zhou~, v'la la bio verssion longue, sur conseil d'une amie, j'ai enlever certains passage, censure censure!~
Les corps s’empilaient, encore et toujours, tel un torrent incessant, des mort dépouiller puis jeter parmi tant d’autres, un mort oublié, certains sont encore en vie quand ils sont jetés dans la fausse commune, ils subiront une mort atroce, dans la chaleur aride, les charognard viendront surement les dévoré vivant à moins que ce ne soit les rats qui ne s’en charge…
A côté de cette vision macabre vivaient, un bien grand mot, plusieurs centaine de personne, confiné dans un amas de déchet qui leurs server d’abris contre le soleil, ces miséreux étaient pour la grande majorité mourant en effet, une épidémie était passé par là et ils rejoindraient sans doute bientôt tous la fausse qui les fournissait en vêtement et toutes autres babiole qu’ils s’en allaient revendre à l’est, dans la grande cité de Raynna, Seule ville dans le domaine de Charlùm, le bagne des elfes gris….
Violeurs, assassin, voleur, renégat, tomber ici est une aubaine si l’on veut échapper à la société, y naitre est une malédiction car la vie n’y vaut pas grand-chose…
L’enfant que nous suivons est un grand chanceux, en effet celui-ci a eu le privilège de naitre en dehors de la ville, dans un bidonville perdue dans le désert, à côté de la seul richesse que les misérable que sont son peuple ont su trouver, une fausse commune dans laquelle la sombre ville qui fait régner la loi du plus fort vient empiler ses morts…
Les garder entre leurs murs coûterait épidémie et fléau, sans compter les odeurs insupportable… Ce petit enfant, reclus comme toujours dans une couverture déchiré dont il essayer d’ignorer l’odeur pour ne pas avoir à imaginer ce qu’elle a bien pu abriter avant lui, se nommer Sham, l’on pouvait voir des cheveux blanc et une peau grise avec des yeux noir qui ne se lamentait pas, en effet, Sham vivait avec la certitude qu’il y avait plus mal logis que lui, cette idée en tête le maintenant en vie, il ne devait ni se lamenter, ni rejeter la vie que ses parent lui ont donner…
Il vivait dans une faite de peau, on ne saurait trop dire de quel animal venait la peau, le fait qu’il y ait des cadavre à proximité en disait long sur les possibilité mais un abris est un abris, cela vaut mieux que de mourir au soleil… Le jeune elfe, car seulement âgé d’une cinquantaine d’année, vivant dans l’amour et l’insouciance la plus pure, ces parent lui ont appris à apprécier la vie comme elle vient peu importe ce qu’il arrive mais seulement voilà, son père et sa mère était malade, après plus de 200 ans passé dans ce bidonville ils ne tombaient malade que maintenant, comme tout le reste des miséreux d’ailleurs…
Sham s’endormis ainsi, au milieu de la misère, sans aucun espoir de s’en sortir car il savait que lui aussi finirait par tomber malade et en mourir, mais c’est ainsi, on ne choisis pas l’existence que l’on mène, on la subit tout simplement …
Quand soudain le bruit d’une carriole se fit entendre, c’était sans doute les corps journaliers que la villes nous envoyez, les lamentation des mourant qui était jeter dans la fausse, le bruit des os qui se fracasser les uns contre les autres, les rire des tortionnaires, la routine…
Mais quelque chose était diffèrent, les elfes noirs qui venait de la ville ouvrait les huttes du bidonville, pourquoi ? Sham fut pris de panique, et si pour éviter que l’épidémie ils avaient décidé de tous nous jeter dans la fausse ? Il eut des sueur froide mais n’entendis personne sortir de la hutte voisine, peut-être s’inquiétaient ils juste pour les résident et qu’ils venaient pour voir comment on allait, oui, c’était surement ça se dit il… Puis sa hutte fut ouverte, une ombre encapuchonner s’introduit dans la hute avant de refermer derrière lui avec une peau déchiré parmi tant d’autres.
Il les regarda, Sham et sa famille, longuement, il s’approcha d’abord du père l’attacha et le bâillonna, fit pareil avec la mère avant de s’approcher de l’enfant qui ne comprenait pas…
Il tira les paupière de sham vers le haut et les épingla à ses sourcils, il allait devoir admiré tout ce que cet être allait faire à sa famille, lui attacha les cheveux à un poteaux « que faites-vous » dit sham en pleurant, la chaleurs, la peur et la douleurs lui ayant enlevé toutes force pour se débattre Mais il n’eut aucune réponse, son tortionnaire fit même mieux, il sortit une machette et trancha d’un coup sec le pied de sa mère qui cria de toutes ses force, hurlant de douleurs, le sang coulait à ne plus en pouvoir. L’encapuchonner s’approcha de Sham et lui dit « tu vas être un bon garçon et être silencieux pendant que je m’occupe de papa et maman » avec un grand sourire avant de plonger le pied de sa mère dans sa bouche puis de la faire tenir avec des vêtements déchiré qu’il avait due trouver par terre dans la hutte. Ce qui s’ensuivit fut tout simplement dix heures de torture, de viole, de mutilation ignoble, sham n’arrivait pas à perdre conscience, il voulait mourir, nan, il voulait tué son tortionnaire, il n’avait jamais autant espéré la mort d’un homme il mordait le pied de sa mère, le sang envahit sa bouche, il perdit ainsi connaissance, après plusieurs heures de torture, il se réveilla finalement les paupière fermé, ce n’était qu’un cauchemars se dit-il, rien de tout ça ne serait jamais arrivé, un gout ignoble parcourait sa bouche, mais ce n’était probablement pas ce qu’il pensait, ça ne se pouvait pas, il posa les main par terre, il sentit la peau, la peau sur laquelle il dormait sans doute, il étendit les bras et sentis un visage, il parcourra les trait du bout de ses doigts, sa mère, sa mère était là mais il n’osait pas ouvrir les yeux alors il se blottis contre sa mère et posa sa tête contre elle...
Tout s’arrêta d’un coup… Il ne sentait plus la poitrine de sa mère, il trembla, il ouvra tout doucement les yeux, les larmes coulait le long de ses joues et là il vit la cruauté de ce monde…. Jamais aucun êtres n’aurait oser mutilé ainsi une femme, il était obnubilé par l’atrocité dont il était témoins, les seins avaient étaient sectionner, le reste du corps dépecer et brûler à vif pour faire cicatriser, seul le visage était indemne mais il ne sentait plus son cœur battre… Sham se leva doucement, la carcasse de son père était de l’autre côté, il n’osa pas la regarder le même sort avait due lui être réserver, il voulait hurler, hurler à n’en plus pouvoir, mais rien ne sortait, il était terrifier, il voulait juste mourir… ne plus voir tout ça, se réveiller de se cauchemars revenir à sa vie de misères dans laquelle il baigner dans l’amour des siens…
Sham marcha longtemps, la fausse était remplis mais il ne pouvait en sortir, les paroi étaient trop haute pour lui, à force de marcher il finirait par se réveiller, sans doute, puis une mains jaillis du sol et s’empara de sa cheville gauche « à l’aide !! » criait une voie faible, fatigué, usé « aidez-moi, je suis coincé, j’étouffe » il y avait de la vie sous ses pieds les gens pleurait, se lamentait, gémissait, hurlait, la chaleur faisait remonter une odeur tellement ignoble que si Sham n’était pas sous le choc, il se serait sans doute évanouit, la main finit par le lâcher la voie s’éteignit et les autres firent finalement place au crie des corbeaux et autres petit oiseau qui venaient se régaler avant que les gros carnassier n’arrive, une horreur, un enfer, un cauchemars…
Tous les oiseaux s’envolèrent en même temps, par peur sans doute, quelque chose arrivait… Une odeur encore plus infecte se fit sentir, bien pire que de la décomposition, peu importe ce que c’était, l’odeur était insoutenable, des silhouette descendirent alors dans la fausse une grosse dizaine, peut être une vingtaine, et au-dessus d’eux une personne, une personne de sa race, un elfe gris, il le reconnue à son teint, Sham lui fit signe, tenta de l’appeler à l’aide en pleurant, mais sa gorge était noué, il perdit finalement connaissance, de nouveau.
A son réveil, il comprit qu’il ne rêverait plus sa mère, ni son père, ni ses amis, ni aucun de ceux qu’il a un jours aimer, sa vie était fini, il pensait mourir dans la fausse, mais il faisait froid, une froideur tel que jamais il n’en avait connue, l’humidité et la froideur était juste agréable, le silence était reposant, était-il mort ? Il était allonger sur une surface mole, un matelas, la première fois qu’il en voyait un de sa vie, son regard se posa contre les murs, sombre, trop sombre, il n’y voyait pas à deux mètres, il repensa à ce qu’il avait vue, son estomac remonta d’un coup, il vomit sur le sol de l’eau, aucun repas depuis plusieurs jours, il n’allait pas vomir autre chose… mais il s’en moquait, il voulait juste mourir, il se coucha, et attendis que la mort veille bien de lui… Il recouvra des draps somptueux qui le recouvrait pour la première fois il goutait au luxe d’un bon lit, un luxe qu’il n’aurait jamais eu dans sa vie, là où l’amour qui l’entourait était chaude, les drap était fraie, le sol aussi dure que la vie qu’il menait dans son ancienne vie était remplacer par un agréable matelas la lourdeur du soleil ne passait pas là où il se trouvait, la rareté de l’eau était tel que boire à sa soif était inimaginable, là elle tombait des mur au goute à goute sur le sol…
Ça ne pouvait être que la mort, jamais de sa vie cela n’aurait était possible, Sham sourit, il allait enfin pouvoir revoir ses parents et ceux qu’il aimait tant… Quelqu’un toqua à la porte, la mort se dit-il, il ne répondit pas, la porte s’ouvrit et une grande personne s’introduit dans la chambre ses pas résonnait dans la pièce le bruit des flaque dans lesquelles il marchait, le son de ses vêtement qui trainait sur le sol, le tout avec une douceur inimaginable. La personne s’arrêta alors au-dessus de Sham, ses long cheveux d’un blanc pure tombait jusqu’à ses hanches, le teint gris, les yeux noir, un elfe gris, probablement celui qu’il avait vue sur la fausse… Alors le cauchemars continue se dit il… L’elfe s’assied sur le bord du lit « j’imagine que tu as vue des chose que personne n’aimerais voir n’est-ce pas ? » commença t’il… Sham ne répondit pas, il pleurait encore «si tu venais à survivre à ce que tu as vécue, tu voudrais sans doute mourir peu après non ? » poursuivi-t-il avec un grand sourire. « Ceux qui ont attaquer ton village sont des elfes noirs de la citée à l’est d’ici… » Un grand silence, troublé par les gémissement de Sham qui ne pouvait pas s’arrêter de pleuré. « ils sont sensé apporté des corps en bon état, c’est la condition que je leurs impose en échange de quoi je laisse leurs cité tranquille, mais ces temps si ils ne m’apportent que de la camelote, pire encore, ils avaient l’occasion de m’offrir des corps en parfait était mais ils se sont laisser emporter par leurs instincts mal saints… »
Sham le regarda bizarrement, qui était cette personne qui parlait de la vie comme si c’était une valeur quel qu’onc ? Sham s’empara de son courage, il n’avait rien à perdre après tout, « qui êtes-vous ? » demanda t’il doucement « pourquoi m’avoir sauver, je n’ai aucune envie de vivre… » L’elfe le regarda sans dire mot, « pourquoi ne l’aurais-je pas fait ? si tu ne veux plus de la vie donne-la-moi, tout simplement, j’en ferais bon usage, crois-moi. » « Comment suis-je sensé vous la donner ? » rétorqua Sham « , en mourant pour vous, en travaillant ? en accomplissant vos désirs corrompue ? c’est pour fuir une vie horrible noyer dans la servitude que mes parent vivent reclus ! » « vivaient » répondit l’elfe « ce n’est pas comme ci tes parents étaient encore là pour s’en plaindre et j’imagine que dans leurs dernier instants ils devaient se dire que la servitude vaut parfois mieux que la torture… » L’elfe se levât et se dirigea vers la porte, à mi-chemin il se retourna dans un soupir, « Si tu veux manger il faudra sortir, tout est servis , si tu veux mourir, attend donc dans ce lit, je suis certains que tes parents t’ont donner la vie juste pour que tu la perde au premier coup dure que tu rencontres alors continue comme ça, tu es sur la bonne voie. » Puis il sortit avant de refermer la porte de la chambre…
Sham ne le savait pas encore mais il se trouvait dans la demeure d’une des pire calamité que ce monde avait à cacher, Hiryum Balla, un fléau à lui seul, heureusement pour Naora, ce n’était pas une réputation voulue, il n’avait rien contre la vie, il se contentait d’essayer certains sort dans le bagne, développer quelques épidémie à Rayna, se faire quelques richesse en ressuscitant la famille de riche marchand ou trafiquant, il ne demandait qu’une chose, qu’on le laisse en paix et qu’on ne le dérange pas.
Le choix de Sham ne passa pas par quatre chemin, il voulait la puissance, il voulait lui aussi pouvoir influencer la vie des autres comme Hiryum l’avait fait pour lui, peu importe comment, il ferait tout pour comprendre le monde et en tiré les bonne carte pour l’influencer, à défaut de contrôler le monde, il voulait au moins l’améliorer …
Le temps passa et Sham s’accoutuma de la vie que lui offrait son hôte, la demeure d’Hiryum n’était pas ce que l’on pouvait appeler un château mais plutôt une cavité, un immense sous terrain qui s’étendait sur des kilomètre, étant situé sous tous les point d’eau du désert et le soleil ne passant jamais, l’humidité constante amenait des bêtes comme jamais Sham n’en avait vue…
Mais ce qui étonnait le plus Sham c’était les serviteurs, tous étaient mort, sans aucune exception, tous des mort qui bougeait pourtant, ils ne produisait aucune chaleurs mais ils bougeaient… Un jours, en plein repas Sham demanda à son hôte de bien vouloir lui enseigner l’art de la sorcellerie. « et qu’en ferrais tu ? tu tenteras de venger les tiens avant de tomber sur plus fort que toi et de mourir ? de ressusciter ta famille ? changer le monde pour que ce genre de chose n’arrive plus ? ne me fait pas rire, si c’était possible je n’aurais pas à me cacher ici… » « Et bien de quoi vous cachez vous, vous qui êtes si mâlin ? » répondit sèchement sham, vexé au plus haut point. « des dieux j’imagine… » « les dieux n’existe pas » coupa sham, « s’ils existaient ce genre d’horreur n’aurait pas lieu ! » « haaa, oui, c’est vrai, Zewen n’a créer que des dieux sympathique avec qui il fait bon parler, il parait même qu’il te passe une pièce et une maison quand tu mendie ! Ne vas pas croire que les dieux sont au même rang que les mortel, toute chose a une fin, c’est ce qui fait que son commencement est plus d’espoir et la vie pleine de rêves, les dieux n’ont que faire de nos soucis, nos rêves, nos espoir, ils régissent le monde, voilà tout, ils passent le temps, nous ne sommes qu’un divertissement parmi tant d’autres… Ne soit pas trop hâtif dans ton jugement des divin Sham, ils existent bel et bien… » « Je voudrais qu’ils n’existent plus, ou alors, je voudrais les forcer à changer ce monde ! » « petit rêveur… » Un long silence régna sur la lourde table qui séparé les deux elfes, hiryum continua de manger et poursuivis, « quel âge me donnerais tu Sham ? » Sham réfléchis un long moment, les elfes peuvent vivre longtemps, très longtemps… « 1500 ans ? » Hiryum sourit, « les elfes sont faibles tu sais, nous avons plusieurs millénaire de vie mais nos corps comme nos âmes ont leurs limites… ces limites sont régie par deux chose, le temps et la mort… Le travail de ma vie, c’est la compréhension de tout cela, le temps et la mort, la mort du corps n’est pas un soucie, nombreux sont ceux qui à l’heure où je te parle se font suivre par des horde de mort vivants, néanmoins, l’âme elle, est une toute autre histoire… Phaïtos, le dieu de la mort s’empare de ton âme à la fin de ta vie, ce qui fait donc que pour la récupéré, c’est un peu mort » Hiryum s’arrêta pour pouffer de rire sur son jeu de mot avant de remarquer que son interlocuteur ne trouvait pas ça marrant, il se calma et poursuivis, j’ai donc trouver un moyen d’empêcher cela, conserver l’âme suffisamment longtemps pour la réintégré à un corps… il s’agit tout bêtement d’un bête sacrifice, tu accordes ton âme avec celle d’un autre, tu y accorde ta magie, tu imposes des rune pour récupéré la tienne les deux personne dans les runes inter changeront, tout simplement, ton corps meurt, l’âme de l’autre corps vas dans le tiens et arrive dans les griffes du dieux de la mort et toi et bien, tu obtiens un nouveau corps » dit-il tout fier de lui, comme si c’était d’une simplicité tel que ça aurait due sauter aux yeux… Sham poursuivis son repas et entre deux boucher il dit « c’est stupide, si les dieux existaient vraiment il ne laisserait pas ce genre de chose arriver… »
Hiryum regarda avec des grands yeux Sham, « E-En effet » dit-il gêné « c’est le gros soucie de l’affaire, mais comme je l’ai dit, les dieux n’ont que faire des affaires des mortels ce qui donc, bien souvent, vire en conflit entre divinité, une âme qui n’aurait pas due mourir meurt, une personne qui ne devrait pas vivre, vit, comme je l’ai dit, les dieux se servent de nous comme passetemps, ils sont assez immature et se broute le choux à la première occasion, donc je devrais m’en sortir indemne… j’imagine… » « Tu imagines hein… » Un long silence régner sur la table, qui aurait crue qu’un gamin qui n’y connaissait rien pourrait répondre à ce genre de discussion… Peut-être avait-il un don pour comprendre ce genre de chose… « Et bien j’imagine que je peux peut être t’enseigner les rudiment… enfin, je pense… je crois… mais ça ne remplacera jamais une véritable expérience, je vais faire en sorte que tu puisse partir à la découverte du monde pour comprendre, et là peut être, tu trouveras une bonne raison d’utiliser ce que je vais t’enseigner »
Apres ce repas, le quotidien de Sham changea lourdement, récolte de corps, marchandage, étude des réaction magique sur les corps, il fut même lettré par son maitre. Mais il étudia surtout la chaire en décomposition et toutes les maladie qui pouvait maximiser cet état, ainsi il aida Hiryum dans toutes ses expérience sur les miasme, qu’il déversait dans les nappe phréatique, oasis, garde-manger de la ville harem d’esclave, une étude poussé qui passionna au plus haut points Hiryum, sans doute parce que pour la première fois, il travaillait avec une personne vivante…
Apres plus de 400 ans de recherche Hiryum offrit un cadeau à Sham, une revanche comme jamais il n’y en aurait d’autre, depuis quelques années ils travaillaient sur une magie qui permettrait de mouvoir la chaire et de conservé l’âme et les activité cérébrale dans des corps qui de toute évidence, n’ont plus les capacité pour vivre correctement, des amas de chaire en décomposition, tout ce qu’il y a de plus vivant et conservant leurs nerf sensitif, sentir la douleur parcourir chaque recoins de son corps, sa chaire tomber en lambeaux, en bref, une torture comme jamais on ne pourrait en imaginer de pire physiquement…
Il y a un quartier, près des lourdes portes de la ville de Rayna ou vit une famille d’elfes noir, ceux qui s’occupe de tout ce qui concerne l’acheminement en matière de cadavre jusqu’à la fausse commune un peu des pseudo serviteur, la cité ayant une forte haine pour cette race, il était dure de dire s’ils étaient caché ou non, mais ce qui était sur c’est que le chef du territoire où ils vivaient n’en avait plus besoin et les avait donc vendue à Hiryum… Sham pu ainsi assister pour la première fois à une expérience sur des sujet réel, mais il n’avait aucune animosité envers eux, c’est grâce aux atrocité qu’il a vécue qu’il a pu obtenir un but dans sa vie : changer la donne de ce monde. Ce sont des cobaye, de malheureux pauvre cobaye… Le quartier devait compter une bonne centaine d’individu… Le sort se manifesta sous la forme d’un miasme qui sortait de la peau d’Hiryum, avant de ressembler à une sorte de boue qui recouvrait tout son corps et avancé doucement sur le sol, se dirigeant vers les habitation, les cries ne métrèrent pas longtemps à envahir le quartier, pendant presque deux semaines des amas de chaires ambulait dans le quartier, ils moururent finalement à la fin du sort, la loi du plus fort était décidément très utile pour expérimenter certains sort comme celui-ci fit remarquer hiryum à Sham, il n’y a pas de honte à se servir du système à son avantage et être monstrueux car cela profite toujours à quelqu’un…
Au bout de 800 ans d’apprentissage théorique, Hiryum décida d’envoyer Sham se faire une expérience pratique sur le continent, découvrir le monde et toutes les race étranges qui y vivent… Cela se fit vite, il prit contact avec un de ses client, plutôt que des richesse, il demanda de faire migrer Sham sur le continent, on verrait bien comment il se débrouillerait il se dit, avec un énorme sourire que sa mort lui permettrait d’avoir un sujet de choix pour ses expérience…
Il lui transmis le nom de Balla, signe pour le distinguer de la noblesse puante, beaucoup de riche marchands qui avait fait richesse connaissait ce nom, Sham n’aura pas de mal a trouver un gîte simplement par ce nom en espérant que la présence de son élève ne gênerais pas sa tranquillité dans ce merveilleux bagne qu’est le domaine de charlùm…
Sham ne maitriser que les rudiment de la magie, mais il finirait sans doute par suivre la même voit que lui… s’il survivait bien sûr ! A son départ Sham n’avait que son livre de note qui lui servait de grimoire et une cape elfique aux propriété furtive « j’imagine que ça te cachera de tout ce que tu pourrais rencontré… sans doute… peut être… enfin, j’espère ! » se rappela Sham son maître n’avait décidément pas changer se dit il… Il navigua sur un bateau de trafique d’on ne sait trop quoi, ça ne l’intéressait pas et ça arrangeait bien le capitaine. Il accosterait à Enjod ville portuaire régis par la richesse, il n’y ferrait pas long feu mais le but n’était pas de rester sur place, mais bien de tout découvrir…
_________________ http://www.yuimen.net/univers/sham-balla-fanatique-lvl-1-t5683.html
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