Anastasie Terreblanc a écrit:
Daemon a écrit:
Anastasie Terreblanc a écrit:
Daemon a écrit:
Anastasie Terreblanc a écrit:
Hawke a écrit:
Anastasie Terreblanc a écrit:
Hawke a écrit:
Et aller, un policier tué sur les Champs-Elysées.
J'aurais dit "un homme" personnellement.
Pourquoi donc ?
Parce que je ne pense pas que sa fonction soit très importante pour l'annonce de son décès.
S'il est mort dans l'exercice de sa fonction, si, justement.
Permet moi d'être en désaccord avec toi.
La question n'est pas de hiérarchiser l'importance des morts, des hommes, mais d'accorder les honneurs à ceux qui servent la nation et l'intérêt général. C'est le minimum.
Je vois pas ce qu'il y a de plus honorable à le qualifier de policier avant de le qualifier d'être humain. C'est comme lorsque l'on dit qu'un juif a été tué, qu'un arabe a été tué, qu'un chinois a été tué... Je préfère personnellement m'attarder sur l'importance et la tragédie de leur mort avant de m'intéresser à ce qui a l'air d'être leur caractéristique principale pour tant de personnes.
Et moi je ne vois pas vraiment le rapport avec la religion ou l'origine de ladite personne. Lorsqu'un média rapporte qu'un policier est mort, on se doute bien que ce n'est pas sur un lit d’hôpital suite à un cancer induit par son paquet journalier ; mais bien suite à une confrontation, voire un accident, pendant son travail. On salut son engagement, sa mort, qui, politiquement parlant, peut être un indicateur d'insécurité ou de défaillance. Il y a un sens derrière. Je ne vois pas l'intérêt de le renier parce que des gens politisent tout, etc.
Ce n'est pas ce que j'ai dit. J'ai parlé de la formulation, pas du sens. Parce que la forme induit le fond, qu'on le veuille ou non, et que je préfère prendre des précautions de langage. Et également parce que je pense que l'important est sa mort, pas les raisons de sa mort. Rien n'empêche d'élaborer plus tard sur celles-ci, je préfère juste mettre au premier plan son appartenance au genre humain.