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__________________________________________________________________________ Nom : Valla-Meär Amaryliel Il Alamitz Classe : Fanatique Race : Sindel -mais une grand-mère taurion - Age : 89 ans
Description.Une lumineuse présence est l’aspect caractéristique d’Amaryliel. Son teint est le mélange subtil des petits attraits taurions qu’il possède et de son héritage sindel : un blanc pâle, presque égal à la neige. La pureté de son teint inspire un respect et une sérénité remarquables, dignes de tout elfe.
Et, presque égal à la neige, le soleil n’est point l’allié de son corps.
Nulles expressions ou signes montrent que le temps peut prendre effet sur cet être ; Zewen figea son corps dans cette structure et aucune ride ne viendra perturber le grand assemblage qu’est cet elfe.
Sa silhouette est androgyne et longiligne, les courbes de son corps sont assez peu rebondies mais gracieuses ; genre d’enveloppe que l’on attribue volontiers à la gent féminine ; mais pour un elfe mâle, il n’est pas rare d’être attribué des mêmes atouts qu’une elfe peut posséder.
Ses muscles sont discrets quoi qu’assez robustes pour être utiles, ils ne se développent que peu et de manière à ne jamais s’afficher.
La luminosité de son visage est tout à fait en accord avec le reste de sa personne : les traits sont fins et extrêmement féminins, très semblables à ceux des taurions où la finesse et le naturel sont des attributs encore plus marqués que chez les autres elfes.
Amaryliel semble particulièrement inoffensif avec son nez mince et effilé, ses lèvres légères affichant une inaction perpétuelle ainsi que ses oreilles, présentes mais rarement visibles à cause des cheveux. Les yeux du quart-de-sang-mêlé sont des pièces uniques: l’œil droit est gris clair, froid mais affichant une sensibilité et un calme dignes des grands rois de Yuimen ; quant au gauche, il est mauve, terne et semble brûler timidement sans pour autant troubler le calme du jeune elfe.
Son expression est toujours la même, rayonnante, stature quasi-divine, il brille par un calme et une volonté secrète.
Quant à la chevelure de Valla-Meär, elle est étrangement inverse à son corps. C'est-à-dire des cheveux assez longs d’un noir obscur ne laissant pénétrer aucune lumière, mais l’absorbant plutôt. Sa coiffure lourde et épaisse est laissé à la nature, ses cheveux ne sont presque jamais coiffés ne sont pourtant pas laids ; mais si l’effort y était sa chevelure deviendrait une merveille en totale équité avec le reste de son être.
S’il y a un aspect majeur qui rompt de manière nette avec son apparence lumineuse, cela doit être ses sombres atours, il est vêtu d’un apparat qu’il a entièrement confectionné grâce aux histoires qu’ont pu lui raconter son père et sa mère adoptifs sur les humains.
Imparfaits mais d’une esthétique certaine, sa veste noire asymétrique et ses habits sombres évoquent la noblesse des gardiens de Yuimen que ses parents adoptifs ont pu côtoyer jadis.
Le dernier facteur est presque le plus étrange de tous, Valla-Meär porte une paire de lunettes, une fine paire magnifiquement ouvragée ; mais ses lunettes lui sont-elles véritablement utiles, ou n’est-ce qu’un artifice ? Nous ne le savons pas.
Personnalité et Mœurs.Égale à son apparence : une lumière fermée sur elle. Amaryliel est l’archétype de la piété sans Dieux. Calme à l’extrême, il donne une impression d’obéissance et d’asservissement ce qui est entièrement faux. Prudent sans être lâche, il sait et comprend quand une situation dégénère, mais ne le montre pas.
Doué d’un puissant moral, il se voit être un dévot sans avoir besoin de porter sa dévotion envers personne. Conscient des réalités physiques, il ne s’en préoccupe que peu, voire pas du tout. Pour lui, tout n’est qu’un vide conséquent, preuve d’une réalité absurde dans laquelle il faut être silencieux. Car Amaryliel est capable d’afficher un silence comprit comme un mépris par les étrangers.
Il n’aime pas le contact et évite les foules. Sincère, mais loin d’être niais, il use d’une rhétorique longuement réfléchie à l’avance. L’interrogation qu’il se pose est la magie d’ombre présente depuis petit en lui. Ses fluides obscurs, sans être maléfiques, sont pour lui la raison même de sa personnalité. A cause de sa forte morale, les ténèbres n’éclatent jamais en lui et sont entièrement domptées. Non par confiance en lui mais par simple sérénité, il sait que cela en sera toujours ainsi.
Valla-Meär se contrôle parfaitement et contrôle parfaitement sa magie, qu’il est par ailleurs le seul à connaître.
Il n’adhère à aucun culte véritablement, admettant uniquement le fait que si nous possédons un esprit suffisamment développé la religion n’est plus indispensable, elle freinera l’individu même.Biographie.La naissance de Valla-Meär est tenue secrète, même si l’on sait que son père véritable était un sindel et que sa mère une semi-sang-mêlée au tiers taurion et aux deux tiers restant sindel. Le reste n’a pas été divulgué à Amaryliel qui n’a jamais véritablement posé la question à ses parents adoptifs.
Ceux-là sont de riches marchands ayant fait fortune dans l’exportation d’ivoire à Kers, il y a fort longtemps. Depuis, ils décidèrent de rentrer dans leur bon vieux royaume d’Anorfain où ils ont éduqué le jeune Amaryliel. Icelui s’adonna à deux passions bien différentes : la couture et l’escrime elfique.
La couture lui vient de sa mère adoptive, lui apprenant à maîtriser l’art subtil et précis, qui demande patience et attention ; la couture lui apprit la méditation et la compréhension de l’univers ambiant dans un calme des plus frustrants pour le commun des mortels.
L’escrime vient de son père adoptif, plus vif et actif que son épouse. Ce n’était pas son idée au départ mais la père, jugeant que son fils ne devait pas « s’efféminer » à attendre qu’une elfe le protège, décida de lui apprendre les rudiments d’une technique de combat que les militaires hinions n’usent plus depuis fort longtemps - surtout parce qu’ils ne sont plus en guerre. Du combat, il apprit le respect et la rigueur, mais surtout comment se défendre à l’arme blanche. Les deux passions se couplent parfaitement dans l’esprit de l’elfe qui utilise même l’un pour améliorer l’autre.
Valla-Meär Amaryliel vécut une enfance paisible que rien ne troubla. La clairvoyance du jeune être l’éduqua tout aussi bien que les pensées de ses deux tuteurs, sans pourtant l’endormir dans une réalité parfaite, sans soucis. Il est conscient que le monde est fort sombre par bien des points, mais conscient aussi qu’il n’est pas prêt à affronter les périples du monde. Certes, mais Zewen ne prévient pas quand il frappe.
L’élément perturbateur – et cela sous toutes ses formes – de la vie d’Amaryliel n’est autre qu’une personne : Rose Lirulin . Une jeune elfe vivant dans les plaines au nord de la ville. Zewen seul sait par quelles circonstances Rose es, si l’on peut dire, la seule amie qu’Amaryliel ait.
Ladite amie est l’opposé même de l’elfe, énergique et désinvolte ; il reste avec elle pour des raisons vraiment inconnues. Peut-être est-ce le fait qu’ils soient tous deux nés le même jour et qu’ils soient tout deux adoptés, nous l’ignorons. Une chose est sûre, si l’un est quelque part, l’autre est très probablement dans les parages.__________________________________________________________________________ Arme(e)s à portée de mains :- Rapière elfique (for+2) - - Armure(s) :
Corps- Habits noirs -cousus par Amaryliel- (end+2) Bouclier- Casque- Cape- Bijoux magiques :- - Magie acquise(s) :- Souffle de Thimoros : - 1pv - - Sac (Encombrement = 0/20) : - - - - Or : 50 Yus Ville de départ : Lúinwë
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Valla-Meär Amaryliel Il Alamitz
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