Caabon a écrit:
Anastasie Terreblanc a écrit:
Caabon a écrit:
Azra a écrit:
Caabon a écrit:
Caabon a écrit:
Siiwih a écrit:
Mouais enfin passer de sexe à conspirationnisme et religion pour revenir au sexe... Rien de bien original, distrayant ou léger.
Je tiens à préciser, pour ma défense, que ma tentative de dérivation allait vers l'expérience et la distance culturelle dont l'étude des sciences passées peut nous faire prendre conscience.
La lecture des carnets de Léonard de Vinci permettent d'ailleurs de se faire assez rapidement une idée de l'étendue et de la diversité des champs de réflexion qu'il a exploré. Si l'on retient, ce me semble, souvent ses qualités d'ingénieur et d'artiste, c'est en oubliant des parts bien plus ténues de son histoire, qui toutefois donnent du relief à l'ensemble.
L'étude des sciences du passé ? C'est quoi ? L'étude de comment on percevait la science dans le passé ? L'étude des découvertes scientifiques du passé ?
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Un ensemble Azra : une réflexion sur comment on percevait la science, comme la science se faisait, quelles ont été les "découvertes" et leur transmission. Et comme il serait trop vaste de tout englober pour une séance de discussion, j'ai choisi Léonard de Vinci, et ses réflexions sur la nature de l'eau. Beaucoup de constats sont des choses que l'on apprend aujourd'hui au collège, sans trop se creuser la tête. Mais pour de Vinci, elles constituaient des sujets de réflexion pas si évident.
L'époque où la science était encore cool.
Pourquoi ? Tu ne la trouves plus cool ? En quoi la trouves-tu moins cool qu'elle ne le fut ?
Je me suis mal exprimé. Je ne trouve pas que la science en elle-même soit moins cool, je trouve que la façon d'aborder la science était plus cool. Ca me ferait chier de rien faire d'autre que des équations toute la journée. Je sais bien que je simplifie largement le travail du scientifique, mais ce que je veux dire c'est que j'aurais adoré faire ces petits test à la Galilée ou De Vinci, expérimenter sur le terrain, faire des expériences que l'on a maintenant l'impression qu'elles sont idiotes, plutôt que de faire une série de calcul. C'était mieux quand il y avait encore tout à découvrir.
D'ailleurs je parle de ces deux là, mais évidemment j'englobe aussi les philosophes grecques, qui ont découvert beaucoup de choses qui nous paraissent maintenant évidentes simplement en observant leur milieu.