Ezak >>

Dans l'étagère derrière l'Autel, tu trouves quelques vieux papiers rendus illisibles, deux chandeliers en métal noir, un miroir brisé, deux fioles contenant un liquide noir et une gourde dont le contenu, si tu l'ouvres, sent fortement l'alcool. Tu peux, de ta position, apercevoir également les trouvailles de Tathar, dans le second coffre.

Le coffre ne résiste pas longtemps à mes assauts et je peux enfin voir ce qu’il contient, c'est-à-dire tout et rien à la fois. Fouillant comme un barbare dans les divers objets, et oubliant totalement le fait que Sandro à disparu, ce qui en fait n’est pas plus mal, je tire une magnifique statuette de dragon du fatras.

Il faut admettre que j’ai toujours adoré les dragons et trouver ainsi une figurine représentant l’animal me comble de joie, surtout qu’intimement, j’espère que l’objet possède des pouvoir magique comme l’invocation de la créature qu’elle représente.

Fouillant encore un peu dans le coffre, je porte mon choix sur les quatre fioles de couleur étrange qui traînent dans le fond. Malheureusement, la place dans mon sac m’empêche de tout prendre et je décide donc de me débarrasser de la chaîne d’argent et donc de me relever pour en faire don à Ezak.

« Tiens, mon ami, je t’offre ceci… personnellement je n’en ai plus l’utilité. J’espère que ça te plaira. Tiens, profites-en aussi pour regarder un peu dans ce coffre, tu pourrais peut-être y trouver quelque chose d’intéressant. »

Prenant alors congé du guerrier, je rejoins le reste de la bande qui attend à l’entrée du lieu saint. Tirant d’abord les fioles pour en examiner le contenu, je les range après examen pour sortir le diamant et le nettoyer sur ma veste avant de le tendre a Max.

« Mon cher Maxanitsh, c’est notre jour de chance n’est-ce pas ! Regardez ce que j’ai trouvé. Je pense que cela vous appartient. »

L’étagère ne contient pas grand-chose d’intéressant. J’observe les objets, un à un et au bout de quelques secondes j’agrippe tous ce qui me parait utile :
Les deux fioles et une gourde qui quand je la débouche pour en sentir le contenue dégage une forte odeur d’alcool.

(Il doit être fort ce truc…)

Refermant l’étagère, je me retourne vers Tathar qui m’offre une chainette en argent dont il en à plus l’utilité et m’offre de prendre ce dont il n’a pas voulu dans le coffre. Le remerciant brièvement de la tête, j’avance vers le coffre et dirige mon choix vers l’un de colliers à la croix mauve et les cinq étranges runes. Mais voila, je n’ai plus de place sur moi…

(Tant qu’il ne le remarque pas.)

Décidant d’abandonner discrètement le cadeau de Tathar dans le coffre, je prends le collier et le met autour de mon cou.
Aussitôt fait je vais rejoindre mes camarades dans le couloire.

Maxanisth regarde tathar arriver avec le diamant, une lueur lumineuse au fond de l'oeil. Il te prend la pierre précieuse des mains lorsque tu lui tends, et l'admire un instant.

"C'est elle, oui, c'est bien elle, la pierre de lumière, celle qui canalyse tant de puissance lumineuse et qui m'est liée intimement. Tathar, vous ne pouvez savoir combien vous aidez la réussite de notre entreprise en me rendant cette pierre. Vous verrez comment je pourrai l'utiliser contre notre ennemi. Il ne pourra rien faire, s'il n'est pas armé de la sienne! Et je le vaincrai, vous verrez. Vous avez encore bien des choses à découvrir sur nous, les Mages-maçons du temple de vie..."

Mais alors qu'il parle, Naral semble satisfait de votre fouille rapide et se dirige vers la Salle Gemme, escorté par Tiniis qui le précède pour lui ouvrir la porte...

La lueur qui illumine le visage de Max suite à la restitution de son diamant fait vraiment plaisir à voir et si ce qu’il dit est vrai, Mongoor n’a aucune chance de s’en tirer vivant.

« Mon cher Max, j’attends avec impatience de voir vos dons à l’œuvre. Vous étiez déjà grandement puissant sans votre pierre, alors maintenant que vous avez retrouvé votre source de pouvoir, ça va être du grand art ! »

Naral, ne voulant guère écouter les tirades de notre cher guide, part de son côté pour rejoindre les deux femmes restées dans la salle gemme, et le reste de la troupe ne tarde pas à les suivre. En chemin, je débouche de nouveau les fioles pour sentir leur odeur. Je suis malheureusement coupé dans ma tentative d’identification par la vue qui s’offre à nous…