Yuélia a écrit:
Gamemaster10 a écrit:
Yuélia a écrit:
Gamemaster10 a écrit:
Yuélia a écrit:
Gamemaster10 a écrit:
Silmeria a écrit:
Gamemaster10 a écrit:
Du coup t'es vexée qu'il te l'ai pas demandé à toi ?
Ah, ça aurait pu les beaux jours mais non. Là en l'occurrence, il était vraiment grossier. Autant quelqu'un qui t'aborde poliment sans te mettre mal à l'aise en public (métro, bar etc...) ça peut avoir son charme mais c'est rarement le cas.
Souvent après tu as le droit aux insultes du genre " Salope, t'es malpolie, tu réponds pas quand on te parle. "
De toute façon c'est une mauvaise idée d'aborder une jolie femme dans un lieu public, c'est une mauvaise idée sur son lieu de travail (Caabon avait dit quelque chose de très juste à ce propos), je crois qu'en général il y a très peu de situations où l'on devrait se le permettre.
Genre lesquelles d'après toi ?
J'en vois pas de prédéfinies. À part en étant voisin à la limite. Mais sinon c'est du situationnel.
Si la femme est seule, tu peux aller lui demander gentiment :
Excusez moi mademoiselle, je sais que c'est un peu abrupt demandé comme ça, mais puis-je vous offrir un verre ?
Je pense que c'est un peu égoïste, et potentiellement frustrant pour la dame abordée.
Qui ne tente rien n'a rien.
C'est pour ça que tu n'es pas avec ta caissière.
![Ange [:ange:]](./images/smilies/ange.gif)
Le problème que je pose là est éthique. Mon point de vue n'est pas celui de l'homme qui mesure ses chances, je trouve ça moralement douteux d'aborder une femme qui n'a pas forcément envie de l'être. Voir message de Serpent, mais dabs la société actuelle on peut partir du principe que si on aborde une femme, elle l'a déja été plusieurs fois dans la semaine. Ce qui pose deux problèmes :
1) l'incartade de vingt secondes que tu croyais lui imposer est en fait une incartade de vingt minutes entrecoupée imposée par "les hommes"
2) la demoiselle en question, quand tu arrives, ne sait pas quel genre de dragueur tu vas être. Un gentil, un timide ? Ou un lourd et un potentiellement violent (verbal ou physique) ? Ce qui implique une possible peur dès qu'un homme s'approche avec un "excusez moi".