Je ne suis pas d'accord avec toi, Anastasie. Il semble que tu aies un certain angélisme des idées communistes. C'est parce que c'est l'intérêt de chaque prolétaire (et non pas de la superstructure de classe qu'est le prolétariat) de mettre fin à l'antagonisme de classe qu'il s'agit de leur proposition politique rationnelle. Cela ne veut pas dire qu'ils DOIVENT être de gauche. Cela veut dire que, s'ils conscientisent les aliénations qu'ils subissent, ainsi qu'ils analysent l'exploitation due au surtravail, essentiellement (dans le terme essence) liée au salariat, ils se rangent de fait du côté qui soutient LEURS intérêts. Le communisme est donc un individualisme et la révolution prolétarienne signifie qu'elle doit être fait PAR les prolétaires CONTRE le prolétariat.

Je suis assez d'accord avec toi, mais je pense qu'il y a une différence entre les motivations et les conséquences. Presque toute motivation est égoïste et individuelle, mais elles n'ont pas toutes les mêmes conséquences. La conséquence du communisme reste profondément ancrée dans une politique de gauche.

Oh, je vois.

Je vais aller RP Cromax du coup.

Traditionnellement, les valeurs suivantes sont considérées comme étant caractéristiques de la gauche8,9 : égalitarisme, fraternité, solidarité, progrès, insoumission ;

Par opposition, les valeurs suivantes sont généralement considérées comme étant de droite : autorité, identité nationale10, ordre social, sécurité, conservatisme, tradition.

Oh, je vois.

Je vais aller RP Cromax du coup.

Je n'ai pas vraiment cette définition. Est de gauche toute politique s'occupant des intérêts des classes qui ont intérêt au changement de superstructure.

Heu, ah oui, désolé, je me suis un peu laissé emporter par la conversation. Mais j'y vais là (enfin écris quand même, mon post n'aura pas grand chose à apporter au tien je pense, donc même si je post avant toi t'auras pas beaucoup à t'éditer).

Et le communisme n'entre pas dans cette définition de la gauche ?

Bien sûr que si.