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Nom : Baruch de Mortemart, bien qu’il n’utilise plus son nom de famille. Il se fait appeler tout simplement Baruch.
Classe : Mage.
Race : Kendran de la plus pure lignée.
Age : 19 années.
Description physique et de la personnalité :
Le jeune homme possède toutes les qualités physiques permettant l’élévation sociale au sein de la haute noblesse kendrane. Fin, à la musculature déliée et gracieuse, résultat de nombreuses années d’éducation à diverses activités comme l’équitation, le maniement des armes ou encore la danse, Baruch apparait comme un éphèbe qu’aucun trouverait fort appétissant. Ses yeux, en amande, et encadrés de cils épais, sont d’un bleu céruléen où l’on peut volontiers plonger à son aise pour s’y perdre en contemplation, tandis que ses cheveux, d’un blond fauve et chaud, encadrent avec grâce et force son visage aux traits juvéniles. La mâchoire dessinée en une élégante arabesque encadre à la perfection sa bouche pleine et sombre où naissent facilement les sourires, dévoilant de façon désarmante une dentition éblouissante.
Bien qu’ayant été élevé au sein d’une des plus anciennes familles de la noblesse immémoriale kendrane, Baruch semble, par son tempérament, déroger souvent à ses obligations protocolaires. Répugnant à maîtriser et celer ses émotions, il les laisse le plus souvent librement parer son visage, tandis que l’art guerrier ne l’intéresse que modérément. C’est un être solaire, qui ne peut viscéralement demeurer dans l’immobilité ou dans la grisaille ; il a besoin d’explosions, de rires francs, de pleurs mélancoliques, de courses effrénées, d’échappées et d’envolées soudaines qui le rendent difficile à suivre. Cette propension à l’excès, au trop-plein le rend également extrêmement versatile et lunatique, et ses crises de rage peuvent être aussi impressionnantes que ses fous rires.
S’il y a bien quelque chose d’essentiel à savoir à propos de Baruch, c’est qu’il considère que rien n’a d’importance, si ce n’est la musique, qui a pour lui une valeur presque sacrée, ou du moins supra-humaine. Doté d’une ouïe extraordinairement fine, il ne limite pas la musique à la seule utilisation d’instruments conçus par l’homme. Il vous dira sûrement si vous lui posez la question, avec un émerveillement chaque fois nouveau : « Il y a de la musique dans le soupir du roseau ; Il y a de la musique dans le bouillonnement du ruisseau ; Il y a de la musique en toutes choses, si les hommes pouvaient l'entendre. ».
Biographie (résumé) :
La baronne de Mortemart, An d’Harcourt, mit plusieurs années avant de donner au baron un héritier mâle. Les rumeurs les plus folles galopèrent sur les mystères de l’intimité seigneuriale, de l’explication de la punition divine à celles, plus plébéiennes et plus rustiques, que nous n’évoquerons pas ici, par respect de la pudeur, mais qui sont aisément prévisibles. La baronne, après avoir donné naissance à deux filles qui, certes étaient ravissantes, mais qui, malgré tout, restaient désespérément du sexe féminin, et sentant le vent tourner en sa défaveur, se décida enfin à donner à son suzerain son précieux héritier (et y ajouta même un cadet moins de deux années plus tard, dans la foulée). « Baruch », béni des Dieux en langage ancien, que l’on apprend, de toute évidence, dans la haute noblesse. Toutefois, l’enfant grandissant, cette bénédiction divine s’accompagna d’une ironie cruelle. L’enfant était d’un « fol esprit » comme disait son père le baron, était totalement récalcitrant aux principes stricts régissant la vie nobiliaire. Que faire d’un tel héritier ? L’enfant, devenu adolescent et presque jeune homme devenait, de plus en plus clairement, incapable de remplir son rôle de futur héritier de la baronnie ; quelques expériences malheureuses en société décidèrent le baron, qui se démenait comme un diable dans un bénitier, de ne plus montrer son premier fils au monde, et de le tenir enfermé dans le vaste domaine de Mortemart, espérant que cette étrange folie le quitte.
Ce fut l’héritier tout entier qui, un matin, avait disparu, sans laisser de trace. On ne le revit pas au domaine, les esprits caustiques, peu à peu, s’ennuyèrent de l’histoire, et le cadet devint le nouvel héritier.
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Armes et bouclier :
En main principale : Canne ouvragée (mag+2)
En main secondaire :
Armure(s) :
Protection pour le torse :
Protection pour la tête :
Protection pour les jambes :
Protection pour les bras :
Cape :
Bijoux Magiques :
- Chevalière usée, gravée des armoiries de la Maison Mortemart (end+1)
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Sac (Encombrement = 0/20) :
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Or : 50 Yus
Pm : 2/2( Air)
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Magies Acquise(s) :
-Vents infernaux : Ce sort puissant invoque des vents puissants tourbillonnant autour de votre adversaire, plus la magie monte de niveau et plus les vents sont forts (acquis au niveau 1) >>> mag+2
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Capacités de combat (CC) :
CC sans arme acquise(s) :
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CC avec arme acquise(s) :
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CC avec arme de jet acquise(s) :
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ville de départ: Oranan
