Ædräs a écrit:
Humbert Helboldt a écrit:
Daemon a écrit:
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Je suis navré.
Mais en même temps, je m'y attendais un peu. J'ai le don de faire hésiter tout le monde, ici. Faut croire que Caabon a une sacrée popularité.
On le vénère !

Il sera ravi de l'apprendre, j'imagine.
J'sais pas. Il est un peu comme dieu, ses voies sont impénétrables.
Ou alors je ne suis pas au niveau. Ça doit être ça.
Mais même divinisé, il n'en reste pas moins un homme.
Zut. En fait, ça, c'est Tartuffe qui parle de son amour pour la femme de son patron. Pardon Caabon.
Quoique, dans le contexte d'aveuglement et de fanatisme de Daemon, ça se tient.
Tartuffe, le hobbit ? Il a déserté Yuimen depuis pas mal de temps, plus de nouvelle. Je me fais du soucis d'ailleurs. M'enfin.
Nan, l'original. Celui de Monsieur Jean-Baptiste Poquelin, aussi connu sous le doux nom de Molière.
En gros il avoue son amour à la femme de l'homme pour lequel il travaille et lorsqu'elle lui reproche cela alors qu'il se présente comme un dévot il sort, très naturellement : « Ah ! Pour être dévot, je n'en suis pas moins homme. »
Ah, belle référence. Et ça fini en partie de jambes en l'air ?
Pas du tout.
La première fois, le fils surgit et raconte tout au père qui ne le croit pas et fait confiance à Tartuffe.
La deuxième fois, c'est la femme qui aguiche Tartuffe après avoir caché son mari sous la table du salon, comme ça il peut tout entendre.
Je pense qu'à l'époque, les viols sur scène, ils étaient pas trop pour. Quoique certains metteurs en scène ont sans doute poussé le vice jusque là, j'imagine.
Je confirme. On en parlait récemment en classe et c'est juste... Pourquoi ? C'est comme une version avec une langue modernisée : j'ai du mal à en voir le but (sauf si c'est parodique, mais hélas, y'a aussi un côté de "nan, mais c'est parce que c'est trop vieillot")
Je trouve aussi qu'il n'y a pas besoin d'aller aussi loin pour apprécier la pièce.
Pour l'occasion, j'imagine que c'est pour choquer le spectateur, et peut-être aussi pour trouver une approche qui sort de l'ordinaire, quitte à verser dans le vulgaire. Comme des tas et des tas de mises en scène ont été faites pour
Tartuffe, il faut bien innover. (Je ne cautionne pas, personnellement.)