En soirée, il paraît que c'est efficace. Tu danses avec la fille et tu lui demandes directe "est-ce que tu veux coucher avec moi ?"

généralement, soit la fille est venue pour ça et tu repars avec, soit c'est absolument pas le cas, tu te prends une énorme gifle et tu gagnes du temps.

Bien que je sois une bavarde, lorsqu'il s'agissait de discuter avec un garçon dans un but intéressée, je devenais timide et en perdais les moyens.

Je me souviens à ma première année d'université, dans mes cours de botanique (classe d'un peu moins de 100 élèves). Le jeune homme assis devant moi me plaisait et il semblait assez brillant. donc, un bon matin, en début de cours, j'ai fouillé dans mes notes de cours, pour trouver une notion que je ne comprenais pas...J'ai donc trouvé ma question sur un concept quand même pas trop simple, pour pas paraitre idiote (en fait, je comprenais déjà la notion, mais j'avais besoin de ce prétexte pour l'aborder une première fois). J'ai donc affiché mon plus beau sourire, et je lui ai demandé s'il pouvait m'aider à comprendre. Il m'a rendu mon sourire et a tenté de me répondre (en fait, il avait tort dans ses explications, mais je n'ai rien dit, j'ai écouté et je l'ai remercié. En fait, c,était pas une bonne technique du tout. Je n'étais pas très douée

(ou je me laissais faire, plutôt, la plupart du temps).

J'ai beaucoup ri à la conclusion.

Genre, beau gosse.

Surveillance d'examen de laboratoire pour moi encore ce matin !

Mais cette fois, juste de l'électricité, pas de produits chimiques, il ne devrait pas y avoir de pépins !

et pour la grosseur par contre, Anastasie, détrompe-toi, les femmes n'aiment pas toutes des hommes minces... et encore moins le genre musclé, tout dans les bras.

Comme exemple, ma jeune collègue de 27 ans, préfèrent les hommes bien en chair avec une petite bedaine.

Et dans cinq heures, elle nous reviendra avec le constat d'une électrocution majeure de trois élèves imprudents.

C'est culturel, ça. C'est une québécoise, elle voit en ces traits l'affection et la tendresse, le bien-vivre.

En France, ce sont pour la plupart de petites superficielles bavant sur les tablettes de chocolat et les pectoraux rebondis, le fessier rond et musculeux.

C'est culturel, ça. C'est une québécoise, elle voit en ces traits l'affection et la tendresse, le bien-vivre.

En France, ce sont pour la plupart de petites superficielles bavant sur les tablettes de chocolat et les pectoraux rebondis, le fessier rond et musculeux.

Yep. En tout cas je ne connais aucune femme qui préfère les gros. Surtout pas en France.

Je t'ai parlé d'une collègue, elles ne partagent pas toutes cet avis.

Non, je ne pense pas que les françaises soient toutes des superficielles... il ne faut pas les mettre toutes dans le même panier !