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 Sujet du message: Re: Chapitre 4 : L'Aigle des Océans
MessagePosté: Jeu 27 Aoû 2009 17:08 
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Inscription: Dim 26 Oct 2008 16:27
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Plus d’assaut, plus d’attaque… Les deux derniers survivants libres avaient compris qu’il ne servait à riend e vous attaquer, vous étiez trop puissants, trop forts, et même dans leur cerveau primaire, il comprirent qu’essayer une fois de plus était du suicide. Leur clan n’était plus, leur meute avait été réduite à néant, et ils devraient en trouver une autre, à deux, se serrant les coudes – si je puis dire – dans l’adversité. Ils deviendraient amis, un binôme inséparable. Ils étaient plus forts que seul… Qui sait s’ils auraient pu subsister s’il n’y en avait resté qu’un ? Mais là, la question ne se posait pas, ils étaient deux, unis et amis, et PAF… une flèche traversa un des vils fuyards, le rendant KO en un coup de maître d’Aalys, qui se félicitait d’avoir enfin réussi à trouver le point faible de ses cibles.

Sur le pont, Erfandir s’acharnait sur une de ces créatures, qui fut bien vite à l’état de poiscaille éparpillée, sous ses coups rageurs de bâton. Son arme noire était presque jalouse de n’avoir pas elle-même pu répandre ce sang transparent.

Les deux autres, ce fut Logan qui s’en chargea, tranchant dans le filet improvisé avec son sabre d’abordage pour donner le coup de grâce à ces ennemis sans défenses. La victoire était totale, sur l’Aigle des Océans, et ils n’avaient que quelques plaies et bosses sans réelle grande conséquence. Tout allait pour le mieux…

Et une autre démonstration de cela fut le départ du navire, qui se remit en mouvement doucement, délicatement, pour s’approcher encore plus de la cité sous-marine. Une fois à une proximité respectable, l’Aigle se posa avec délicatesse sur un banc de sable.

Chacun observait avec circonspection la citadelle, immense au dessus d’eux. Ce fut Logan qui rompit le silence d’une voix ferme.

« Là ! »

Il pointait du doigt ce qui semblait être une entrée dans le rempart infranchissable. En réalité, et avec un peu d’observation, il se fait que ça n’est pas une entrée, mais une porte murée, juste à côté de ce qui semble être… une bouche d’égout… Une entrée, donc ?

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 Sujet du message: Re: Chapitre 4 : L'Aigle des Océans
MessagePosté: Dim 30 Aoû 2009 11:50 
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Inscription: Ven 24 Avr 2009 21:44
Messages: 533
Localisation: Derrière toi, près à t'arracher le coeur ou à te parler poliment... C'est selon.
Je n'ai plus mal aux yeux ce qui est une bonne chose mais je suis déçu de voir que rien ne se passe d'utile dans le combat. Il y a surement une raison à ce blocage magique mais je ne m'en soucie pas trop de ça vu qu'il ne reste que deux ennemis qui ont l'air très hésitant à nous attaquer. L'envie de les achever est très forte en moi rapport à mon épaule et mon bras droit encore douloureux bien que la souffrance soit plus faible que celles, nombreuse, que j'ai déjà pu connaitre. Aalys doit être soutenu par le dieux de la mort car un de ses traits achève d'un coup une des créatures honnis pendant que l'autre s'enfuit sans demander son reste.

Une bonne chose de faite! Dis-je enfin, soulagé de la fin du combat.

Ceux restant dans le filet passent un sale quart d'heure et se font promptement découper en morceaux, un sourire sadique s'affichant sur mon visage à ce spectacle réjouissant, pour moi du moins. Je commence à rejoindre les exécuteurs avec la joie de mettre à mort les bêtes restantes mais elles sont malheureusement toutes mortes avant que je n'arrive, lent comme je suis dans l'eau. Le navire se remet en route peu de temps après que nos ennemis ont été trucidé et je m'approche de la proue en silence, regardant la grande cité sous marine que je n'ai qu'aperçus auparavant.

Qui a bien pu construire cette merveille?

C'est une bonne question mais je suis sûr que personne n'en connait la réponse, je suis émerveillé devant l'ingéniosité des créatures ou personnes ayant créé ce lieu impressionnant. Logan interrompt mon observation minutieuse et passionnée en criant et montrant ce qui semble être une entrée dans le rempart de la cité mais en regardant de plus près, il ne se fait aucun doute que le passage est bouché.

Dommage... Cela aurait été trop facile...

Je regarde à côté de la porte murée et remarque avec soulagement une genre de bouche d'égout ou quelque chose de ressemblant du moins. Je me retourne vers mes compagnons et parle avec une note d'amusement dans la voix.

Si ça ne gêne pas les demoiselles, je crois que l'on va devoir passer par ici.

Je montre en même temps le trou que l'on va devoir emprunter en espérant que, si c'est bien une bouche d'égout, qu'elle n'est plus utilisée pour faire sortir les déchets de la cité. Je lève la tête et me demande par ailleurs si cette ville sous marine est encore habitée par le peuple qui l'a construit ou si elle est déserte et devenue aussi sinistre que le temple de Thimoros de Kendra-Kâr.

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Les dieux sombres sont tout puissants


Antariasi, serviteur des dieux sombres écrasé comme son pendant rolisitique papier.

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 Sujet du message: Re: Chapitre 4 : L'Aigle des Océans
MessagePosté: Dim 30 Aoû 2009 13:07 
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Inscription: Mar 28 Avr 2009 00:01
Messages: 858
Localisation: Couloir de prison, Quête 26
Coup de folie ? Coup de sang peut-être ? Allez savoir, en tout cas, la rage qui s’empara de moi fut incontrôlable. Et je dis ça après coup, je n’ai plus qu’une vague idée de ce qui venait de se passer alors que je baignais dans l’eau salée peinte par le sang et les débris de chairs nageant au gré des courants du fond océanique. Je me rendais compte de l’horreur que je venais de créer. Et quelle horreur ! Moi ! J’avais craqué, ne supportant plus toutes les infâmes contraintes que nous imposait cette satanée aventure. Sans raison réelle, j’avais donné la mort sans pitié ni répit pour mon adversaire déjà pris au piège… Nous aurions pu faire des prisonniers…. Réfléchir à la possibilité d’une intelligence à l’intérieur de ces petites créatures. J’aurais pu maîtriser mes pulsions et garder mon calme face à cette agression plus qu’inexplicable… Encore une machination sans doute ! Mais que pouvions nous désormais faire face à la toile mortelle que le nécromant avait tissée autour de notre sort, funeste à n’en point douter, à tous.

J’étais devenu pendant quelques secondes l’image même du monstre cruel que je voulais combattre, et je découvrais désormais, dépité, l’ampleur du désastre. Il fallait que je me ressaisisse pour redevenir le jeune guérisseur talentueux, ambitieux et tolérant que j’étais. Il fallait cependant mettre mes émotions de côté et tourner la page avec toutes les déceptions et pertes que j’avais essuyé en seulement une petite journée… Une putain de journée, à n’en point douter ! Qui aurait rêvé une telle situation, un fou peut-être ?
Enfin bon, il ne fallait pas désespérer mais au contraire essayer de se reprendre et d’avancer. Comment faire alors pour ne pas se morfondre ? Appliquer cette philosophie positiviste et croquer dans la vie pour se sustenter du besoin humain et naturel qu’est la recherche du bonheur… J’en avais tant besoin en ces heures sombres. Il fallait maintenant être simplement lucide et retrouver son bon sens ainsi que son calme pour mettre rapidement fin à ce jeu âpre et cruel. Dur chemin que la vie, fleuve aux remous inattendus !


(Pauvre Darek, quel pauvre image tu dois avoir de moi ! Je n’ai pas été franchement à la hauteur de tous les rêves que j’ai prétendu réaliser… Oulah !)

En parlant d’inattendu, voilà autre chose, le bateau venait presque de me mettre par terre alors qu’il se remettait tout bonnement à bouger. Par quelle prodigieuse magie quelqu’un pouvait à sa guise nous faire avancer et nous stopper. Mais plus inquiétant encore, notre arrêt voulait dire que l’attaque avait été commandité, et donc que nous rentrions sans difficulté dans le piège du nécromant plutôt que de tenter de le contourner. Nous étions dans son jeu et nous n’avions guère de possibilités pour en sortir. Comment faire pour survivre dans cet univers malsain dans lequel nous évoluions ? Je n’en comprenais que difficilement les tenants et les aboutissants et une grande partie restait mystérieuse alors que faire si je ne savais pas. J’aimais détenir la connaissance pour pouvoir être simplement dans l’assurance du vrai. Être sur le droit chemin avait toujours été quelqu’un chose qui me tenait à cœur, je ne pouvais renier mon appartenance à la déesse des Justes et du Bien.

Autour de moi, sur le pont du navire englouti, mes compagnons s’attardaient sur les derniers moments de calme du voyage, nous allions bientôt accoster, c’était une certitude. Nous pouvions alors profiter de la vue idyllique de cette splendeur de cité sous-marine. Elle me terrifiait et me fascinait à la fois, c’était tellement improbable, formidable et inquiétant à la fois que j’en avais la chair de poule… En parlant de peau, je commençais à franchement m’inquiéter pour l’état de mes doigts sous l’eau que je voyais se flétrir au fur et à mesure du contact permanent avec l’eau. Mais bon, il fallait savoir souffrir pour avancer, je venais de l’apprendre à mes dépens.


(Pauvre de nous, rien ne justifiait tant de malheur…)

Alors que dans un dernier regard triste, j’effaçais un tant soit peu les cadavres de mes amis, marins et aventuriers laissés derrière nous, le bateau se posa avec douceur sur un banc de sable fin. Presque un petit paradis sous-marin si j’avais été ici durant des vagabondages d’adolescent. Antariasi posa une question dont la réponse m’était inconnue mais la désignation du lieu convenait parfaitement à l’idée que je m’en faisais. C’était splendide ! Mais il ne fallait pas se laisser amadouer par ces images d’une grande beauté, la mort nous attendait surement à l’intérieur de ces murs.

Tandis que j’admirais encore émerveillé les contours de ce lieu unique, d’autres eux, scrutaient les proches abords du navire. Et ce fut Logan en premier qui désigna un endroit qui lui paraissait être une entrée. Me détournant de ma contemplation béate, je fixais enfin mon esprit à l’instant présent et à la nécessité pratique à notre survie. C’était en effet une porte, mais une porte condamné malheureusement. La chance ne nous avait pas sourie cette fois car ce passage avait du être usité bien des années auparavant mais désormais, il était impraticable.

Pourtant, Antariasi avec sa remarque ramena mon attention au mur proche de ce bloc infranchissable. Il y avait là quelque chose d’intéressant, en effet. Et en effet, comme le disait mon ami sombre, si cela ressemblait à ce que nous croyions être, il faudrait passer par les égouts, lieu de haut prestige et d’une dignité infinie. Il supposait avec humour que cette alternative enchanterait sans doute Angharad et Aalys. Il m’arracha un maigre sourire même si je pensais ces deux jeunes femmes bien au dessus de ces considérations purement hygiéniques.


(On cherche ailleurs ou on rentre par là ? … Avec la chance que l’on a, à tous les coups, c’est la seule entrée, ça m’étonnerait pas du nécromant ! On va donc devoir se coltiner les ordures… Enfin bon, allez, Motivés !)

Et dans un soupir tout plein de bulles marines, je levais les yeux vers la surface de l’océan tout en me décidant à lâcher avec dépit un petit commentaire désabusé :

« Je crois que tout le monde a compris ! Il faut entrer par là, c’est peut-être sale mais au moins c’est discret ! Et j’ai bien maintenant l’intention d’aller au bout de cette aventure morbide ! Allez, dans la joie et la bonne humeur, qui m’aime me suive ! »

Et d’un bond, je m’élançais à la nage vers cette entrée sombre et verdâtre. Bien que mes facultés fussent occultées, j’imaginais déjà le calvaire nasal que nous pourrions subir. Une fois arrivé à la hauteur du mur, j’hésitais une dernière fois avant de m’élancer avec crainte dans ce tunnel obscur.

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Terminator des cours d'écoles ! Théurgiste en formation, prêt au combat ! Près de mourir !


Dernière édition par Erfandir le Lun 31 Aoû 2009 22:33, édité 1 fois.

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 Sujet du message: Re: Chapitre 4 : L'Aigle des Océans
MessagePosté: Dim 30 Aoû 2009 14:18 
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Inscription: Dim 23 Nov 2008 19:23
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Localisation: Quête 19
La récupération du filet se fit sans qu’aucun obstacle ne se mît en travers de mon chemin, de même que pour mon retour au sein du groupe d’aventuriers et ce ne fut qu’à ce moment que je pris conscience des blessures de mes compagnons en apercevant les volutes de sang s’en échapper. Je ne tenais compte que trop rapidement et succinctement de ce qui arrivait à ceux qui se battaient à mes côtés, ayant foi dans les capacités de chacun à se dépêtrer des mauvais coups qui nous tombaient dessus. Peut-être avais-je tors, ou peut-être pas, mais telle était ma marque de confiance envers eux. Mais il fallait avouer que ces bestioles étaient vraiment détestables, aussi ennuyeuses qu’une épine dans le pied dont on ne pouvait se défaire sans souffrance. Malheureusement, à peine avais-je fini de me réceptionner que tout s’enchaîna avant que je ne pus me préparer pour mettre à exécution mon plan. Chacun était prêt à recevoir nos adversaires sauf moi. Raek et Jena avaient décidé de suivre les conseils de l’adolescent et se concentraient pour mettre en œuvre leur magie alors que les autres les attendaient de pieds fermes. Peu avant l’attaque de nos adversaires, une barrière lumineuse nous entoura et m’apporta un sentiment de réconfort et de soutien. Grâce à elle, nul d’entre nous ne fut blessé lors de ce nouvel assaut qui se termina par la mort de quatre des bestioles grâce à la puissance décuplée de la magie de l’électromancien sans que nous ayons à subir plus que de désagréables décharges sans conséquences néfastes pour nous.

Mais depuis quelques instants, je commençai à ne pas me sentir bien, assistant à la scène comme si cette dernière se déroulait très lentement avant que ma vision ne se voilât totalement. Voici presque deux jours que je n’avais pas vraiment mangé, sans compter l’éprouvant retour vers Kendra Kâr, et mon corps avait choisi le plus mauvais moment pour me le rappeler. L’énergie bénie qui me maintenait depuis ma fuite dans les rues de la ville blanche, et alimentée par les derniers évènements, commençait à me faire défaut. Dès lors, j’assistai au combat uniquement par les bruits qui parvenaient à traverser la gangue de plomb qui semblait s’être abattue sur moi, me laissant sans forces et sans réactions. Malgré tout ma volonté pour faire face moi aussi à cette agression et aider mes compagnons, je ne pus que mobiliser mes ressources afin de ne pas m’écrouler telle un sac vide sur le pont, de combattre les vertiges qui se faisaient insistants. Il m’était impossible de dire combien de temps je restais ainsi, si ce n’était qu’il me semblât qu’une éternité s’écouler tandis que j’étais en dehors du temps lui-même. Aussi, je ne luttai pas quand je sentis le filet m’échapper des mains, bien incapable de le faire et toute espoir qu’un de mes compagnons fît ce que je m’étais proposée d’effectuer, avant de me reculer, titubante, vers une source de pouvoir que j’identifiais comme la magie de Valyus me permettant de localiser par la même Raek. Ces quelques pas marquèrent le début du retour à la normale mais la récupération de mes sens ne se fit que douloureusement lentement.

La tension et la haine avaient pris le dessus au sein du groupe, gagnant même le jeune guérisseur qui réclamait à grands cris la mort pure et simple de nos ennemis. Par les Dieux, cette quête allait tous nous perdre tant elle semblait ronger notre personnalité… Pire notre âme. Dans l’expectative de ce qui se déroulait tout autour de moi, je n’esquissai aucun geste de défense quand je sentis de nouveau les picotements irritants soulignant la nouvelle utilisation d’un des sorts de l’électromancien, suivi de très près par la conscience de mouvements m’entourant et m’évitant par miracle. Encore quelques coups assénaient sur le pont et tout fut fini aussi vite que le combat s’était imposé. Je sentis le fier navire kendran reprendre sa lente descente aux enfers abyssaux et s’arrêter calmement en se posant sur le fond marin. Petit à petit je me sentais mieux, heureuse de reprendre à nouveau pleinement possession de mon corps tandis que les vertiges s’estompaient. Et enfin, je pus voir. Sans avoir le temps de réellement comprendre les tenants et les aboutissants de ce qui s’exposait à ma vue recouvrée, je fixai mon attention sur les silhouettes qui gisaient sous le filet aux pieds des deux capitaines et des serviteurs de Gaïa. Ils étaient bien moins forts qu’ils ne m’étaient apparus menaçants quand ils flottaient autour de nous.

Puis, dans le flottement sensoriel qui m’habitait encore, je reportai mon attention vers la citadelle qui s’élevait maintenant devant nous, la contemplant d’un regard mêlé de fascination et de crainte. Que nous attendait-il à l’intérieur ? Dans ce territoire inconnu de tous pouvaient se cacher bien des dangers comme bien des merveilles. Mais je ne me faisais pas d’illusions, pour percer ses mystères, nous aurions à traverser de nombreux périls. Rapidement, Logan trouva une entrée dans la muraille qui se dressait devant nous. Malheureusement la porte s’avérait être murée alors que, juste à côté, se trouvait une deuxième ouverture ronde. Quelle était son utilité, je ne le savais pas mais il paraissait évident que nous devions passer par là pour pénétrer dans la citadelle des profondeurs océanes ou partir pour une recherche qui pouvait être longue, fastidieuse et vaine d’un autre accès à la magnifique bâtisse. A en juger par la réaction de quelques-uns de mes compagnons, tous s’accordaient sur ce fait. J’avais besoin d’un bon repas et d’une bonne bouffée d’air pour me défaire plus rapidement des sensations désagréables laissées par mon récent malaise mais je devrais attendre et espérer que ça ne me reprît pas de sitôt.

« Allons-y alors… »

Je n’ajoutai rien, les mots étaient superflus pour prendre une telle décision à moins qu’une personne de notre entourage eût une raison de ne pas s’y plier. Moi, je n’en avais aucune.

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"Ne crains pas d'avancer lentement,
Crains seulement de t'arrêter."

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Angharad Larmanya, Humaine, Magicienne Niv.9


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