Le cimetière des âmes en repos

Si vous cherchez un cimetière qui reflète tout le caractère glauque et effrayant de la mort, avec des tombes en décrépitude, des cryptes propres à receler des morts-vivants, une végétation envahissante surtout constituée de ronces hérissées comme des hérissons sinistres, la scène toute entière respirant une odeur de charnier, scène sur laquelle le soleil ne se lève jamais… vous êtes mal tombé.
Car le cimetière des âmes en repos, dans un coin de la ville, est le cimetière le plus propret qui puisse exister, et même –quelle oxymore !- le plus joyeux : il semble émaner de ce lieu une sorte de bonheur tranquille. Bonheur des morts de pouvoir connaître le repos éternel dans ce lieu charmant, et bonheur des vivants de pouvoir les visiter en sachant que la dernière demeure de leurs proches est si agréable : en toute saison, loin de se situer comme une sombre contrepartie du monde des vivants, le cimetière semble toujours en parfaite harmonie avec la nature, recelant d’ailleurs à tous coins mille animaux qui ont élu domicile dans ce lieu où la vie se poursuit ainsi au-delà de la mort.

Les gérants du cimetière eux-mêmes sont une insulte aux clichés des cimetières : la famille Gravyar, en charge des lieux, respire la joie et la bonne humeur. Constituée d’une mère rondelette rayonnante qui se porte comme un charme, d’un père bâti comme une armoire à glace au rire facile, et de deux faux jumeaux, deux filles pétulantes de joie. Ajoutez à cela un grand père inimitable râleur mais indubitablement bon vivant, que l’on peut voir souvent tapoter une pierre vierge de sa canne en disant qu’il a sa « place réservée pour l’éternité », et vous avez les gardiens les plus agréables qui soient pour l’endroit le plus agréable qui soit.

D’ailleurs, si vous leur demandez, ils se feront sans aucun doute un plaisir de vous faire visiter le cimetière de fond en comble si ça vous chante, fiers de pouvoir exposer le fruit de leurs efforts.

Ⅲ - partie 4 :
En entrant dans le cimetière je vis deux petites filles qui jouaient dans un coin où il y avait
de l'espace tandisque des colombes volaient par ci et des lapins allaient par là, l'endroit était si paisibe
et beau que je fus étonné que ce fut un citmetière, Dehant n'arrêtair pas de me surprendre. En m'avancant un peut plus, je vis unvieillard qui s'approcha de moi et dit :

Bonjour mon jeunne ami, tu es surement venus ici pour visiter le.cimetiere.

Pris de court, je ne pus que marmoner :

Euh...Oui, je passe à Dehant alors j'en profite pour visiter.

Je ne pouvais pas lui dire que je cherchais à éviter la milice ce serais comme dire : J'ai perdus de vue la milice, auriez vous l'obligeance de leur dire que je me cache ici.

Soit pour commencer, je vais vous montrer la stèle des héros.

Le vieil homme me raconta les fait guérrier de tels héros gagnant tels batailles ou sauvant tels personnes. Je ne lui préttais l'oreille que parfois tout en n'oubliant pas de jeter un coup d'oeil vers le portaile du cimetière au cas où la milice m'aurais retrouvé. L'homme me fixa et dit perplexe :

Hum...J'espère que vous m'avez entendus. Vous me semblez distraie .[/color ]

[color=blue]Non, je suis seulement fascinné par ces fleures qui poussent prêt des tombes. Dis-je par hasard pour semer sa question.

Ah...Je comprend c'est fille qui arrose les plantes chaque matin, tandisque mon geandre s'occupe de les plantées et de les taillées.

Vous êtes toute une famille à ce que je vois. Les deux filles qui s'amussent là bas doivent-être vos petites filles.

L'homme sourie et répondit :

Ma fois vous avez raison. Vous êtes un petit malin à ce que je vois.

J'allais lui répondre quand un homme portant une toge noire s'approcha de nous et dit :

Bonjour mesieur, auriez vous l'obligeance de me montrer le cimetiere publique.

Le vieil homme et moi restame étonner un long moment. Notre interlocuteur était un homme jeunne dans la vingtaine peut-être à en jugé par sa voix et son apparence, mais son teint était pâle et son visage maigre comme si il était épuissé par le temps lui donnant plus d'âge. Ses yeux nous ont le plus marqués car ils étaient froid, livide, et semblaient recelés de la noirceur et une force inconnus. Le vieil homme fut le premier à se ressaisire et dit :

Oui, le cimetière est juste ici.

L'homme souris d'un air étrange et dit :

Merci, de votre aide je pensais me tromper d'endroit.

IL avait dit ces mots en se retournant, nous ignorant délibérément, et se dirigea vers les tombes en les regardant. Je pus remarquer un cercle pourpre sur sa toge contenant des symboles qui me sont inconnus. Le vieil homme dit :

Cette homme doit avoir un parent éloigné ici, car je ne l'ai jamais vus ici ni dans la ville non plus.

Je jetais un dernier regard vers cette homme qui se promenait entre les tombes.

Etrange, effectivement

Le vieil homme tapota de sa canne une tombe et dit :

Un jour, on m'enterrera ici. Ces satanés mal de dos m'auront ou ces maudits médicaments que ma fille me prépare chaque jour le feront. C'est l'avantage d'avoir ce travaille, on a une place de premier choix ici.

Ne sachant plus où donner de la tête et hésitant entre rire ou le consoler, je ne pus que me tortillé et me demander que dire. Finalement, je ne pus que simuler un toux, tout en regardant futivement les alentour quand j'entendis une voix.

Eh!! toi là bas ne bouge plus.

Je reconnus le bruit mas des armures et sans me retourné, je donnis dix yus plus qu'il en fallait au vieil homme en lui dissant :

Je vous remercie de cette visite qui m'a été instructive. Je vous souhaite à vous et à votre famille de passé un vie heureusse avec votre famille.

Sans autre formalitée je marcha lentement vers un côté du cimetière, déjas j'entendais les miliciens préssé le pas vers moi. Je remarqua que un banc et le mur du cimetière. L'homme en toge noir me regarda surpris que je ne réagise pas à l'approche iminante des deux miliciens. Prennant mon soufle, je me mis à prier mon katana que tout se passe bien. Je pus sentir la main d'un des miliciens qui allait m'attraper, mais je fus plus rapide car déjas je courais vers le mur qui était un bien trop haut pour être sauté. Une voix dit dérrière moi :

Tu es coincé petit, arrête de courrire.

Je sentais le regard du vieil homme, de l'homme en toge, et même des petites filles sur moi. Je courais rapidement sans m'arrêter droit contre le mur quand soudain les deux petites filles poussèrent ensemble un cries de surprise, les autres spéctateur ouvrirent seulement leur yeux. J'avais bondit sur le banc puis j'avais utilisé ma vitesse et le bond pour rebindir vers la mur. Je sentis l'air soufler sur mon visage et repousser mes vêtement, mes deux mains atteingnirent le sommet du mur avant que la gravitée ne rattrapa. Je grimpis sur le mur et en m'accroupissant pour sauté de l'autre côté du mur je pus regarder le vieil homme qui souriait, l'homme en toge, les deux petites filles, et l'elfe milicien qui me regardaient, seul l'homme miliciens courait vers moi, puis je regarda la rue et sauti du mur pour sortir du cimetière.