsions humaines qui le menèrent à l'état d'animal.
Un jour comme un autre, alors qu'il vivait avec la vigueur de ses vingts printemps, sa caravane fit halte à la grande oasis. Lieu de rassemblement, de repos et de pèlerinage pour tous les clans du désert. En cette journée banale, il s'éprit de la plus belle femme qu'il n'avait jamais vue. C'était une déesse parmi les vivants, ses yeux semblaient refléter le ciel et sa peau halée ne demandaient qu'à être couverte de baiser. Idraac, charmeur lui fit la cour, et elle succomba à ses flatteries enflammées. C'est donc naturellement qu'ils consommèrent leur amour. Mais cette femme, ce bijou de la nature, était celle d'un autre, et cela, Idraac Mo Komané Ali Kanaté, n'en avait pas connaissance. Or, chez les gens du désert, convoiter la femme d'un autre, signe de sa puissance, est un crime. Le hasard voulut qu'ils furent surpris dans leurs ébats et pour échapper au pire des sorts, la femme accusa Idraac de viol. Ainsi, sous les yeux de ceux qui étaient prêts à lui jeter la pierre, on l'emmena loin dans le désert. L'homme cria à qui voulaient l'entendre son innocence, mais ses paroles se heurtèrent à des sourds. Ne fut-ce pas normal ? Qui à envie d'écouter un violeur ?
Il fut donc lynché, par une dizaine de ses semblables, jusqu'a ça que sa peau brune devienne écarlate par le sang. On lui cracha, on lui urina dessus, pour finir de le déshonorer et on le laissa pour mort, avec pour seul compagnon la honte.
Le miracle fut, que malgré ses plaies, et les vautours prêts à se nourrir de sa chair, il survécut. Ses blessures n'étaient rien face à ce sentiment d'injustice qui décupla sa force, et son désir de vivre. Affaiblit, il se débrouilla pour survivre à son milieu hostile. Implorant constamment Toumlanayh, qui devait connaître la vérité dans sa grande clairvoyance pour qu'il le guide. Ainsi, après de longues semaines à survivre au jour le jour, il arriva physiquement à se remettre. Mais il sut que plus jamais, il ne pourrait vivre parmi les siens. Ainsi mourut Idraac Mo Komané Ali Kanaté. Et une décennie de retrait de toute société, fit de lui ce qu'il est aujourd'hui : une bête du désert.
Les rares hommes qui ont pu l’apercevoir de loin, parlent d’un humain qui se meut comme une bête. Et malgré lui, il est devenu, le personnage de ces histoires que l’on se raconte parfois la nuit, au coin du feu. Ces contes dont l’on ne sait jamais si ils sont totalement vrai.
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Armes et bouclier :En main principale : Bâton usé (for+2)
En main secondaire :
Armure(s) :Protection pour le torse : Boubou déchiré par endroits (end+2)
Protection pour la tête :
Protection pour les jambes :
Protection pour les bras :
Cape :
Bijoux Magiques :
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Sac (Encombrement = 0/20) :-
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Argent : 50 Yus
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Sorts Acquis :
Sorts de combat évolutifs :
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Sorts RP :
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Sorts créés par le PJ lui-même :
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Capacités de combat (CC) : - Instinct sauvage : Lorsque le personnage n’a aucun indice sur les intentions de son adversaire, il peut s’en remettre à son instinct pour essayer d'anticiper ses coups. Risqué, cela permet cependant de faire des choix décisifs (Esquives+2/lvl pour les [lvl/4] prochains tours, arrondis à l'inférieur. Pas d'attaque durant ce tour)
CC Sans Arme acquises (CC SA) :
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CC Avec Arme acquises (CC AA) :
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CC avec Arme de Jet acquises (CC AJ) :
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Points de vie: 20/20
Point de Ki : 2/2
XP nécessaire jusqu'au prochain niveau : 10
Niveau : 1
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Réputation :Les déserts d'Imiftil: 0/100 (renommée), 3/100 (infamie)
Croyances :- Dieu vénéré : Toumlanayh
- Dieu(x) prié(s) régulièrement :
- Dieu(x) haïs :
- Dieux non reconnus :Tous les autres dieux du monde connu.
