Description de la zone :

Le paradis... Une forêt où chantent des oiseaux, du sable fin, des petits galets, un eau turquoise...



Zones adjacentes :

Zone 31 : Forêt de très basse altitude.
Zone 35 : Forêt qui grime légèrement
Zone 36 : forêt qui grimpe sérieusement
Zone 37 : forêt en plateau avec une falaise entre les deux zones

Après deux jours de navire, vous arrivez en vue d'une île. Vous savez que vous êtes arrivés. Le capitaine du navire vous annonce qu'il vous offre la chaloupe qui vous permettra de rejoindre la plage. Il restera là deux jours et deux nuits et profitera de la prochaine grande marée haute pour repartir...

Je décide d’aller me coucher voyant que mes compagnons nains décident de se reposer. Je passe devant le corps endormi d’Artiel, il est comme mort. J’espère de tout mon cœur qu’il soit en vie, mais maintenant je ne peux plus faire grand-chose pour lui. La vie est cruelle, mais elle est faite ainsi. Je m’allonge sur mon hamac et ferme les yeux pour sombrer dans un sommeil sans rêve ni cauchemar.

L’aube se lève tranquillement, je suis réveillé par mes doubles qui se disputent à nouveau à l’intérieur de ma tête. Ils se chamaillent pour une histoire d’entrainement, ils jugent que les dégâts que j’ai subis face au Lykor sont inadmissibles. Je les fais taire en répondant que l’erreur était liée à mon arrogance et à mon inattention. J’aurais pu éviter les blessures, mais que l’on pouvait s’estimer heureux que nous n’ayons pas eu de blessures mortelles. Je monte sur le pont et profite de l’air marin. Je m’assois en tailleur à la proue du navire, tout au bout de la flèche fendant les airs.

Je regarde l’horizon à la recherche de l’île tant désirée, mais rien n’apparaît pour le moment, même pas un petit morceau de terre. Je commence à prier Rana afin qu’elle m’apporte la voie de la connaissance et de la sagesse. Je lui demande de nous guider vers l’île, j’espère qu’elle entendra ma prière. Le chemin vers l’inconnu est parsemé d’embuche et je ne peux pas dire combien nous allons en rencontrer. Rana peut se montrer clémente avec moi, comme quand elle a accepté de me confier les pouvoirs du tranchant de Rana ainsi que de sa croix, mais elle peut très bien tout reprendre très rapidement. Je me redescends dans la cale pour voir Artiel, il dort toujours dans son hamac.

( Parle-moi mon ami, fait juste un bruit, juste un .)

Mais rien ne semble vouloir sortir de sa bouche, il reste silencieux. Je prends un repas et repars sur le pont pour réfléchir. La nuit approche et je vais me coucher, une journée pas très riche en rebondissement. Espérons que demain sera mieux.

Le matin suivant fut tout aussi ennuyeux, mais quand arrive midi, j’entends l’homme du nid de pie hurler le mot terre. Je me précipite contre la balustrade et regarde droit devant moi.

( C’est elle, c’est l’île. )

Je regarde les nains et ils sont comme moi, ils savent que nous sommes enfin arrivé. Le capitaine s’approche de moi et me dit qu’il nous offre une chaloupe afin de rejoindre la terre. Il m’explique qu’il repartira quand la marée montante sera là. Je l’en remercie et me dirige avec les Torkins vers notre embarcation. Je prends une rame pendant que Nurrin prend la deuxième. La chaloupe est mise à l’eau puis je dis :

Madame, nous partons en promenade sur l’île.

L’eau est turquoise, le sable est blanc comme la neige et la forêt semble rempli d’oiseaux et certainement d’autres animaux. L’endroit est magnifique, il semble sortir d’un rêve. C’est même trop beau pour être honnête. Nous accostons puis descendons pour marcher sur le sable et les galets. Je propose enfin à mes compagnons de partir explorer un peu les alentours voir ce que l’on pourrait trouver.

Jet de découverte : réussite critique

La plage est étrangement vide et calme. Vous vous apercevez d'ailleurs qu'il n'y a nul trace sur le sable, pas une trace de pas, de pattes animales ou autre. Non rien, comme si personne n'avait jamais mis un pied sur cette crique.

A part une petite zone, à l'extrémité Ouest de la crique, couverte de traces en tout genre. Certaines traces humaines, des traces animales aussi, celles de fauves, de grands fauves.

Et d'ailleurs, un mort... Un soldat de Caix Imoros vu le blason sur ce qu'il reste de son bouclier et ses cheveux blancs. Il a été décapité, un collier semblable aux vôtres traîne par terre. En cherchant dans les broussailles le nain tombe sur un crâne affreusement mutilé.

"Partons. Et vite. Vu l'état, j'aimerais pas tombé sur la créature qui lui a fait ça..."

Je regarde autour de moi et hormis les nains, il n’y a pas trace d’âme qui vive. Il n’y a même pas un crabe ou un tout autre animal terrestre. Le sable est immaculé de toutes traces possibles.

(Cela ne m’inspire rien de bon hormis un joyeux combat.)

Jack n’a pas tort, il y a quelque chose de pas normal ici. L’endroit est trop calme et surtout trop paradisiaque pour être honnête. Pendant que j’observe la partie Ouest de la crique, je trouve enfin des traces de vie. Il y a des pas humains, des animaux plutôt courants et enfin quelque chose que je qualifierais d’un immense fauve. Je ne sais pas ce qui me prend, mais je décide d’aller voir ce qu’il y a au bout de ces traces.

Il y a des marques de combat, puis du sang et enfin ce qui devait arriver de façon inexorable, un macchabé. Je m’agenouille afin d’analyser le corps, pendant ce temps je suis rejoint par mes compagnons Torkins. Il semble qui s’agit d’un combattant, mais il me manque la tête pour pouvoir dire à quelle race il appartient. Son corps a tellement été maltraité qu’il n’est que meurtrissure. Je trouve un morceau de bouclier enterré à moitié sous le sable, je l’en dégage et regarde le blason qu’il y a dessus.

(Caïx Imoros. Un de mes frères est mort ici.)

Quand je regarde un peu plus loin, je peux voir un collier comme le nôtre trainer sur le sol. Nurrin cherche dans les broussailles et ressort un crâne mutilé. Il s’agit d’un crâne de Shaakt. Le nain précise qu’il préfèrerait partir au plus vite d’ici. Je confirme d’un signe de la tête, je ramasse le collier sur le sol puis dis :

En effet, il serait préférable que nous partions le plus vite. Nous allons nous enfoncer dans la forêt afin de rejoindre un point plus haut.

(direction zone 31)

Jet de sortie : échec

Tandis que vous longez le bord de mer en direction du sud, vous entendez soudain grogner derrière vous. Devant vous aussi... ainsi que sur le coté. Une chose est certaine, vous n'êtes pas seuls, loin de là. Ce n'est d'ailleurs pas une bête qui sort des fourrés, mais une demi-douzaine.

La peau moitié écaille moitié pelage, la gueule canines, mais des pattes d'oiseaux, mince comme des lévriers adeptes de la courses, dans les 60 cm au garrot... voilà comment décrire les monstres qui vous entourent désormais.

Nous longeons la plage, je ne suis pas capable de dire dans quelle direction nous nous dirigeons. Je n’ai jamais été très fort pour indiquer le sud, le nord,… avec l’aide du soleil. Le silence fait du clapotis des vagues commence à me peser sur le système. Je ne sais pas, mais il y a quelque chose de mal sain sur cette île.

(Tu as accepté de ton plein gré de venir ici, maintenant assume tes actes

Oui, mais on va pour s’amuser ici au moins.)

Le sens de l’amusement de Jack est différent du mien, je n’aime pas me faire surprendre. Soudain j’entends un grognement derrière notre groupe. Nous faisons volte-face et nous nous voyons rien jusqu’à ce que sorte des herbes hautes et des petits arbres un groupe de six créatures.

Elle ressemble à des chiens dans la forme, mais juste dans la forme. En effet, elles sont faites avec des pattes de rapaces, une gueule de chien, une robe constituée de poils ainsi que d’écailles. Ils m’arrivent à mi-cuisse, j’ai comme l’impression que nous venons de trouver ce qui a tué mon frère de race. Un combat à six contre trois semble largement envisageable, mais pourquoi ne nous auraient-ils pas attaqués directement ?

Ils semblent avoir un comportement de meute, donc il faut leur montrer qui est le chef, par contre agir de façon agressive pourrait déclencher une réaction d’attaque de leurs parts. Essayer de fuir ne me semble pas plus une bonne idée.

Je regarde mes compagnons et leur explique ce que je viens de penser et fini par dire :

« Je ne sais pas, mais je pense qu’il faut être le plus calme avec ces créatures. Je ne vois pas quoi faire, à part dire assis. »

La fin de ma phrase se fait en même temps que je les regarde.

Les chiens des sables se désintéressent très vite de vous tandis que vous restez sans bouger. Ce sont des chasseurs et des coureurs, pas des charognards et dans leurs petites têtes, une proie qui bouge pas est une proie morte.

Il faut avouer aussi que l'énorme grognement qui suit ta phrase n'était pas pour encourager les chiens à rester. La bestiole l'ayant poussé n'a manifestement rien d'un inoffensif chaton, même si vous ne pouvez pas encore le voir.


"Et là aussi tu proposes qu'on reste assis, mon ami ?"

La meute semble se désintéresser de nous rapidement. Il est possible que leur instinct de chasseurs ne correspond pas exactement à notre aptitude immobile. Ils s’enfuient en courant quand se met à résonner un grognement déchirant à nouveau le silence qui s’était installé.

(Qu’est ce que c’est que ce bordel encore ?)

Je n’aperçois strictement rien quand le nain me demande s’il est préférable de rester assis à attendre gentiment. Je le regarde et tire la langue histoire d’ajouter un peu d’humour dans une aventure qui semble devenir un coupe-gorge de seconde en seconde. Par contre quelque chose me fait plaisir dans les paroles, c’est qu’il vient de m’appeler mon ami.

(Une amitié bien étrange.)

Je propose que l’on déguerpisse le plus rapidement possible d’ici. Après il reste toujours la possibilité de combattre, l’idée ne me déplairait pas, mais ne voyant pas mon ennemi, je ne veux pas.

Jet de "fuite" : échec critique

"Toi, t'es peut-être un Shaakt, mais un shaakt raisonnable au moins ! Partons !"

Tandis que vous achevez de grimper une petite colline, Kirena vous fait remarquer une grande colonne de fumée plus loin devant vous. Nurrin lui vous fait plutôt remarquer, un peu tard, que vous êtes attaqué par une énorme créature.

La créature qui vous fonce dessus fait... ta taille, à l'épaule. Pour presque une tonne, des griffes très aiguisées et des dents guère mieux. Sans compter les cornes bien sûr...

Il bouscule d'un coup de patte Nurrin et l'envoie valser sur la plage à la limite de la mer, près de quinze mètres plus bas.

Nurrin me dit que je suis un Shaakt raisonnable, ce qui me prête à sourire. Si j’étais réellement raisonnable, je ne pense pas que je serais parti en voyage comme je viens de le faire. Nous avançons le plus rapidement possible la petite colline qu’il y a devant nous. Une fois en haut, Kirena montre du doigt une colonne de fumée.

(Il y a d’autres personnes ici.

Des autres voyageurs qui font un feu ?

Je pencherais plus pour des combats, il y a une odeur de sang ici. Il faut que nous y allons vite.

Avec toi, il y a toujours une odeur de sang qui traîne dans l’air.

Pour une fois, il a totalement raison.)

La caractéristique de l’odeur légèrement ferreuse du sang se promène dans l’air. Le seigneur nain nous fait remarquer quelque chose. J’ai à peine le temps de me retourner que je vois une créature immonde fondre sur nous. Je peux juste dire qu’elle est aussi grande que moi et qu’elle est orange. Je ne la distingue pas correctement. Elle donne un coup de patte à Nurrin qui vole dans les airs et enfin finir par s’écraser sur la plage.

Ma respiration s’accélère, mes yeux se plissent afin de canaliser la moindre source de lumière, mon sang ne fait qu’un tour en moi. La colère m’envahi, cette chose vient de blesser quelqu’un qui vient de reconnaître que les Shaakts ne sont pas tous mauvais. Je dégaine mes lames prêt à en découdre, j’observe attentivement le monstre. On dirait un croisement entre un porc épic, un sanglier et un grand félin. Les dents et les griffes semblent redoutables, de plus sa force est grande vu sa manière de faire voler le nain.

(Daio réfléchi, ne succombe pas à la colère. Il a l’air particulièrement fort celui-là. Les nains qui nous accompagnent, ne sont pas des demi-portions et il a balayé Nurrin comme si de rien n’était.

J’espère qu’il n’est pas mort.

Attaque, fais quelque chose bordel de merde. Bouge-toi le cul, si tu restes comme ça à bailler aux mouches tu vas te faire désosser.)

Je regarde Kirena, je ne sais pas quoi faire, il me faut nous sauver le plus rapidement possible. Je lève le pommeau où est accroché Cramoisie bien devant moi.

Nous devons fuir pour le moment Kirena, désolé.

Je baisse la tête et murmure :

Vas-y ma poupée d’amour lâche la sauce.

Cramoisie ouvre les yeux lentement et se met à chanter :

J'ai fait de gros efforts
Pour arriver jusqu'ici
Mais à la fin
Il ne compte pas même
J'ai dû tomber
Perdre tout
Mais à la fin
Je vais tous vous
Réduire en cendre

Une immense vague de feu se déclenche entre nous et le montre. J’en profite pour tenter dem’enfuir.

Jet d'attaque de Cramoisie -action considéré comme une CCAA sans bonus de l'arme- : réussite
Jet d'attaque du smilodiak : Réussite critique

Cramoisie fait son oeuvre, grillant sérieusement les poils du monstres. Mais loin de l'effrayer le feu et la douleur ne font qu'effrayer le monstre.
Dès que tu lui tournes le dos, il te saute dessus en te plaquant au sol (-68 PV), te faisant mordre la poussière dans tous les sens du terme.

Kirena quant à elle refuse de fuir et profite que le monstre est occupé avec toi pour aller voir son époux au sol.

(pour le prochain tour, tu as un malus d'esquive, impossible de fuir immédiatement et tu joueras en dernier.)

Ma poupée réussit son œuvre, une immense vague de flamme se dirige vers mon ennemi lui brûlant sa fourrure. Je me retourne pour m’enfuir le plus rapidement possible. Malheureusement pour moi, je n’ai pas le temps de réagir en entendant les hurlements de Jack et Michel me mettant en garde. Je sens une pression immense sur mon dos, je me vois propulser contre le sol. J’ai l’impression que le temps se ralenti au moment où j’entre en contact avec le sol poussiéreux.

Je peux voir la terre sèche s’envoler autour de moi et j’ai même le plaisir de pouvoir y goûter. Je crache ce que j’ai dans la bouche. Je peux voir dans mon champ de vision périphérique Kirena s’enfuir pour rejoindre son époux.

(Me voilà seul maintenant.

Tu nous oublies.

Sauf que nous partageons la même vie.

Autant mourir sur le champ de bataille que comme un vieux schnock.)

Ils ont raison, nous devons risquer le tout pour le tout. Utilisons nos techniques les plus puissantes pour y arriver, faisons appel à Rana pour y arriver. Je me retourne pour voir mon ennemi dans les yeux avec un sourire non dissimuler.

Au moment où je commence ma prière, mes doubles en font de même

Libère moi des chaînes qu’est mon corps. Laisse-moi utiliser la puissance qui se cache au fond de mon être et qui se terre pour me protéger. Je suis pied au mur et je dois continuer ma vie afin de protéger les êtres de cette terre. Je t’en prie Rana aide moi.

Libère moi des chaînes qu’est mon corps. Laisse-moi utiliser la puissance qui se cache au fond de mon être et qui se terre pour me protéger. Je suis pied au mur et je dois continuer ma vie afin de purifier les êtres de cette terre. Je t’en prie Gaïa aide moi.

Libère moi des chaînes qu’est mon corps. Laisse-moi utiliser la puissance qui se cache au fond de mon être et qui se terre pour me protéger. Je suis pied au mur et je dois continuer ma vie afin de détruire les êtres de cette terre. Je serais ton bras destructeur Thimoros.

Michel et moi sommes surpris par les paroles de Jack, mais peu importe, il a choisi son dieu. J’agrippe les pommeaux de mes lames pour lancer une croix de Rana. En même temps Jack et Michel apparaissent.

Attaque de la Croix de Rana : réussite (-145 PV, spèce de bourrin)
Attaque du smilodiak : réussite (- 70 PV)

Le ki à peine partie des lames, les Doubles sortent. Le monstre, quelques secondes désarçonné par ces apparitions se prend l'attaque de plein fouet, ce qui, en plus de gerbes de sang, lui arrache un profond hurlement de douleurs. Sous la folie, il saute sur Jack et lui assène un violent coup qui vous fait hoqueter de douleurs tous les trois, crachant du sang...


(((Juste pour l'information, la bestiole est très mal en point, elle vacille sur ses pattes. Quand à toi, il te reste 18 PV (sur les 156 PV totaux collier y compris). T'es donc très mal en point et la bestiole est pas mieux que toi...)))

Mon attaque combiné par l’apparition de mes doubles semble déstabiliser mon adversaire. Il n’a pas le temps d’esquiver ma Croix de Rana. Le sang gicle de toutes parts et il pousse un hurlement de douleur. J’en éprouve du plaisir, mais celle-ci ne dure que quelques instants, car il voit rouge maintenant et pas qu’à cause du sang. Il fonce sur Jack lui donnant un coup de patte d’une violence inouïe.

La douleur nous envahi tous les trois d’un seul coup, j’en viens même à cracher du sang.

(Trois êtres pour une seule vie.)

Je dois encore tenir le coup, le monstre semble aussi mal en point que moi. J’ai du mal à tenir debout, je dois tenter le tout pour le tout. Il ne me laissera jamais m’enfuir, je dois l’abattre.

(Je t’en prie Rana, prête moi encore ta force pour venir à bout de cette abomination. Dictes moi tes ordres et j’obéirais)

Je concentre à nouveau mon énergie dans mes armes pour lancer une dernière fois une Croix de Rana. Jack et Michel tiennent à peine debout, ils me regardent les yeux pleins de surprise. Michel s’inquiète pour moi alors que Jack semble être pris par un mélange de démence meurtrière et joie. Il va enfin avoir son baroud d’honneur. Je le vois remuer les lèvres et entendre dans ma tête :

Nous allons t’offrir une diversion de quelques secondes.

Jack et Michel se dirige vers le monstre. Le paladin lève son bouclier tandis que le chevalier du chaos se place derrière. Je canalise mes toutes dernières forces dans cette attaque. Michel disparaît quand il se trouve à un bon dix pas du monstre alors que Jack a profiter du dos de Michel pour s’envoler dans les airs et disparaître lui aussi.

Je pousse un cri avec fureur, en espérant que même si je meurs, mon cri glacera le sang de ceux qui l’entendront.

Par la Croix de RANA

Je peux voir l'onde d'énergie partir vers le monstre alors que je m'écroule sur le sol complètement exténué ou mort.