Mythanorië a écrit:
Mercurio a écrit:
Mythanorië a écrit:
Exemple type. Je retire une répétition pour me rendre compte que ça fait doublon avec la phrase suivante. Que j'ai une faute de frappe à la correction ou encore que je me plante dans la terminaison.
Vive le RP francophone !
![Crie [:crie:]](./images/smilies/crie.gif)
Ça nous arrive à tous ça ! Combien de fois il m'est arrivé de répéter 30 fois le même mot dans un RP, pour ensuite tous les effacer joliment un par un et les réécrire d'une autre manière avant de me rendre compte que le tout se retrouve complètement incompréhensible et indigeste ?
Ô compagnon d'infortune !
Je ne sais pas comment vous vous y prenez mais perso, j'écris l'intégralité de mon post en une fois sur le forum (ce qui peut prendre quelques heures quand je n'ai pas la musique appropriée en fond sonore...). Et vous ?
![:D [:Dforme:]](./images/smilies/Dforme.gif)
Hum, perso j'écris rarement mes posts d'une traite mais petit bout par petit bout selon la motivation et l'inspiration ; d'où mes récurrents :
[RP EN CONSTRUCTION]Après niveau ambiance, c'est simple : Je ne peux écrire ou lire que dans le silence complet. Avoir la télé allumée, des gens qui discutent ou de la musique à côté pour moi ce n'est pas possible, ça me déconcentre énormément....
J'avais pourtant pas ce problème quand j'étais gamin, c'était même plutôt le contraire, quand je lisais ou écrivais j'avais tendance à savoir m'enfermer dans une bulle et faire abstraction de tout cela... Je ne m'explique pas ce changement !
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Playlist de Mercurio
A propos, j'ai trouvé la morale de la fable que ton grand père racontait,
celle du petit oiseau que la vache avait recouvert de merde pour le tenir au chaud et que le coyote a sorti et croqué...
C'est la morale des temps nouveaux.
Ceux qui te mettent dans la merde, ne le font pas toujours pour ton malheur
et ceux qui t'en sortent ne le font pas toujours pour ton bonheur.
Mais surtout ceci, quand tu es dans la merde, tais-toi !
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Jack Beauregard (Henry Fonda), Mon nom est Personne, écrit par Sergio Leone, Fulvio Morsella et Ernesto Gastaldi