Sissi me mentionne dans son interview, je suis z'ému.

Quatre fois. Dont une fois pour mes livres, l'autre pour la nourriture et l'alcool.

Je sens une larme poindre au coin de mon oeil.

Plus de demandes... Pour le moment !

Il faut que je me dépêche. Les GMs ne sont clairement pas surchargés, c'est pas normal.

Mais, je suis toujours de mauvais poil ! c'est ça qui vous fait marrer !!!!?

(merci Silmeria)

Silmeria gère la fougère dans cette interview, c'est vrai

Je serais presque tenté de lui envoyer un bisou métaphorique par delà les distances qui nous séparent.

Course du soir faite, personnages RP. Je vais pouvoir m'en retourner à l'étude de comment se maquiller les paupières pour les fêtes en sirotant ma bière.

Désolé. L'allemand est une langue que j'apprécie même si je ne la maîtrise pas assez, et je regrette de ne pas assez la mettre en valeur.

Mes maigres ressources me permettraient de traduire la phrase ainsi :

"Ce n'était qu'un prologue ! Là où on brûle des livres, à la fin/au final on brûle aussi des hommes."

D'origine assez claire ?

Je veux bien être coupable d'un crime aussi avouable que de te donner envie de lire la Zone du Dehors.

Ta Màj est pondue, Caabon !

Merci !
Et merci pour les mentions.

Ca fait bizarre "pondue" venant de toi ; j'ai du mal à t'imaginer en poule.

Si, sûrement, mais peut-être pas les plus récents. Des autodafés il y en a eu pas mal au cours de l'histoire. Son texte date de 1821.

C'est ce que j'aime dans cette citation ; c'est sans doute pour ça qu'elle a eu une certaine postérité : elle porte une forme de vérité qui traverse le temps dans un sens comme dans l'autre.

L'actualité récente en Allemagne, avec la tombée dans le domaine public de Mein Kampf, sa réédition commentée, la question de lectures dans les écoles, lui redonne aussi un peu de vie. Mettre à l'index des livres, ce n'est pas les brûler, les taire, les cacher, ce n'est pas les brûler. Cea pourrait s'apparenter à une forme de destruction cependant.

'Soir les zens.