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Nom :Morion
Classe :Fanatique
Race :Shaakt
Age :126 ans

Description physique et de la personnalité :Morion, comme la plupart des gens de sa race, a une allure fine et élancée, la peau noire obsidienne, des yeux rouge sang et les oreilles affûtées. Ses cheveux d'un blanc pur comme neige on été coiffés par dread.
Quand il se dévoile torse nu, on peut remarquer un tatouage en forme de toile d'araignée sur l'épaule gauche, une faveur pour Thimoros.

Morion est de nature belliqueuse et cruel, n'hésitant pas à plonger ses ennemis dans une peur inimaginable. En effet, quand il s'attaque à une cible plus faible ou moins bien équipée que lui il se délecte de la voir supplier et gémir avant de la torturée pleinement et chirurgicalement en lui infligeant des douleurs insupportable.
Par contre, quand il s'attaque à une victime plus puissante, c'est une tout autre histoire. Il déploie des ruses perverses et improbable pour le prendre à revers ou dans le dos sans que celui-ci de ne puisse le moindre geste et se retapie dans l'ombre l'instant d'après...

Biographie (résumé) :

Je suis née dans la grande citée de Gwadh en Nosveris, à l’époque ou la maison Noble ou j'était née avait encore une connotation « respectable ». Dès mon plus jeune âge l’on m’a initié à l’art du combat et inculqué les préceptes de la Reine des fausses démoniaques. J’ai eu la chance inestimable d'être formé avec le Chef Mercenaire Jarlaxle, grand Maître dans l’art de la guerre, et un des rares mâles dominant de cette cité, et même de Gwadh, à être élevé au même rang que les Matriarches. Même s'il devait tout de même un profond respect à celle-ci, il possédait tout de même la force nécessaire pour concurencer les maisons de la cité. De ce fait, les enseignements que j’ai reçue ont été exemplaires.
La vengeance, la haine des elfes, c’était notre nourriture spirituelle quotidienne, du levé au couché. L’entraînement était principalement basé sur le combat rapproché, n’étant que peu intéressée par l’art profane, mais préférant l’action du combat. Les leçons théoriques étaient basées sur l’anatomie sur cadavres d’elfes et d’humains trépassés, afin d’en étudier les points vitaux et les faiblesses.
On nous apprenait à frapper les elfes de préférence au niveau des jambes, étant relativement rapide, afin de diminuer leur mobilité et les achever au sol. Pour les humains, leur capacité d’adaptation à l’environnement semblait relativement rapide, ce qui se comprend de part leur existence éphémère et inutile, mais cette adaptation est principalement liée à la vue. Leur mouvements sont lents et peut gracieux comparé à notre élite, mais la vue constitue 90% de leur sens dont ils arrivent péniblement à exploiter le potentiel. Leur plus gros défaut persiste en leur incroyable désorientation dans l’obscurité. Ca en est pitoyable.
L’on nous enseignait que les humains étaient d’une étrange et dangereuse diversité à la surface. Ils pouvaient autant être manipulés qu’alliés à nos ennemis. C’est la raison pour laquelle j’ai suivis un entraînement spécifique pour devenir l'Elite parmis l'Elite et orchestré raid sur raid pour la collecte d'esclave et pillage des puissantes cité de la côte.

« Fais aux autres ce que tu n'aimerais pas qu'ils te fassent avant qu'ils en aient eux-mêmes l'occasion ». Ce refrain nous le récitions à chaque entraînement, avec d’autres préceptes de Gwadh. Les faibles mâles qui ne les clamaient pas assez fort recevaient trois coups de fouet du Maître d’arme, qui lui-même se faisait fouettait par les Matriarches pour ne pas suffisamment leur inculquer la discipline. Cela ne me gênait pas outre mesure, les coups de fouet sont un moindre mal comparé aux séances de tortures imposés par les Matriarches aux faibles de notre race. L’élite devait survivre afin de continuer à rendre notre glorieuse race prospère.
La confiance n’est jamais de mise. Compte sur toi-même, et agit pour ton peuple et la Reine des Araignées.

Avec de la sueur et des efforts quotidiens j’avais réussi à me hisser dans un petit groupe de soldats ayant pour but d'orchestré les pillages sur une petite ville de la côte. J’allais pour la première fois pouvoir exercer mes prouesses sur mes ennemis réels, me montrer pour la première fois sur cette terre où nos ancêtres furent bannis autrefois, et agir enfin pour la gloire de Thimoros !
Comme il se doit je fut escortée par quelques mâles expert du terrain extérieur. Notre ascension fut rapide, éclairée par les maîtres shaakts au travers des forêts. Quelques esclaves orques et gobelins nous accompagnait afin de servir de chair à canon au première vagues d’assaut.

Les balistes tiraient, des rochers tombaient, et nos mages lançaient d’immense déflagrations détruisant toute cette magnifique cité. Pourquoi cette destruction m’affecte-t-elle tant ? Alors que je restais tétanisée tel un novice en pleine guerre, un ennemi me pris pour cible et me blessa à la jambe d’une flèche ! La douleur me ramena à la réalité, et je chargeais donc dans le nuage de guerre, pour l’honneur de notre peuple !

Je ne pu défendre aucun honneur, bien au contraire. A peine eu-je commencé ma course que ce je fus mis hors course d’office par une pierre me frappant à l’arrière de la nuque. Je tombai inconscient, la bataille n’aura pas duré pour moi… puisse le châtiment des traîtres s’abattre sur ces créatures de la lumière !

De la lumière… trop de lumière… j’ai d’abord cru que j’étais mort, aveuglé par une lumière intense. C’était la lumière de ce que les surfaciens appellent « le jour ». N’ayant que l’habitude de sortir de nuit, c’était pour moi la première opportunité de voir cette boule de feu géante appelé soleil.
Au bout de quelques heures, ma vue commençait à s’accommoder. Je distinguais alors un petit bosquet, perdu au milieu des bois.

Tout en réfléchissant à cette nuit épouvantable qu'avait été celle-ci, une seule idée me revenait... Mes frères m'avait abandonnée à mon sort, ici, bien loin de Gwadh.
Je décida alors que jamais plus je ne me rendrais dans cette cité.

Après quelques semaines d'herrement sur le continents je me rendit bien vite compte qu'il n'était pas du tout fait pour moi...
Je partis alors vers un autre continent à l'aide d'un bateau faisant la traversée Pohélis : Dahràm. Arrivé la-bas, toute cette foule composé de mercenaire et de force obscur me plu beaucoup et je décida de m'installer dans cette ville, pour un petit moment en tous cas...

Alors commença mon exode sur les Terres de Yuimen...

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Armes et bouclier :

En main principale : Un cimeterre gravée de rune.
En main secondaire : Dague "Belle de mort".

Armure(s) :

Protection pour le torse :

Protection pour la tête :

Protection pour les jambes :

Protection pour les bras :

Cape :

Bijoux Magiques :
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Sac (Encombrement = 0/20) :
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Or : 50 Yus
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Magies Acquise(s) :
-Souffle de Thimoros

Capacités de combat (CC) :

CC sans arme acquise(s) :
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CC avec arme acquise(s) :
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CC avec arme de jet acquise(s) :
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Ville de départ: Dahràm

Bonjour !

Ta fiche n'est pas conforme ! Pour qu'elle le soit, tu dois notamment copier coller la fiche type telle quel et ne pas la modifier en supprimant les champs qui ne sont pas utilisés !
Ta ville de départ n'est pas correcte puisqu'elle se trouve sur un continent non autorisé aux débuts d'aventure. Si tu veux avoir été exclus de Gwadh, rien ne t'empeche de dire que tu as été transporté en bateau sur un des contients suivant :Imiftil ou Nirtim (les 2 autorisés au début !), et te choisir une ville de ces continents, par exemple Tulorim ou Nirtim, les plus jouées !

Voila j'ai éditée

Bien, voilà qui est mieux ! ^^

Te voilà donc validé, voici le LIEN vers ta fiche définitive, à mettre en signature !

Bon amusement à Dahràm, je suis à ta disposition pour des questions au cas où ! ^^

Merci à toi