J'espère que je compte pas comme l'un d'eux.

Ça dépend, c'est un aveu ?

Jusque là Arrow et Gotham.

Pour la première ça m'est devenu insupportable.
Pour la seconde, ma foi... ça passe.

La ville pensée comme une île.
L'ailleurs n'est que prétexte à voyage et à envahisseurs.

J'ai envie de partager mon avis sur plein de trucs.
A commencer par les bouquins.

L'assassin royal par exemple.
Je me suis fait une traversée des treize volumes, c'était intense, moins pénible que la dernière fois, intéressant.

Enfin partager...

Totalement, j'ai beaucoup guetté ces derniers temps !

Je trouve la fin gnangnan à souhait ; comme si, après en avoir fait baver au perso dans sa vie sentimentale, aller, l'auteure lui offre une retraite dorée et tranquille. Hormis quelques développements de personnage intéressants (minoritaires), j'ai aussi trouvé la fin très lourde (mais j'aime bien Lourd) ; en fait j'ai vraiment traversé les bouquins à mesure que j'avançais.

Parce que ça devient très très répétitif dans l'histoire, quelque soit l'intrigue nouée.

Cependant, je crois que cette série est un très bel exemple de la suprématie de la raison d'Etat sur les considérations individuelles (avec des intrigues politiques très sommaires), mais excessif et répétitif dans la démonstration. Et au milieu de la série des gros moments de roman où il ne se passe... rien.

Il me semble que le texte en italique a été rajouté après le post initial.

N'EST-CE PAS ?

J'ai peur.



C'est aussi ce que je reproche à la série... Elle aurait pu raconter la même chose en deux fois moins de pages...

Raaaaaaaaaah pis aller, quitte à en dire du mal...

Je lui trouve le cul entre deux chaises - voire plus - à la série : le roman d'apprentissage bête et méchant (la vie, ses hauts, ses bas) ; une dimension politique de la série (l'espion au service de qui, la politique pour quoi) ; l'aventure qui essaie de se glisser là au milieu mais qui suit pas. Alors on peut faire un très bon mélange des trois (prenons Gagner la guerre par exemple, le côté apprentissage en moins peut-être).

Si on se réfère au dernier exemple que je viens de donner, on pourrait m'objecter que L'assassin royal c'est un ouvrage plutôt tourné jeunesse. Ce que je n'aimerais guère : est-ce à dire que le jeune est con ? Un exemple de roman étiqueté jeunesse, plus équilibré et plus à mon goût même avec mon grand âge qui s'avance : le cycle de L'épouvanteur.

Astérie, de ce que j'ai compris, a pour vocation d'être horripilante.

Le fou m'intéresse comme personnage, dans son évolution, sur les thématiques qu'il aborde (y'a une question de sexualité qui est mise là-dessus, et c'est louable pour du jeune public).

Burrich est vachement bien placé quoi qu'il arrive.

Oeil-de-Nuit idem.

Mais alors Fitz... Même pas qu'il est antipathique. L'est... horripilant par moment. L'impression qu'il apprend pas. Jamais.

Alors tiens, puisqu'on parle de Gagner la guerre et d Seigneur des anneaux...

Nan, je déconne.
Pas le temps de taper convenablement sur le dernier.

L'est pas con, le bouquin.
Je le trouve juste un poil superficiel pour le volume.

J'adore la Belgariade. Malgré son côté naïf, c'est une série très plaisante qui se lit toute seule.