D'ailleurs pour ceux qui veulent, la description des statues : (tirée de la quête 30)
Citation:
Celle de Xël, bras levés et poings fermés, mine rageuse et combattive, entouré de morceaux d’or expédiés, explosés, rappelant sa victoire sur une créature noire. Eva, debout, droite et fière, entourée de cristaux glacés faits d’or. Mathis, tenant en ses mains une pique d’or coincée dans un engrenage. Azra, le visage mi-humain, mi-squelettique, tenant dans sa main, plongée dans son propre cœur, la dague qui a vu sa vie périr sur la Lande Noire, dorée. Sa statue est couronnée d’or, rappelant sa reprise héroïque d’Esseroth aux mains de l’ennemi. Celle de Karz, aux bras mécaniques, penché sur le sol, mains d’or plaquées sur celui-ci, et terrassé d’or, mimant l’usage de sa création de la Plaine d’Or. Kiyoheïki, ensuite, arborant dans sa main un écu d’or frappé d’une trinité représentant les trois cités pâles qu’il a réunies dans cette guerre. Autour de son autre bras, tendu vers le haut, poing fermé, un dragon d’or s’enroule représentation de sa propre transformation. Heartless, ensuite, brandissant d’une main son trident d’or, de l’autre une tête d’orque tranchée, symbole de sa victorieuse participation à la bataille du Sud des Plaines ynoriennes. Serpent, aussi, au masque d’or, et brandissant fièrement, droit et fier, une lyre dorée. Sirat, ensuite, brandissant d’une main un marteau d’or, et de l’autre un épais grimoire d’or, symbole de connaissance et de sagesse. La dualité de l’humoran était ainsi représentée, telles ses actions dans cette aventure. Silma, ensuite, un rapace nocturne, un harfang doré, posé sur l’épaule, fière et droite, elle aussi. Alistair, ne lui déplaise, portant à bout de bras un drapeau doré, symbole de sa reddition momentanée contre les esclaves de Vallel. Reposant à ses pieds, la grande épée, dorée, de Gurfelion, vaincu par sa main. Endar, ensuite, l’air concentré, tenant entre ses doigts une boule d’or, symbole de sa magie. Charis, aussi, altière, tenant dans ses mains tendues un oeil schématisé, d’or, à la pupille incrustée d’une pierre de vision étincelant d’un bleu magnifique. Elle arborait au cou une clé d’or, symbole de l’ouverture de l’Antique Messaliah.
Et non des moindres, la plus réaliste sans doute, toute d’or, pour sa part, la statue de Lothindil, main tendue vers le ciel. Une statue ? Pas exactement. Son moulage dans l’or ayant recouvert la plaine, plutôt. Car la statue contenait encore son corps, indéniablement. Ainsi, elle était maintenue dans sa forme initiale, embaumée par l’or qui la conservait.