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Nom : Salymïa Classe : Guérisseuse Race : Elfe blanc Age: 91 ans Description physique et de la personnalité :Je mesure 1,95 mètres et pèse 70 kilos. Je suis une elfe assez solitaire et d'un abord plutôt froid. Je montre difficilement mes émotions. Je suis cependant d’une grande générosité et suis toujours présente si l’on a besoin de moi.
Je porte un habit simple et blanc qui me vient de ma grand-mère, guérisseuse comme moi. Ma mère me l’a offerte le jour où je suis partie en apprentissage. Mon bâton, offert par mon maître d’apprentissage est solidement attaché dans mon dos et toujours accessible dès que j’en ai besoin. À ma ceinture, une gourde d’argent ornée de la même rune présente sur mon bâton.
Biographie :J’ai eu une enfance paisible malgré l’absence régulière de mon père. Heureusement ma mère a toujours été là pour prendre soin de moi et m’élever comme je le méritais. Mon père était un guerrier chargé de défendre la ville et ma mère se consacrait à mon éducation et à la magie. Très vite je me suis intéressée à la magie et, même si en personne responsable, ma mère m'éduqua sur tous les plans, la magie fût ma passion dès le jour où ma mère commença mon apprentissage. Je trouvais cet art noble. Je me suis aussi beaucoup passionnée pour l’histoire de mon peuple connue pour sa longévité d’exception. Je me suis toujours intéressée à l’art et aux activités d’écriture et de lecture plutôt qu’aux arts manuels. De manière légère ma mère me surnommait la « spirituelle » car j’étais toujours le nez dans un livre ou tranquillement posée au port à réfléchir et à rêver.
Pendant mon adolescence je me spécialisais dans l’art de la magie et continuais à être ce que j’avais toujours été. Une elfe qui était intéressée surtout par l’art, la magie et l’histoire. Grâce à mes lectures d’histoire, j’appris beaucoup au sujet des divers massacres qui avaient marqué l’histoire de notre race et du fait que beaucoup des nôtres étaient mort faute de soins. Mais mon adolescence fût surtout source de peine pour ma mère. Mon père était de plus en plus absent mais surtout elle se faisait du soucis pour moi. J’étais une elfe tellement solitaire que ma mère redoutais que je sois rejetée par mes semblables. Même si je leurs montrais un profond respect, je ne me mêlais guère à eux.
Deux ans avant le choix de mon apprentissage, un drame survînt dans la famille. Lors d’une mission mon père tomba au combat. Ce fût un coup dur pour ma mère et moi. Alors, comme le voulait la coutume toutes activités cessèrent pendant un mois. Durant ce mois de deuil, je me suis perdue dans le sens psychologique. Je me promenais sans but ou passais mes journées sur le port à penser à mon père que je n’avais pas tant connut que ça. Je me prenais à rêver et à m'inventer des souvenirs avec mon père. La douleur de cette perte soudaine me fît pleurer tout le long du mois et rien ne parvenait à me consoler. De plus la magie me manquait cruellement et je n’arrivais pas à passer au dessus du chagrin d’avoir si cruellement perdu mon père. La voie qui, selon moi m’était destinée me fut révélée le jour où, au détour d’un de mes tours habituels dans Lúinwë je m’arrêtais devant le temple de Gaïa et où je comprenais que je voulais mettre ma magie au service des soins pour mon peuple et pour éviter à d’autres de vivre ce que j’avais vécu. C’est à partir de ce jour que je décidais de verrouiller mes émotions pour ne plus me laisser affecter aussi violemment.
Je décidais donc de mon apprentissage en tant que guérisseuse. Ne voulant pas embarrasser ma mère, je décidais très vite de mon autonomie et réussis à trouver moi même mon maître d’apprentissage. C’était un homme fort sage qui avait toute mon admiration. Il régnait entre lui et moi une harmonie sans égale. De plus mon immense intérêt pour ce métier le rendait très fière de moi. Je quittais avec lui ma ville natale pour parcourir les contrées du continent. Il me fît d’abord commencer mon apprentissage sur les animaux. Ma grande sensibilité, même masquée, me rendait très proche de la nature. Même si je ne pouvais pas soigner que des animaux, j’avais un talent certain pour cela. Mon maître trouvait que c’était une qualité car comme il le disait : « avant de savoir se soigner, il faut savoir écouter la nature ». Cette phrase marqua à jamais ma façon de voir la nature et les paysages qui m’entouraient. Plus mon apprentissage avançait plus je me sentais en harmonie avec la nature. À la fin de mon apprentissage mon maître m’offrit son premier bâton magique pour rendre hommage à une élève exceptionnelle. Je le garde précieusement avec moi. Il ne me quitte pas.
Aujourd’hui il est temps pour moi de retourner au village natale afin de mettre en œuvre tout ce que j’ai appris au cours de ces années.
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Armes et bouclier :En main principale : bâton en bois de hêtre orné d’une rune magique en son sommet (mag+2)
En main secondaire :Armure(s) :Protection pour le torse :Protection pour la tête :Protection pour les jambes :Protection pour les bras :Cape :Bijoux Magiques : -
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Sac (Encombrement = 0/20) :- Gourde vide en argent ornée de la même rune que mon bâton [E=2]
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Or : 50 Yus
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Magies Acquise(s) :- "souffle de Gaïa (sort acquis lvl 1-->lvl 1 du sort)"
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Capacités de combat (CC) :CC sans arme acquise(s) :-
CC avec arme acquise(s) :-
CC avec arme de jet acquise(s) :-
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ville de départ: Kendra Kar