Nom : Cyowä
Classe : Voleur
Race : Humain, d'origine inconnue
Age : Inconnu, à son visage, on jugerait quelque chose comme une trentaine d’année.
Description physique et de la personnalité :(HRPG : Cette description, pour les besoin du background de mon personnage, qui ne sait plus qui il est, à été écrite à la troisième personne, et d’un point de vue omniscient, car ledit personnage n’est pas capable de se décrire lui-même, pour cause d’amnésie).
Cyowä était, autant de par son physique que par son esprit, l’idée même que l’on se faisait du voleur. De grande taille et d’une musculature assez développée, l’homme n’avait jamais eu à subir les provocations ou les insultes d’autrui. Il donnait véritablement l’air de quelqu’un qu’il ne faut pas déranger même amicalement. Bien sur, cela ne suffisait pas à éloigner les plus courageux (ou les plus fous), mais lui conférait un avantage certain lorsqu’il était contraint de se déplacer dans des lieux mal famés, où les plus faibles étaient bien souvent les victimes de criminels se terrant dans l’ombre. C’était donc un homme grand et imposant, un homme dont on avait tendance à se méfier.
Son visage n’était lui non plus pas très amical. En effet, notre héros n’avait jamais beaucoup été habitué à sourire, et cela n’arrivait qu’en de très rares occasions, à vrai dire.. Ses cheveux noirs tombaient sur son visage d’une manière aussi peu soignée qu’élégante, couvrant quasiment ses yeux, eux aussi d’un sombre aussi rare qu’effrayant. Il ne se rasait pas, et par conséquent, on observait sa barbe, de la même teinte que ses cheveux, tout autour de sa bouche, sur ses joues et son cou. C’était le visage d’une Ombre.
Ce voleur était constamment vêtu des mêmes apparats, arborant une cape teintée de vert dissimulant quelques sombres et vieux haillons. Pour une question d’aisance dans son travail, et de sécurité, il gardait toujours sa capuche rabattue sur sa tête. C’était autant une habitude qu’un principe, à vrai dire. Une des seules habitudes dont il se souvenait…
La psychologie de ce personnage était complexe, et beaucoup l’aurait qualifié de fou au premier abord, et paradoxalement, ils n’avaient pas tout à fait tord, car Cyowä souffrait d’amnésie. Une amnésie profonde, où des souvenirs, des phrases, voletaient dans son esprit, sans jamais former quelque chose de complexe. Il avait perdu tous ses souvenirs avant le choc. Le choc, comme il l’appelait, il n’en avait quasiment aucun souvenir.
Mais cette amnésie l’avait amené à mi-chemin entre la raison, entre le réel et le rêve. Il présentait donc parfois (souvent, avouons-le) des réflexions assez étranges, où il se parlait à lui-même, riait tout seul, on hurlait contre lui-même. Ces caractères très spéciaux invitaient la plupart des gens à se méfier de lui, et à l’éviter le plus possible. C’était ce qu’il souhaitait, car les Hommes l’agaçaient bien souvent.
Mais malgré sa douce folie, ce n’en était pas moins un personnage bon, vagabondant en quête d’individus à aider, et se proposant même pour les tâches les plus ingrates. Personne ne le connaissait vraiment, et bien souvent, il s’amusait à jouer un rôle, à porter un masque. Mais à vrai dire, il ne se connaissait pas lui-même…
Biographie (résumé) :Un choc… Une grande lumière blanche, puis l’éveil, l’oubli, le désespoir…
C’était le commencement de ma vie. De ma nouvelle vie j’entends, car je savais, j’en étais sur au fond de moi, que ce n’était pas vraiment le début. J’avais vécu auparavant, j’avais grandi, j’avais ris, jouer, aimer même, peut être… Mais c’était oublié, enfoui dans un recoin incertain de ma mémoire ou tout bonnement effacé. C’était la fin de cette vie.
Mes premiers ‘nouveaux’ souvenirs (vous me suivez ?) furent flous et indistincts. J’étais dans l’eau, car je me souvenais de l’eau, de sa douce et apaisante texture, de la liberté qu’elle offrait. Allongé dans l’eau donc, sur le rivage d’une plage. L’air était glacial et je le sentais s’immiscer vicieusement sous mes quelques vieux haillons. Etourdi et perdu, je décidai néanmoins de quitter cet endroit infâme. Je me relevai donc, et me rendais compte à quel point j’avais mal à la tête. Pourquoi ? Ce n’était qu’une de mes très nombreuses questions sans réponses. J’ouvrai peu à peu les yeux, et constatais l’obscurité omniprésente, presque pesante et inamicale. Et devant moi, à quelques mètres seulement, il y’avait un homme. Un homme portant une longue robe noire et un capuchon, s’appuyant sur un bâton presqu’aussi grand que lui qui émettait une faible lumière à son extrémité. Cet homme, aussi étrange qu’étranger, leva la main vers moi, comme un dieu puni un fidèle, et encore une fois, je perdis connaissance.
Je ne m’éveillai que quelques jours plus tard, installé confortablement dans un lit douillet et moelleux à souhait. Ne cherchant même pas à me lever, je restai étendu dans ces draps, reposant mon corps endolori, victime d’un sortilège, sans doute. Je restai là une bonne heure, jusqu'à ce qu’un homme entre dans la pièce, arborant un grand sourire. Il était jeune, mais grand pour son âge, avec des yeux aussi bleus que l’océan, et des cheveux aussi sombre que les profondeurs abyssales ! Il dégageait vraiment une bonne humeur comme l’on en voit rarement, et me donnais envie de discuter avec lui. Mais je ne savais pas par où commencer, et je pense que s’il n’avait pas lancé la conversation ce jour là, j’y réfléchirai toujours (et sans doute celui aurait-il été meilleur).
« Salut ! Lança t-il d’un air jovial. Attends une minute, je reviens ! Et s’éloignant dans un bruit d’escalier qu’on descend en hâte, il s’exclama : Avec à manger ! »A y repenser, j’avais très faim, à ce moment là. Ce repas fut plus que bienvenue, et l’homme m’exposa clairement la situation : Il s’appelait Trun, avait dix-sept ans, et son père tenait l’auberge dans laquelle je me trouvais. Et il y’a quelques jours, alors qu’ils péchaient ensemble tôt le matin, et que sa mère gardait la boutique, ils virent sur le rivage ce qu’ils crurent être un cadavre rejeté par les flots. Et quand ils approchèrent leur petite barque pour l’examiner, le supposé cadavre se mit à bouger légèrement un doigt, comme un appel à l’aide. N’écoutant que leur cœur, ils m’avaient (car vous l’aurez deviné, j’étais ce cadavre) rapidement chargé à bord de leurs embarcation, et emmené en vitesse consulter un médecin. Celui-ci m’avait déclaré victime d’un sortilège, ajoutant que seul le temps pourrait me venir en aide, et réclament solennellement son or. Le famille de Trun avait payé, et m’avait même fournis une chambre dans leur auberge ! Et pour couronner le tout, il m’apprit que nous étions à Kendran Kâr, ville qu’il me décrivit comme la plus prodigieuse du monde.
« Alors, t’en pense quoi ? Finit-il par lâcher au bout de quelques secondes aussi muettes que le Mort.
-Que tout sera plus clair après quelques tartines ! Répondis-je tout aussi jovialement. Partageons ce repas, si tu le veux bien, je porte un toast à mon sauveur ! »
Et nous partageâmes le dit repas.
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Armes et bouclier :En main principale : Dague (For +2)
En main secondaire :
Armure(s) :Protection pour le torse :
Protection pour la tête :
Protection pour les jambes :
Protection pour les bras :
Cape : Cape Elfique (dissimulation)
Bijoux Magiques :
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Sac (Encombrement = 0/20) :-
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Argent : 50 Yus
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Sorts Acquis :
Sorts de combat évolutifs :
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Sorts RP :
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Sorts créés par le PJ lui-même :
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Capacités de combat (CC) : CC Sans Arme acquises (CC SA) :
-Dérober.
CC Avec Arme acquises (CC AA) :
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CC avec Arme de Jet acquises (CC AJ) :
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Croyances :Mon personnage acquierera plus tard des croyances envers certains dieux, tout cela viendra dans le récit.
- Dieu vénéré : Zewen
- Dieu(x) prié(s) régulièrement :
- Dieu(x) haïs :
- Dieux non reconnus :
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Merci au GM qui prendra le temps de me lire, en espérant que ce ne soit pas trop lassant ! Bonne journée !
