La tentative pour faire tenir dans l'article les "pour" de la méthode et les "contre" liés notamment au pétage de plomb face à l'ennui et à l'insatisfaction laissait quand même un drôle d'arrière goût du "bon, maintenant fini de faire la fête, posez vous". L'amour romantique est mort, blablabla.
En fait, c'était une sorte de version moderne de
Mémoires de deux jeunes mariées, de Balzac.
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Dévoilement d'éléments clefs de l'intrigue du roman
Expérience sociale assez intéressante cela dit, dans un roman épistolaire : prenez deux femmes qui sortent du couvent, l'une a lu des romans, l'autre non ; la première enchaîne les passions fougueuses, du noble espagnol exilé au peintre roturier, s'éprend, souffre, blablabla, meure d'une des manières les plus cons de la littérature ; la première suit les recommandations de sa famille, fait un mariage de raison, avec un bourgeois de province, qui est dingue d'elle, pour qui elle finit par éprouver beaucoup de tendresse, et vivre une vie sage, rangée, heureuse ; la première meure d'une des manières les plus con qu'il m'ait été donné de lire, à cause de ses passions, et au fond n'a jamais été heureuse semble nous dire le roman.
Ce qui revient à dire que le bonheur ne dépend pas de ce que nous vivons, mais de la manière dont nous appréhendons l'existence. Enfin, je le vois un peu comme ça.