Tanaëth Ithil a écrit:
Mercurio a écrit:
Azra a écrit:
Anastasie Terreblanc a écrit:
De toute façon en 2017 je vote Mélenchon, vu qu'il passera pas je pourrai dire à tout le monde "c'est pas de ma faute, j'ai voté Mélenchon" pendant les cinq ans suivants et en profiter pour râler sans que personne ne m'accuse de ne pas être légitime pour cela.
Mon rêve, c'est le 100% d'abstention. Je sais que ça n'arrivera pas, mais ce serait tellement drôle.

Comme le blanc ne compte pas, même s'il n'y avait qu'un seul individu qui voterait dans la France entière, l'élection serait valable. C'est ça le scandale. Le vote blanc devrait être comptabilisé et, si il obtiendrait au-delà d'un certain seuil (25 % ? 50 % ?), il faudrait refaire une élection avec d'autres têtes d'affiche.
Mais bon, évidemment, c'est pas les têtes à claques qu'on a eu, qu'on a et qu'on va avoir qui vont mettre ce genre de système en place.
Le vote blanc c'est une chose, mais l'abstention devrait aussi être prise en compte. Quand la moitié de la population ne prend plus la peine d'aller voter, c'est qu'il y a un souci, et pas un petit. Seulement prendre en compte ce genre de choses nécessiterait des remises en question sévères, et ça mon bon monsieur c'est trop demander à ces bestiaux.
![:D [:Dforme:]](./images/smilies/Dforme.gif)
Non, on ne peut pas mettre de cause précise derrière l'abstention, ce serait forcément spéculatif. Ca peut être trop facilement repris avec des arguments débiles genre "Les gens qui votent pas c'est parce que c'est des feignasse ingrate qui se foutent que des gens soient morts pour qu'on ait le droit de voter" et autres conneries dans le genre.
L'abstention ne peut mener à rien de bon.
Alors que voter blanc, y a pas à spéculer. Ça veut dire "Aucun des candidats présents ne me satisfait, alors je ne vote pour aucun d'eux", c'est clair et net. Et comme les culs se sont bougés jusqu'à l'urne rien que pour dire ça, c'est dur de le comprendre autrement.
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Playlist de Mercurio
A propos, j'ai trouvé la morale de la fable que ton grand père racontait,
celle du petit oiseau que la vache avait recouvert de merde pour le tenir au chaud et que le coyote a sorti et croqué...
C'est la morale des temps nouveaux.
Ceux qui te mettent dans la merde, ne le font pas toujours pour ton malheur
et ceux qui t'en sortent ne le font pas toujours pour ton bonheur.
Mais surtout ceci, quand tu es dans la merde, tais-toi !
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Jack Beauregard (Henry Fonda), Mon nom est Personne, écrit par Sergio Leone, Fulvio Morsella et Ernesto Gastaldi