Maltar a écrit:
au contraire:
d'abord, kaboum, une grosse explosion, un avertissement pour tous! Quelque chose se passe, quelqu'un meure! Et salement en plus.
puis des corps décharnés, et souvent agonisant, avec des morceaux dispersés partout, histoire que tout le monde profite du spectacle. Des gerbes de sang, des tripes sur les murs...
sans parler du paysage qui est durablement redessiner ainsi... Pendant des annés, en passant devant les décombres de cette maison, où devantse mur carbonisé et gravé des éclats des shrapnel (et des boulons placés autour de la bonbone de gaz), tout le monde se souviendra de ce qu'il s'est passé.
Aprés ça demande un peu de technique et un sens de la mise en scène
echec et mat
![Saut rouge [:sautfeu:]](./images/smilies/sautfeu.gif)
Trop spectaculaire pour moi, pas assez intimiste, ça manque de contact avec la victime.
Un assassinat c'est comme une nuit folle, contact, force et subtilité, avec de la passion, de l'amour et de la douleur...
Il faut sentir le sang couler, la vie s'échapper. Il faut sentir sa force augmenter pour briser la cible, il faut sentir sa douleur et sa soudaine peur, il faut voir ses yeux révulser, se lécher les lèvres couverte de son sang... Il faut durant un instant, vivre sa vie, son sang, capturer son âme et l'emprisonner.
Puis tout arrêter et voir son corps s'effondrer, le sang rougir le sol et savourer l'instant...
Il n'y a rien de tout ça dans un "Kboum" espèce de gobelin
hors sujet : si un inconnu arrive sur le forum il va flipper et on va se faire arrêter par la DST
![:D [:Dange:]](./images/smilies/Dange.gif)
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Les dieux ne sont qu'enfants, inconscients et inaptes. Ils souffriront comme j'ai souffert, perdront à jamais leur pouvoir et erreront, comme jamais personne n'avait encore erré. Ils pleureront, remplissant les mers, et saigneront, car tel est le sort que je leur réserve, car enfin ils vivront ce qu'ils ont fait vivre...
Merci à Itsvara
« Les hommes ne sont pas nés du caprice ou de la volonté des dieux, au contraire, les
dieux doivent leur existence à la croyance des hommes. Que cette foi s'éteigne et les dieux meurent. » Jean Ray