Caabon a écrit:
Anastasie Terreblanc a écrit:
Caabon a écrit:
Daemon a écrit:
Anastasie Terreblanc a écrit:
Ædräs a écrit:
Anastasie Terreblanc a écrit:
En plus imagine j'y vais, à pieds, vingt minutes aller ; vingt minutes retour, et en fait elle n'est pas là ce matin ? Quarante minutes de marche pour acheter des tic-tac.
C'est bon les tic-tac

Pas assez pour quarante minutes de marche.
Un jour tu regarderas derrière toi et tu regretteras amèrement. Plutôt que de rester à végéter devant ton écran, bouge et vas lui proposer un café comme le grand Caabon l'aurait fait ! Au moins tu seras fixé et fini la torture.
En même temps, le grand Caabon a un problème éthique avec ça...
Si ça vous intéresse, rappelez le moi la prochaine fois que vous passez me voir, là je file.
Punaise, il est plus alerte que son pas le bougre.
Ca pose tout simplement la question de la place que l'on accorde à une intrusion dans le quotidien d'un individu, et de la pertinence de l'intrusion suivant le contexte.
Pouvons-nous (avec la dimension intrusive/imposée/violente que peut constituer la demande pour le destinataire) proposer à une personne une forme de relation sociale excédant les cadres de celles dans laquelle nous sommes engagés avec elle ? Si oui, à quelles conditions ?
Proposer une activité hors-temps de travail sur le temps de travail, a fortiori à une personne engagée dans une relation permanente avec des clients, est-il approprié ? La proposition ne serait-elle pas vecteur de gène, voire de souffrance au travail, de difficultés vis-à-vis de la relation personne/personne qui se superpose à la relation client/salarié ?
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C'est par la sagesse qu'on bâtit une maison, par l'intelligence qu'on l'affermit ;
par le savoir, on emplit ses greniers de tous les biens précieux et désirables.
Proverbes, 24, 3-4