Ah ça me revient vite fait, de manière assez floue, cette histoire.

Ce n'est pas tant la nature hermétique de la discussion que le débat avec Alistair qui pose souci, dans ce cas.
De mon côté, je m'en prémunis : dès que je sens le débat commencer à s'installer entre lui et moi, je le fuis sans plus y revenir !

Semblablement, le premier m'inspire plus.

C'est lâche ça

Nan, plutôt fataliste : on ne sait pas débattre avec Alistair parce que ses arguments portent plus sur la forme que le fond. Si l'un fait de la pure rhétorique, c'est pas un débat d'idées, et donc ça ne m'intéresse pas.

Ah c'est marrant c'est à peu près la même chose que j'aurais à te reprocher.

Ce qui n'était "même plus une critique" au départ, et le sniffait pas mal cependant, vire au nauséabond à la lecture.

Bah oui, ça c'est quand je montre ostensiblement que j'ai plus envie en te singeant.

Si tu le dis.

Explicite ?

Bah puisque les rares fois où je me prends à un débat, c'est de manière pulsionnelle et passionnelle, je me vois mal faire attention à ma rhétorique plus qu'au contenu sémantique de mon propos. D'où ma surprise quand tu m'accuses de rhétorique absconse.

Tiens ça me fait penser que je n'ai plus été au ciné depuis un bail, ça.

Je vais aller voir La Momie tout à l'heure, mais là, suivre le blabla suffit à me divertir.

Quand moi je ne rentre dans des débats qu'avec malhonnêteté et fourberie, c'est bon, on avait compris.