Guasina a écrit:
L'enrôlement dans l'armée débute par un entraînement physique assez rude tant pour une femme que pour un homme . Cette période dure entre 12 et 15 semaines pendant laquelle les candidats sont des recrues.
S'il est rude dans le sens "c'est le même", je suis d'accord, sinon, non. On ferait croire aux hommes que l'accès nécessite une certaine forme, alors que la forme minimale dont tu parles en bas serait celle demandée aux femmes.
Guasina a écrit:
Il faut aussi avouer que physiquement une femme possèdent beaucoup moins de masse musculaire qu'un homme et qu'elle a donc des capacité inférieures à ce niveau. (Il y a des femmes d,exception qui peut faire le même travail, mais elles sont rares.)
ça, j'en n'ai rien à faire : soit il y a des prérecquis physiques, et à ce moment si une femme est acceptée à ce niveau, pourquoi la limite ou le barème chez les hommes seraient plus compliqués? Parce qu'ils ont tendance à avoir des muscles plus efficaces? Ce serait donc une raison génétique? Alors l'asmathique a aussi le droit à un barème particulier, du moment qu'il fournit "l'effort équivalent"? Comment il est jugé, cet effort équivalent, d'ailleurs, puisque la composante phsychique rentre en compte, et qu'on ne me fera pas croire qu'on sait noter la psychologie (si tant est que c'est possible).
Guasina a écrit:
Même si dans l'absolu, les femmes ont un entrainement plus facile que les hommes, en relatif (tenant compte de leur aptitudes physiques moindre), il est équivalent. Donc, une femme qui suit un entrainement à l'armée doit faire autant d'effort qu'un homme.
Réponse dans le § précédent.
Guasina a écrit:
Donc, je pense qu'il est normal qu'une femme qui se dirige pour être infirmière servant pour les forces armées puisse bénéficier d'un entrainement difficile, mais moins que celle d'un homme puisse qu'adapté à ses capacités. Puisque son métier d'infirmière, ou de technicien en informatique n'exigera pas une forme physique hors norme pour une femme.
Comme je suis pas d'accord avec le fait qu'on exige l'effort et non la capacité, cet argument là ne me convainc pas. En quoi l'homme infirmier aurait besoin d'avoir des capacités physiques moindre que celle de la femme infirmière...les bistouris sont plus lourds pour les hommes que pour les femmes?
Guasina a écrit:
Par contre, une femme qui désire faire carrière dans l'armée dans un métier plus "terrain" où que la forme requise est de mise. Elle devra à mon avis suivre le même entrainement que les hommes, car sur le terrain, elle sera soumise aux mêmes conditions. Il y aura moins de femmes admises à ces programmes et c'est normal, une forme minimal étant requise et ce doit être la même pour tous.
Je trouve ça normal, et je pense que ça devrait être le cas partout et dans toutes les disciplines.