Une tomate rouge qui dansait sur mon frigo la Carioca avait mal aux fesses car sa conscience anthropophage avait tout anéanti autour de son cher séant.Mais dans cette situation elle barbotait, cœur agonisant, derrière dégoulinant, saucisson fumant, dans son jus dégoutant. Ensuite papy Sawy, sage de n'avoir jamais ri, d'une apocalypse au goût turquoise rouge sanguinolent frappa son gros bâton sur un avenant avorton qui, tranquillement, mangeait une banane bleue passablement mûre. Ô Eumusa, veuve avare, détestant inopinément papy Sawy, fait que son aura noire étincelante s'éteigne les jours de pluie et de tristesse qui emporte, oui, emporte avec lui sa bêtise. Rêve étrange! Sombre folie qu'est la pensée obscure mais profonde est la conscience animale qui nous élève à éteindre le paroxysme inné, indubitablement anticonstitutionnel. Mais selon le goût de la fraise anhydratée, il est absolument indispensable de rêver à ce bateau rose qui rebondit sur un mur ensoleillé. De plus, l'abus de citrouille confite ajouté à la putrescence sucrée salée de la bonne-vilaine est parfaitement aphrodisiaque. Et si par hasard l'otarie fumante reniflait son aspirateur comestible rose bonbon, alors le cauchemar serait paradoxal, mais si toutefois Sawy arrivait sur sa monture anorexique et unijambiste, reniflant les croutons moisis, psalmodiant une grand-mère borgne, bossue et mal vêtue, alors il deviendrait idéal. L'arrivée impromptue d'une vache volante provoque le déluge de pop-corn, salvateur et réparateur pour quiconque voudrait copuler avec là-dite vache pour donner naissance à Monsieur Crominet le superbe et surprenant Sindel modeste. Cette naissance miraculée forma un horrible rejeton vert et rachitique affublé d'un ceinturon magique trop grand pour sa grande soeur, pourtant si grosse et vraiment malodorante qu'elle rend insupportable la pizza-party. Le canard skieur alpin démentiel, pouvait faire cuire trois oeufs, huit steack et 1200g de crevettes avant même que la baignoire percée n'exécute un quintuple salto pour atterrir sur Chuck Norris. Ce dernier, occupé à construire des barrages thermiques en papier mâché, avec un pinceau rouge carnivore et cannibale envers l'impudente qu'il gratifie d'un coup de moelle épinière de caribou pour ramasser sa perruque. Soudain, le pet légendaire sortit avec la lime à ongles d'Abraham Lincoln qui était absent à l'enterrement de sa soeur dont la jambe était déjà fort putréfiée et miraculeusement bleue, signe divin de l'ablation, et se demandant l'heure trouva que le jus jaunâtre qui suintait devait transcender la paranoïa gangréneuse du petit canard. Je me présente j'appelle Henri j'voudrais bien un petit whisky, des raviolis et un bon lit dans lequel un succube se prélasse, des limaces et GM2 la mesquine batifolent, tous avec ardeur et fanatisme. Orgie frénétique et orgasmique qui sera délicieusement attirante avec un mouton grillé arrosé de Gasoil champagnisé et javellisé. Krasse,Raclette et Bigoudie !Patate douce, champagne et préservatif troué GLORIA !, GLORIA ! Que le seigneur soit et bénisse la tomate suscitée follement amoureuse de Patrick Sebastien, Don Juan, fidel gastro prenant une puissante dose de laxatifs périmés, alors une envie de Raclette à paillette, pirouetteeeuh, cacahuèteeeuh, et Krasse le Merveilleux bouffon qui pète, cacahuèteuuuuh, et Galion le rustre puant, et alcoolique. Kallus, Krasse, ces infâmes et putrides intellectuellement supérieurs, assassins reconnus, aux blattes ils ne feront jamais la Révolution car elles ne peuvent point atteindre le ciel tropical et majestueux.Alors que Phaïtos ce sacripan de super dieu voudrait que de la bière chaude coule à flot.Ce nectar aromatisé de liquide vaisselle exaltait le palet déchiré d'une huitre à moitié pucelle, faisant doucement chanter l'arôme délectable de l'affreux chanteur Irlandais ; nonobstant tous se révoltaient, se disputaient, s'écartelaient, mais aucun ne sentaient des pieds, ni du nez. En revanche, les pistaches asséchées par l'armée martienne, Docteur Raclette entreprit de manger du feu jouissif, pop-cornant malicieusement, tapinant gracieusement, jalousement délicat, curieusement odorant, maladivement attirant, bravant dangereusement, tricotant goulument, voilà pourquoi la tomate finit par vomir sur la tête soigneusement cassée d'un analphabète russe, péruvien-sénégalais, à moitié mal peigné et mal fanatiquement givrée dans du sel de Guérande gélifié pour s'auto-mutiler à l'aide d'un sécateur en plastique quasiment fondu et rouillé. Pendant que la limace auto-destructrice voulait se cloner pour pouvoir s'assoir sur ses pieds boudinés et tout sales en léchant tendrement et avec sagesse les ignobles doigts palmés du charpentier. C'est alors que Zorro et Astérix accompagnés de Richard le bouloum atrophié du postérieur se mirent à beugler et à snifer paradoxalement la maïzena, la farine, et les petits Minimoys tout jouflus pour farcir sans modération une dinde encore vivante et déplumée. Papy Sawy, vénérable mage du gruyère suisse avarié, intervint dans la construction de Dindomator, la machine coudre de sa mêre Chuck Norris Mozarella, fille supérieurement intelligente de Carlos, patron éméché des cactus bleu sympathique sans compote de grenade aromatisée à la cannelle. Dindomator cuisine des gnocchis aux champignons hallucinogènes et macéré dans du foin et diverses enzymes barbiturées d'anémone pour fêter très joyeusement l'heureux meurtre.
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-Nous, assassins, ne rendons de culte qu’a Phaitos, le dieu de la mort.
-Pourquoi lui rendre un culte ? -Il est le dieu de la mort et nous la semons. Nous sommes ses envoyés.
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