GM9 a écrit:
Selena>>>
Tes recherches dans le village sont accompagnées par de nombreux regards curieux envers toi. Tu sens les worans nerveux, même inquiets, de te voir te balader dans leur domaine…Visiblement, ce n’est pas habituel de voir des humains dans cet endroit… Tu aperçois Raan, le petit humoran noir, perché en haut d’un arbre, qui se sculpte une flûte de bois, tout en regardant en direction de votre cabane, comme si il avait été placé là en surveillance.
L’après-midi passe rapidement et tu as bientôt fait le tour du village, quand quelqu’un, ou plutôt, une patte velue et griffue, t’agrippe le bras et te tire dans l’ombre d’une maison. Tu reconnais facilement le jeune woran que tu avais croisé près de la plage, Raash.
Il a un mouvement de recul, et le regard inquiet, mais tu peux sentir une satisfaction de te voir, quand il te sourit, dévoilant des petites dents blanches et acérées.
« Toi ici ? Raash content ? Pourquoi toi ici ? »
Ezak >>>
Tu es dans un coin reculé du village, à proximité d’une palissade en bois, adossé à ton tronc. Robasc te rejoints et s’accoude lui aussi à l’arbre et te répond avec un sourire béat…
« Je te suis parce que j’me sens en sécurité avec toi, quand j’ai vu c’que t’avais fait du sauvage la fois passée, Woaw ! Si tu peux me protéger, j’veux bien qu’on m’prenne pour ton serviteur ! »
La fin de l’après-midi approche et tout en discutant, vous entendez des voix derrière la palissade derrière vous.
Robasc reprend un air paniqué…
« Ce sont les worans qui complotent contre nous…ou les sauvages qui se vengent de notre bagarre de la plage, ou les disciples du dragon mauve qui nous ont retrouvé…On va mourriiiir ! »
Ramos>>>
Naral te regarde jouer une bonne partie de l’après-midi, sous les yeux de la foule des worans curieux, qui te regardent et t’écoutent jouer de ton instrument. Dans un arbre au milieu du village, un peu surélevé par rapport à toi, tu peux voir le petit Raan, l’humoran noir, tailler dans du bois une flûte. Visiblement, ils s’y connaissent aussi en musique…
Naral finit par entrer dans la tente, où il n’y a plus que les deux elfes gris, Raesha et Tiniis. C’est alors que des cris naissent dans le village…
Tous>>>
Les worans du village semble soudainement paniqués. Selena et Sandro peuvent voir les gardes fermer hâtivement les portes, alors que Rorrouk, soudainement sorti d’une cabane, accourt vers la cabane, l’air paniqué, l’arme à la main. Sandro est sur son chemin et il le relève, le prenant à parti et l’attirant dans la cabane, avec les autres, Raesha, Tiniis, et naral. Il crie…
« Nos projets sont modifiés, le village est attaqué par des sauvages ! Sauvez vos vies, sauvez mon village ! »
Puis il s’encourt à l’extérieur et monte sur un chemin de ronde en bois, sur les remparts, où il rejoint quelques archers worans. Quelques worans armés se posent derrière la porte close.
Du côté d’Ezak, les worans aussi s’agitent. Ils s’emparent des deux humains, et les mènent sur les remparts en bois, avec eux. L’arrière du village est aussi attaqué. Ezak peut voir les sauvages, les humains à la peau sombre colorée de pigment rouge vif, armés de diverses armes toutes plus effrayantes les unes que les autres. Ils ont des échelles, mais ne les placent pas encore…
Naral et Tiniis sortent en trombe de la cabane et se dirigent vers la porte, pour accompagner les guerriers worans dans leur maintien du village. Ils sont suivis par Raesha, qui suit, elle Rourrouk, sur les remparts de l’avant du village.
Raash et Selena sont pris dans le mouvement et se retrouvent eux aussi près de la porte, le petit woran seulement armé de ses griffes… Robasc est totalement tétanisé par ce qu’il voit, et ne bouge pas du rempart arrière…
(((Résumé de la situation :
Le village est assailli par les humains sauvages. Il est complètement cerné par ces autochtones agressifs.
À l’avant, la porte, où une dizaine de worans, Naral, Tiniis, Selena et Raash sont placé, attendant l’assaut des sauvages.
Sur la droite de la porte, sur les remparts, un fin chemin de bois où quelques archers, Rorrouk et Raesha attendent les échelles des assaillants.
À l’arrière du village, une poignée d’archers, et une dizaine de combattants sont autour de Robasc et Ezak, sur le même petit chemin de ronde en bois, attendant l’assaut…
Ramos est le seul libre de faire le choix de sa destination, et là où il est placé, il voit la porte et le rempart avant.)))
((( Prochaine avancée le vendredi 20/04/07 au matin )))