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Nom :GaørClasse : VoleurRace : liykor noirAge :16 ansDescription physique et de la personnalité : Passant les 2m30, il pourrait être imposant, même parmi d'autres liykors noir. Mais la sous-nutrition est passée par là: son corps est efflanqué, famélique. Un inconscient pourrait aisément arracher de pleines poignées de poils noirs de jais à ses côtes saillantes, s'il osait s'approcher. Toutefois, la taille de ses crocs et de ses griffes sont toujours là pour rappeler à quel point il demeure mortellement dangereux pour qui n'y prendrait pas garde.
Sa personnalité, bien que demeurant résolument animale et sauvage, a été marquée par les années en captivité forcée. Il sait à quel point les hommes peuvent être dangereux en groupe. Il peut les comprendre, parler, interpréter leurs expressions et, à leur langage corporel et leurs odeurs, en savoir très long sur leur état d'esprit. Il n'a jamais dit un mot, peut-être le pourrait-il, mais il n'a jamais eu de raison d'essayer. Il n'a par contre intériorisé aucune trace de culture, ayant été retiré trop jeune à sa mère, et n'ayant vu le monde des hommes qu'à travers des barreaux et des arènes. les dieux, les lois, le rois, le commerce, la civilisation, ou la vie sauvage, tout ceci lui est inconnu. Demeure les instincts, la survie et la colère.
Biographie (résumé) :Des flammes, des cris, l'odeur du sang... On l'a enlevé à sa mère alors qu'il était à peine sevré, même pas propre. Mais il ne s'en souvient pas. Une bande d’hominidé divers, venu chercher des liykors pour les arènes de combat. On l'avait mis dans une cage pour chiot, recouvert celle-ci d'une couverture, et on l'a laissé macérer là dans le noir et ses besoins jusqu’à Tulorim. Il y passa 15 ans, passant de la cage à l'arène, de l'arène à la cage. Dans la cage on lui donnait de la nourriture. Dans l'arène il devait la chasser. Certaines proies y étaient imposantes, d'autres moins. Presque toujours armées, souvent d'acier et de cuir vêtu. Qu'importait au final... Il était une sort de miraculé, commençait même à avoir une certaine notoriété, mais lui n'en savait rien. Au début, il servait à amuser la galerie avant les vraies combats. On l'envoyait sur des coqs, un chat, un chien, puis une meute de chien... Le temps passait, les adversaires devenaient plus coriaces. Mais toujours le même rythme immuable: la cage s'ouvrait, il entrait dans l'arène, et rapidement, le sang coulait. Le sien, celui de sa proie, mais à chaque fois, c'est bien lui qui restait debout après la lutte. Les parieurs s'enrichissaient, certains troubadours chantaient. Lui léchait ses plaies, attendant la prochaine fois. Il aimait ça au final, sortir de sa cage, même si parfois il se disait qu'il préfèrerait tout de même savoir avant de rentrer dans l'arène sur quoi il allait tomber. Il aimerait sortir de l'arène aussi. Il essaya, un jour, de grimper hors de l'arène après un combat. Vingt gardes et leurs piques l'en ont vite dissuadé.
L'occasion arriva toutefois un soir. Son gardien s'approcha un peu trop pour glisser son bout de viande du soir par la trappe de sa cage. Il n'avait pas pris la peine de faire reculer l'animal au fond de son petit lieu de vie ce soir là. Pour quoi faire, alors que celui-ci est toujours calme lorsque arrive la bectance? Il ne se retira pas si vite. Dommage pour lui, car ce soir là il était attendu. un patte jaillit de la trappe pour saisir la chemise du malheureux et le tirer contre les barreaux. Le choc est violent, l'assomme sur le coup. Un coup de griffe l'égorge pendant qu'il git sur le sol. Le liykor noir prend ensuite les clés à la ceintures de son geôlier, ces longs objets servant avant chaque combat à ouvrir sa cage. Puis il fuit dans la nuit, se réfugier.
Mais où? Il ne connait rien, ne sais pas où aller, quoi faire. Il ne regrette pas son geste, il est trop tard, ça il le sait. Il tue un gardien, puis un deuxième, et sort. Il escalade un mur, traverse une cours, bondit, grimpe sur un toit. Des gens le voient, hurlent. Il court encore plus vite, au hasard, se cache, ressort, escalade, bondit encore. Il arrive au port. il n'y a presque personne. Plus personne qui ne fasse attention à lui en tout cas. Il se terre dans un navire il parvient à monter discrètement. Au fond de la cale, chez les rats. Le navire part, il ne le sait pas, se rend juste compte que le sol tangue plus, et que son estomac n'aime pas ça. Il vomit tripes et boyaux, bruyamment. Un marin l'entend, appelle ses camarades. Il le tue, en tue un deuxième un peu trop courageux pour mourir vieux. Les autres battent en retraite et bloquent la trappe d’accès au pont, estimant qu'il vaut mieux avoir un fauve enfermé dans la cale jusqu’au prochain port plutôt que d'aller essayer de le déloger et prendre le risque que celui-ci sorte sur le pont... Les jours passent, les restant de la viande sur les corps sont pourris. Il n'a plus de sang a boire, seulement un peu d'eau à laper sous la trappe les jours de gros temps. Il maigrit, s'épuise à rien faire, chaque jour un peu plus ... Enfermé, a nouveau.
Armes et bouclier :En main principale : Ses griffes de la patte droite (For +2)
En main secondaire :Ses griffes de la patte gauche (For +2)
Armure(s) :Protection pour le torse :
Protection pour la tête :
Protection pour les jambes :
Protection pour les bras :
Cape :
Bijoux Magiques :
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Sac (Encombrement = 0/20) :-
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Argent : 50 Yus
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Sorts Acquis :
Sorts de combat évolutifs :
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Sorts RP :
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Sorts créés par le PJ lui-même :
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Capacités de combat (CC) :CC Sans Arme acquises (CC SA) :
-Morsure féroce : Le combattant peut sauter sur sa cible si cette dernière a une partie de son corps non couverte par une pièce d'armure et mordre violemment dans la chair pour en abîmer quelques veines (For+2/lvl). Les éventuels bonus d'armes SA n'entrent pas en compte.
CC Avec Arme acquises (CC AA) :
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CC avec Arme de Jet acquises (CC AJ) :
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Croyances :- Dieu vénéré : aucun
- Dieu(x) prié(s) régulièrement : aucun
- Dieu(x) haïs : aucun
- Dieux non reconnus : tous