Quel à propos...

Ah.

Des vers...

ça me rappelle ceux-ci, tiens :

"...
Ô vers, noirs compagnons sans oreille et sans yeux
Voyez venir à vous un mort libre, et joyeux
..."

(je vous épargne la version complète, dont je ne suis plus sûr à 100% de maitriser les détours. Mais je vous la conseille !)

Tu parles des vers grecs ?

Mais...bien entendu!

J'ai hésité à les évoquer, oui.

Contente de n'avoir pas vu la vidéo



Si tu donnais la référence, ce serait peut-être plus simple de te suivre dans ce conseil

je m'absente une heure et vous faite péter 5 pages de blabla...

Je faisais là appel à votre ingéniosité de recherche, vieille fainéante que tu es. Ainsi, seuls les plus intéressés auraient été au bout de la recherche, et ceux négligeant la culture auraient pu fuir sans qu'on ne l'étale devant eux.

Mais pour toi, partisante du moindre effort, je te donne le titre, et l'auteur : "Le mort joyeux", de Charles Baudelaire.

La science floodesque peut être, parfois, de s'arroger de courts et intenses moments de créativité qui s'exprime alors librement, et aussi fugacement qu'elle est arrivée, les pensées et incongruités du moment. Alors, là, il faut saisir ce moment, quitte à sacrifier le reste, pour être présent et s'y mêler corps et âme, afin qu'enfin, lorsque le souffle s'estompe, et que la fin arrive, tous puissent quitter l'endroit sans crainte d'avoir manqué son essence.

google est pas son ami apparemment

En d'autres termes, oui.

... ou pas

tu as la verve fleuri en ce mardi.

Et pas que la verve, ça c'est moi qui te le dis !

Rare auteur que j'emportai avec moi dans mes pérégrinations strasbourgeoises