Comme je l'ai indiqué à Anastasie, ma formulation n'impliquait pas forcément un groupe, mais plusieurs individus "des hommes et des femmes" ; j'en conviens, la formulation pouvait prêter à confusion. Je suis d'accord avec toi, il y a des gens qui partagent votre vision des choses, et c'est pour ça que je pense qu'il y a une question de confiance à avoir derrière. Je ne déshabillerait pas devant n'importe qui, et je ne laisserai pas n'importe qui se déshabiller devant moi.

L'idée d'une confiance réciproque dans une relation peut être assimilée à de la naïveté. Mais dans ce cas je l'assume pleinement, cette part de naïveté.

Je profite pour poser une question qui n'a peut-être rien à voir avec le sujet - ça va être à vous de me le dire : la situation initialement décrite par Anastasie peut-elle être assimilée à un friendzonage ? Si oui, (ou si non) quelle définition retenez vous du phénomène - si d'aventure vous le reconnaissez.

Oui. C'est un terme qui caractérise bien ça. Mais sans limiter la friendzone à ce qu'il décrit, ni en disant que c'est d'office une position de friendzonage.

Amen.

D'accord.
Oui, je suis bien conscient de probablement changer de sujet. Mais comme c'est un terme qui me donne à réfléchir ces derniers temps, et que l'occasion se présentait plus ou moins.

Effectivement, ça ne se limite pas à ça. Par contre si, selon moi, dans les conditions que j'ai décrites, c'est forcément de la friendzone.

Après, je suis loin d'être un expert : nul ne m'a jamais "friendzoné", et je n'ai jamais "friendzoné" personne.

Plutôt l'inverse, même. En situation privée, en tête à tête, même une personne qui se dit "amie", j'finis par coucher avec.

Aucun savoir vivre ce gars.

Rien à voir avec du savoir-vivre, quand il s'agit de consentement mutuel.

Bon, la discussion me gonflant pour des raisons qui me sont propres, je m'en vais moi aussi vous laisser.

A plus tard.

C'était une plaisanterie.


D'ailleurs je tiens à préciser, pour éclairer un peu le débat précédent, quitte à entacher la crédibilité de mes arguments (quelle intégrité quand même) que je n'ai absolument jamais eu de réelle amie du sexe opposée (cf mes déclarations sur le fait que je soule toute femme au bout de deux semaines quand je suis moi-même).

J'ai envie de dire que tu as de la change, mais mon petit doigt me dit que quand on y est, on doit penser l'inverse.

Salut Azra !

Salut !

Tu penses que c'est pas drôle pour deux adultes consentants de coucher ensemble ?