*Avatar*
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Nom : Joscius Zühringer Classe : Guérisseur Race : Humain (ethnie Kendran) Age : 25 ans Description physique : On pourrait me définir comme une anomalie de la nature. Pour commencer mon visage aurait pu être aussi gracieux que celui de n'importe quel Kendran, mais celui-ci est fin et émacié. Mon nez long et aquilin est encadré par un œil bleu acier, glacial et qui semble dénué d'émotion, l'autre, constamment ouvert et d’un blanc laiteux, est barré d’une cicatrice. Mes sourcils noirs sont assez broussailleux pour assombrir mon regard de loin. J’ai des cheveux courts poivre et sel coiffés en bataille, ainsi qu’une fine barbe de la même couleur. La peau de ma joue gauche est également abîmée suite à une brûlure assez grave, qui tire ma fine bouche en arrière dans un très léger rictus, souvent inexpressif et qui renforce mon air austère et sérieux, voir de « sans-âme » comme je l’entends parfois. J’ai une voix grave et profonde de basse, qui résonne puissamment lors de discours, qui vibre doucement lors de murmure, et avec laquelle il m’arrive de chantonner.
Avec ce visage qui semble avoir déjà tant vécu pour mon âge, et suffisamment peu avenant, je dois aussi supporter un corps géant, me tenant toujours droit du haut de mes deux mètres deux. Malheureusement, ce que j'ai eu en hauteur, je ne l'ai pas compensé en largeur. Mes bras et jambes sont longs et secs et j’ai de grandes mains avec de longs doigts fins. Ajouté à la pâleur de ma peau, cela me donne un aspect presque cadavérique alors que je suis en bonne santé. Mais ma poigne reste étonnamment ferme, en effet malgré mon apparence, ma force est supérieur à celle d'un homme de bonne forme, ce que certains attribue certainement à ma nature « inhumaine », et que j'attribue à ma foi. Tout cela me donne une aura effrayante et imposante, un charisme hors de ce monde.
Pour finir, je m’habille souvent d’une soutane rouge sang proche du corps qui s’arrête au cheville, tenue par une épaisse ceinture ainsi qu'une bure courte en cuir brun, d’un grand manteau noir à capuche, et d’une paire de bottes en cuir noir. Bien que je n’utilise pas les couleurs habituels des prêtres de Gaïa, je porte toujours un petit scapulaire avec l’œil sur le soleil d'or, ainsi qu'un bâton en fer presque aussi grand que moi, orné d'un petit soleil.
Description de la personnalité : Difficile de me définir simplement à ce niveau. Je suis tout d’abord profondément attaché à ma foi envers Gaïa, pour le don dont elle m’a fait part, qui m’a été inculqué par un prêtre de celle-ci, à qui je dois aussi des connaissances dans la lecture et l'écriture. Malgré mon aspect de messager de la mort et le rejet auquel je fais souvent face, j’ai grandi avec la conviction de la bonne volonté des hommes, que chacun d’entre nous est au fond une personne respectable, après tout, ne sommes-nous pas tous frère et sœurs, enfants de notre mère divine qui veille sur nous ? J’essaye d’aider au maximum mon prochain grâce à mon don, m'interdit de faire du mal aux autres humains, et garde la violence en dernier recours.
D’un autre côté, mon comportement diffère totalement de ma pensée. Forgé par une histoire difficile, je suis devenu de plus en plus froid, renfermé et cynique, j’ai du mal à aller vers les gens, sauf ceux dans le besoin, et seul la musique me permet de me divertir. Qui plus est ma vision du monde est limitée au village dans lequel j’ai vécu, un endroit simple et isolé des pires penchants des hommes. Et de plus en plus, la foi aveugle dont je fais preuve est remise en question par les comportements déviants de certains individus.
Biographie (résumé) : Je n’ai pas eu une vie simple, alors que ma naissance même relève du miracle. Ma mère, seule membre que j’ai connu de ma famille, aurait dû mourir lors de l'accouchement à cause de ma taille. Mais, devant les sages-femmes ébahies, une lumière éclatante sauva ma génitrice et permit à l'accouchement de bien se finir.
Je grandis dans un petit village, installé le long du Lac de Hynim, où les rares activités se limitaient à la pêche, la chasse et les travaux d’ébénistes, grâce à qui je découvrais la magie de la musique. Le village vivait de l'échange de ressources avec le village voisin, spécialisé dans l'élevage. Je vivais dans une atmosphère unique, adoré par ma mère qui était fière d’avoir un fils avec ce genre de capacité, membre d'un groupe d'amis comme tout enfant normal, et regardé avec méfiance par les autres adultes, car doté de pouvoirs hors du commun, d'une taille anormale et née d’un père inconnu, ils me surnommaient avec mépris « l’Autre » bien que mes pouvoirs n’aient rien de mauvais, mais parfois la superstition est plus forte que la raison. Malgré cela je grandissais heureux et simple.
Ce n’est que pendant mon adolescence que j'utilisais de nouveau mes pouvoirs inconsciemment, pour soigner un de mes camarades de jeu, blessé après une chute, ce moment marqua le début de ma vénération pour ce que j'appelais « la Lumière ». C’est lorsqu’un prêtre itinérant de Gaïa s'arrêta dans notre village lors d’un hiver particulièrement rude, pour nous apporter un peu de réconfort en cette sombre période, que j'en compris la nature. Ma mère se dépêcha de requérir son aide, racontant son histoire et évoquant mes dons. Le lendemain même je ne jouais plus avec mes amis, et me retrouvais à l'accompagner, alors qu’il m’enseignait des bases d'éducations et surtout, m’introduisit au culte de Gaïa. Il décida de s’installer dans le village jusqu'à ce que je devienne un adulte, ne se doutant pas qu’il ne verrait jamais ce jour.
Puis ça commença, j’avais alors 16 ans. Le prêtre, qui me servait de figure paternelle que je n’avais jamais eue, mourut en nous protégeant d’une attaque de squelettes boiteux. Ils sortirent de la forêt aux alentours, marée d’os cliquetants et bringuebalants, dirigés par une horde de Garzoks. Les hommes se défendirent comme ils le pouvaient, et le village ne trouva son salut que dans l’arrivée d'hommes montés du village voisin, que je mettais sur l’intervention de notre protectrice divine. Je me retrouvais sans mentor, mais décidé à apprendre seul pour pouvoir protéger les autres comme il l’avait fait.
Puis ma mère, et mon œil gauche en tentant de la sauver, lors d’une deuxième attaque à l'âge de 21 ans. Nous nous bâtâmes vaillamment, et je donnais tout mon être pour garder nos hommes sur pied jusqu’à ce que nos voisins, une fois de plus, deviennent nos sauveurs. La vie eut du mal à reprendre son cours cette fois, les habitants hésitaient entre rester, au risque de voir revenir ces envahisseurs, et partir rejoindre les grandes villes de Kendra Kar ou de Bouhen pour plus de sécurité. Quant à moi, mon regard perdit son dernier éclat. Je ne guéris pas mon œil, décidé à le garder comme marque de mon échec aux yeux de ma déesse, et je m’enfermais dans ma foi, dernière amie qu’il me restait, essayant de comprendre comment Gaïa pouvait laisser de telles horreurs nous arriver. Peut-être était-ce un défi ? Je décidais d’apprendre ce que je savais en écriture et lecture à la prochaine génération, tout en me formant d’un côté à la musique, de l’autre au maniement d'armes pour passer le temps, car ils reviendront un jour, j’en suis sûr …
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Armes et bouclier :En main principale : Grand bâton en fer ( for+2 )
En main secondaire :
Armure(s) :Protection pour le torse : Bure courte en cuir (end+2)
Protection pour la tête :
Protection pour les jambes :
Protection pour les bras :
Cape :
Bijoux Magiques :
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Sac (Encombrement = 0/20) :-
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Argent : 50 Yus
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Sorts Acquis :
Sorts de combat évolutifs :
Souffle de Gaïa : Par leurs prières, les prêtres ont acquis un pouvoir divin, celui de redonner la vie. Ce sort permet à son utilisateur de redonner des PV soit à lui-même, soit à un allié.
PV+2/lvlSorts RP :
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Sorts créés par le PJ lui-même :
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Capacités de combat (CC) :CC Sans Arme acquises (CC SA) :
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CC Avec Arme acquises (CC AA) :
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CC avec Arme de Jet acquises (CC AJ) :
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Fiche RP
Réputation :
Mondes :
Continent :
Pays :
Région :
Ville :
Quartier :
Autre :
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Croyances :
- Dieu vénéré : Gaïa
- Dieu(x) prié(s) régulièrement : Aucun
- Dieu(x) haïs : Oaxaca
- Dieux non reconnus : Aucun
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Possessions rp
Objets rp :
- Scapulaire à l’effigie de Gaia.
- Petit chandelier à la ceinture.
- Pack de bandage
- Long manteau en coton noir à capuche, qui peut être fermé avec deux boutons
Runes déjà identifiées :
Faera :
Caractéristiques raciales :
- Puissance surhumaine : Le personnage est capable, en poussant ses muscles à leur limite, de soulever une lourde charge (jusqu'à 250 kg) ou de déplacer un objet très lourd (jusqu'à 100 kg sur 100m).
- Témérité: Par son caractère ou les épreuves qu'elle a vécu, la personne est plus résistante à la peur et n'hésitera pas à aller au-devant du danger. (résistance à la peur magique)
