Gamemaster14 a écrit:
Ellébore a écrit:
Gamemaster14 a écrit:
Ellébore a écrit:
Gamemaster9 a écrit:
Ellébore a écrit:
Ah, mais je n'ai pas dit qu'il devait être gentil le prince charmant. Un petit frisson pour la route ce n'est pas plus mal.
ça dépend, ça vaut la peine de s'faire sauter pendant une semaine pour rester pendant des mois triste d'une rupture prématurée parce qu'il s'est foutu de ta tronche et faisait la même avec ta meilleure pote dans ton dos ?
A nos âges nous savons bien que non. Mais, difficile d'éviter les expériences à cet âge... S'il n'y a pas une solide éducation derrière, qui passe par le respect de soi, une réflexion dès le plus jeune âge sur l'image de la femme, qu'est-ce que la féminité... Cela donne effectivement des conduites à risque, physiques et psychiques, où les jeunes filles s'infligent elles-mêmes une dégradation de leur image...
Je pense qu'il n'y a pas que l'éducation ou la dégradation volontaire de leur image. Y a aussi des gentilles filles naïves qui croient au bel amour ou qui cherchent autre chose à travers les relations. (la chanson Je suis de celles (de
Bénabar,
ici dans la version des Enfoirés -que je trouve plus touchante-) illustre bien un type de fausse relation et la manière avec laquelle elle est vécu par les filles).
Je ne sais pas. Il n'y a pas une histoire, mais bien autant qu'il y a de filles, mais là dans la chanson, c'est encore autre chose : elle dit jamais non, une marie-couche-toi-là... pas certaine que cela ait avoir avec la naïveté. Au passage très jolie chanson.
Même si tu enlèves le coté coucherie (qui est un type de relation). Ca raconte aussi l'histoire de toutes ces filles qui tombent amoureuses; qui vont en prendre plein la tronche, soit parce que le mec cherche une affaire de cul, soit à l'inverse parce que sans le savoir t'es déjà classé "friendzone" (et oui, ça n'arrive pas qu'au mec, ça, et ça fait tout aussi mal).
Ce n'est pas le côté coucherie que je mettais en avant. Si on ne prend que les paroles de cette chanson, je cite de mémoire : "je ne disais jamais non, je n'étais pas de celle à qui on fait la cour, je n'étais pas la belle, de celle que l'on cache ... j'étais perdue mon mari m'a trouvée...", tout cela ne me fait pas penser à de la naïveté, je la trouve très lucide au contraire. Dans la chanson, il y a effectivement la phrase relevée par 9 qui dit qu'elle tombait amoureuse, mais je t'avoue que cela ne cadre que moyennement dans le tableau, cela me fait plutôt penser à une quête en rapport d'ailleurs avec l'image de la féminité, une sorte de victime consentante, car elle sait bien que ces garçons ne l'aiment pas. Enfin, c'est ma vision de la chanson.
Après nous avons chacun, chacune notre histoire

Edit : cela me fait penser à une chanson de Sia que j'ai balancé sur un autre blabla : chandelier (
traduction). Il me semble que c'est la même problématique que ta chanson.