Nom : Luli Grunweiser
Classe : Rôdeur
Race : Humaine
Age : 15 ans
Description physique et de la personnalité : Discrète et peu loquace, Luli est de ceux qui savent se terrer dans l'ombre et qui vivent en solitaire. Préférant écouter que parler, l'humaine apprécie néanmoins la compagnie des vivants tant qu'ils la laissent dans son coin. C’est dans ce souci de la discrétion la plus totale qu’elle porte toujours un capuchon. Elle ne retire que très rarement cette étoffe noire et épaisse pour dévoiler une longue chevelure flamboyante, longue et lisse. D’ailleurs, grâce aux jeux d’ombre, le vêtement permet également de cacher une large partie de son visage, ne laissant apparaitre finalement que des lèvres légèrement colorées.
Sous ce capuchon, elle porte une tunique de couleur sombre et abimée. Taillée dans un tissu d’excellente qualité, l’habit avait dû être très beau autrefois, les fines broderies faisant désormais place à quelques trous et autres tâches. Une paire de bottes fourrées chaussent ses pieds et sont à l’épreuve de toutes les intempéries. La rousse peut sembler petite faisant à peine un mètre soixante-cinq. Sa démarche est souple, marchant toujours à pas de loup.
Luli aime voyager, découvrir le monde qui l’entoure, appréhender de nouvelles cultures. Son aisance à s’adapter est certainement en lien avec sa grande tolérance. Tel un don inné, elle sait respecter les us et coutumes des autres, s’abrogeant des préjugés. Malgré tout, son jeune âge ne lui permet pas d’avoir le recul nécessaire afin de réellement prendre conscience de sa faculté.
Elle possède également la spontanéité qu’incombe son jeune âge bien que son caractère soit posé.
Biographie :« Vous souhaitez connaitre mon histoire ? Je ne pense pas que ma vie soit assez passionnante pour un tel exercice, mais soit, puisque vous insistez… »
« Je suis née il y a 15 ans dans les plaines autour de Kendra Kâr. Issue d’une famille banale, pas particulièrement riche, j’ai reçu une éducation stricte et complète jusqu’à ce que je sois contrainte de prendre la fuite, il y a quelques semaines de cela, mais ça, j’y reviendrai plus tard. C'est mon père qui m'a appris à lire, écrire, prier ainsi que le tir. Il souhaitait que quoiqu'il m'arrive je puisse m'en sortir seule. Mon enfance a été douce et tranquille dans les plaines verdoyantes où les paysans occupaient leurs journées à entretenir leurs champs. Moi, je passais mon temps à lire sous un arbre sur une colline qui surplombait la plaine, c’était un paysage magnifique ! J’étais une petite fille calme et très discrète. Je n’avais pas d’amis. »
« Mmh, que pourrais-je vous conter ? »
« Ah oui ! Mon père était médecin de campagne, il sillonnait le pays aux alentours de notre village pour apporter des soins aux malades. Moi, j’adorais l’accompagner pour découvrir de nouveaux paysages, de nouveaux patelins, de nouvelles personnes… Quant à ma mère, eh bien, je ne l’ai jamais connue, elle est morte en couche. Père avait l’habitude de dire que je ressemblais trait pour trait à ma mère. Même chevelure, même yeux, même sourire. Malgré sa mort précoce, mon père n’a jamais pu se résoudre à refaire sa vie. »
« Oui, je le vois bien, vous trouvez peut-être que la mort de ma génitrice n’est pas si banale pour une demoiselle à la famille basique, mais vous oubliez surement que la mortalité à l’accouchement est très, très courante. Père m’avait dit que parfois, c’était même la mère et l’enfant qui mourraient. Ainsi, je suis fille unique. »
« Certains diront peut-être que ma vie a toujours été douce et facile. Ils n’auraient pas tort. Je n’avais jamais ressenti la faim, le froid ou la soif. Je l’avais par contre souvent rencontrée au cours des expéditions avec mon paternel. Il s’appliquait à me montrer ma chance et souhaitait que je reste humble dans toutes les circonstances. Pas de vantardises, pas de moqueries... »
« Mmh, vous avez raison, je dois vous parler de ma fuite, j’y viens. »
« Donc… Ma vie était douce jusqu’à récemment où le village dans lequel j’habitais s’est fait attaquer par une bande de pillards. La plupart des villageois se sont fait massacrer. Mon père a été tué par un bandit en voulant me protéger d’une mort certaine. Il m’a donnée cette arbalète et a hurlé de fuir. Il s’est pris une épée en plein ventre, dans ma course j’ai eu le temps de le voir s’écrouler au sol, et puis plus rien… Depuis, je n’ai pas cessé de fuir, et me voilà dans cette ville, Kendra Kâr, sale, sans un sou et plus seule que jamais... »
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Armes et bouclier :En main principale : Arbalète (+2 for)
En main secondaire :
Armure(s) :Protection pour le torse : Tunique noire de bonne facture légèrement abimée. (+2 end)
Protection pour la tête :
Protection pour les jambes :
Protection pour les bras :
Cape :
Bijoux Magiques :
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Sac (Encombrement = 0/20) :-
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Argent : 50 Yus
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Sorts Acquis :
Sorts de combat évolutifs :
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Sorts RP :
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Sorts créés par le PJ lui-même :
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Capacités de combat (CC) :CC Sans Arme acquises (CC SA) :
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CC Avec Arme acquises (CC AA) :
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CC avec Arme de Jet acquises (CC AJ) :
- Tir critique : L'attaquant vise les points sensibles de l'ennemi, augmentant les chances de lui causer une blessure fatale. (L'intervalle des coups critiques aux dés passe de 95-100, à [95-lvl] - 100, minimum 50. For+1/lvl)
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Croyances :- Dieu vénéré : Aucun
- Dieu(x) prié(s) régulièrement : Gaïa, Zewen.
- Dieu(x) haïs : Aucun
- Dieux non reconnus : Aucun
