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 Sujet du message: Re: Le jeu sans fin [jeu]
MessagePosté: Jeu 5 Aoû 2010 22:47 
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Le brave sanglier borgne sourd et manchot avait appris que le coq amoureux transi avait perdu sa virilité en prenant son pied. Rumeur ou vérité ? C'est un hyperchleuasme que de rester laconique alors que les carottes de tante crament dans le chapeau du gobelin, habile marionnettiste dansant la Carioca sur du Micheal Jackson et sur le dos tout en faisant du couscous les yeux crevés par un hamster démoniaque qui avait la rage au coeur. C'est alors qu'un chien en rut décida de se rouler dans la fange du sanglier sub-cité qui rit comme une truie qui pisse. Pourtant le coq empaillé de GM9 avait pondu un petit soldat de bois d'une mocheté inégalée. Indubitablement, le chien errant et maladroit, castré par une brebis rageuse, n'aimait pas la viande de morgul des plaines. Néanmoins, le sanglier poursuivit sa route sans peine vers le chasseur embusqué qui s'empala de tout son long sur sa baleine en rut. Le chasseur lui tint le blabla pendant que le pilon du sanglier diminuait doucement tandis que la baleine avait du pue ruisselant partout tremblait la terre, le ciel, aliénant par tout le pouvoir conféré du grand manitou Ola'Bambou'lAAAaa mort de cancer aux testicules arrosées de vin blanc et de calamar géant. Mais c'était avant de pouvoir manger l'étrange petite bête sanguinolente et complètement dépravée qui rampait sur un poil hirsute qui était dépourvue de tout attribut capilaire. C'est ainsi que le sanglier borgne, sourd, toujours lui ; décida de voler un petit morceau d'une grande fleur rouge carnivore qui le regarda avec dix grands yeux mauves aux pupilles aussi rouge que le cul d'un babouin malade et fatigué. Toutefois il hésita à se relever car il n'avait pas son dentier à la camomille avariée accroché à son cou. Mais, bien qu'il soit face à une jument en chaleur, le jeune sanglier ne se doutait point que la fleur allait le charmer avant de le manger rôti avec des oignons et une langue encore salivante. Mais un évenement imprévisible arriva quand il voulut la délester de quelques denrées rares. C'est qu'elle n'était pas très dégourdie cette petite musicienne poilue et dodue, elle partait avec un clochard démembré, récemment décédé, décomposé et complètement sourd. Une orange verte et bleue s'en allait tout simplement lui défoncer sa partie intime quand soudain sa mère arriva en trombe et elle se fit un plaisir de prendre une grosse banane orange toute mûre pour se faire plaisir. Le sanglier aveugle-muet et amputé d'une dent de lait goût menthe légèrement poivré qui symbolise la perte du graal part dès qu'il aura mangé une poire épicée, trempée dans du jus de pamplemousse rose. Ainsi lors du ragnarok annuel tenu à bout de

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 Sujet du message: Re: Le jeu sans fin [jeu]
MessagePosté: Jeu 5 Aoû 2010 23:34 
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Le brave sanglier borgne sourd et manchot avait appris que le coq amoureux transi avait perdu sa virilité en prenant son pied. Rumeur ou vérité ? C'est un hyperchleuasme que de rester laconique alors que les carottes de tante crament dans le chapeau du gobelin, habile marionnettiste dansant la Carioca sur du Micheal Jackson et sur le dos tout en faisant du couscous les yeux crevés par un hamster démoniaque qui avait la rage au coeur. C'est alors qu'un chien en rut décida de se rouler dans la fange du sanglier sub-cité qui rit comme une truie qui pisse. Pourtant le coq empaillé de GM9 avait pondu un petit soldat de bois d'une mocheté inégalée. Indubitablement, le chien errant et maladroit, castré par une brebis rageuse, n'aimait pas la viande de morgul des plaines. Néanmoins, le sanglier poursuivit sa route sans peine vers le chasseur embusqué qui s'empala de tout son long sur sa baleine en rut. Le chasseur lui tint le blabla pendant que le pilon du sanglier diminuait doucement tandis que la baleine avait du pue ruisselant partout tremblait la terre, le ciel, aliénant par tout le pouvoir conféré du grand manitou Ola'Bambou'lAAAaa mort de cancer aux testicules arrosées de vin blanc et de calamar géant. Mais c'était avant de pouvoir manger l'étrange petite bête sanguinolente et complètement dépravée qui rampait sur un poil hirsute qui était dépourvue de tout attribut capilaire. C'est ainsi que le sanglier borgne, sourd, toujours lui ; décida de voler un petit morceau d'une grande fleur rouge carnivore qui le regarda avec dix grands yeux mauves aux pupilles aussi rouge que le cul d'un babouin malade et fatigué. Toutefois il hésita à se relever car il n'avait pas son dentier à la camomille avariée accroché à son cou. Mais, bien qu'il soit face à une jument en chaleur, le jeune sanglier ne se doutait point que la fleur allait le charmer avant de le manger rôti avec des oignons et une langue encore salivante. Mais un évenement imprévisible arriva quand il voulut la délester de quelques denrées rares. C'est qu'elle n'était pas très dégourdie cette petite musicienne poilue et dodue, elle partait avec un clochard démembré, récemment décédé, décomposé et complètement sourd. Une orange verte et bleue s'en allait tout simplement lui défoncer sa partie intime quand soudain sa mère arriva en trombe et elle se fit un plaisir de prendre une grosse banane orange toute mûre pour se faire plaisir. Le sanglier aveugle-muet et amputé d'une dent de lait goût menthe légèrement poivré qui symbolise la perte du graal part dès qu'il aura mangé une poire épicée, trempée dans du jus de pamplemousse rose. Ainsi lors du ragnarok annuel tenu à bout de bois dans

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 Sujet du message: Re: Le jeu sans fin [jeu]
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 Sujet du message: Re: Le jeu sans fin [jeu]
MessagePosté: Sam 7 Aoû 2010 03:18 
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 Sujet du message: Re: Le jeu sans fin [jeu]
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 Sujet du message: Re: Le jeu sans fin [jeu]
MessagePosté: Lun 9 Aoû 2010 03:36 
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 Sujet du message: Re: Le jeu sans fin [jeu]
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MessagePosté: Ven 20 Aoû 2010 23:28 
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Une tomate rouge qui dansait sur mon frigo la Carioca avait mal aux fesses car sa conscience anthropophage avait tout anéanti autour de son cher séant.Mais dans cette situation elle barbotait, cœur agonisant, derrière dégoulinant, saucisson fumant, dans son jus dégoutant. Ensuite papy Sawy, sage de n'avoir jamais ri, d'une apocalypse au goût turquoise rouge sanguinolent frappa son gros bâton sur un avenant avorton qui, tranquillement, mangeait une banane bleue passablement mûre. Ô Eumusa, veuve avare, détestant inopinément papy Sawy, fait que son aura noire étincelante s'éteigne les jours de pluie et de tristesse qui emporte, oui, emporte avec lui sa bêtise. Rêve étrange! Sombre folie qu'est la pensée obscure mais profonde est la conscience animale qui nous élève à éteindre le paroxysme inné, indubitablement anticonstitutionnel. Mais selon le goût de la fraise anhydratée, il est absolument indispensable de rêver à ce bateau rose qui rebondit sur un mur ensoleillé. De plus, l'abus de citrouille confite ajouté à la putrescence sucrée salée de la bonne-vilaine est parfaitement aphrodisiaque. Et si par hasard l'otarie fumante reniflait son aspirateur comestible rose bonbon, alors le cauchemar serait paradoxal, mais si toutefois Sawy arrivait sur sa monture anorexique et unijambiste, reniflant les croutons moisis, psalmodiant une grand-mère borgne, bossue et mal vêtue, alors il deviendrait idéal. L'arrivée impromptue d'une vache volante provoque le déluge de pop-corn, salvateur et réparateur pour quiconque voudrait copuler avec là-dite vache pour donner naissance à Monsieur Crominet le superbe et surprenant Sindel modeste. Cette naissance miraculée forma un horrible rejeton vert et rachitique affublé d'un ceinturon magique trop grand pour sa grande soeur, pourtant si grosse et vraiment malodorante qu'elle rend insupportable la pizza-party. Le canard skieur alpin démentiel, pouvait faire cuire trois oeufs, huit steack et 1200g de crevettes avant même que la baignoire percée n'exécute un quintuple salto pour atterrir sur Chuck Norris. Ce dernier, occupé à construire des barrages thermiques en papier mâché, avec un pinceau rouge carnivore et cannibale envers l'impudente qu'il gratifie d'un coup de moelle épinière de caribou pour ramasser sa perruque. Soudain, le pet légendaire sortit avec la lime à ongles d'Abraham Lincoln qui était absent à l'enterrement de sa soeur dont la jambe était déjà fort putréfiée et miraculeusement bleue, signe divin de l'ablation, et se demandant l'heure trouva que le jus jaunâtre qui suintait devait transcender la paranoïa gangréneuse du petit canard. Je me présente j'appelle Henri j'voudrais bien un petit whisky, des raviolis et un bon lit dans lequel un succube se prélasse, des limaces et GM2 la mesquine batifolent, tous avec ardeur et fanatisme. Orgie frénétique et orgasmique qui sera délicieusement attirante avec un mouton grillé arrosé de Gasoil champagnisé et javellisé. Krasse,Raclette et Bigoudie !Patate douce, champagne et préservatif troué GLORIA !, GLORIA ! Que le seigneur soit et bénisse la tomate suscitée follement amoureuse de Patrick Sebastien, Don Juan, fidel gastro prenant une puissante dose de laxatifs périmés, alors une envie de Raclette à paillette, pirouetteeeuh, cacahuèteeeuh, et Krasse le Merveilleux bouffon qui pète, cacahuèteuuuuh, et Galion le rustre puant, et alcoolique. Kallus, Krasse, ces infâmes et putrides intellectuellement supérieurs, assassins reconnus, aux blattes ils ne feront jamais la Révolution car elles ne peuvent point atteindre le ciel tropical et majestueux.Alors que Phaïtos ce sacripan de super dieu voudrait que de la bière chaude coule à flot.Ce nectar aromatisé de liquide vaisselle exaltait le palet déchiré d'une huitre à moitié pucelle, faisant doucement chanter l'arôme délectable de l'affreux chanteur Irlandais ; nonobstant tous se révoltaient, se disputaient, s'écartelaient, mais aucun ne sentaient des pieds, ni du nez. En revanche, les pistaches asséchées par l'armée martienne, Docteur Raclette entreprit de manger du feu jouissif, pop-cornant malicieusement, tapinant gracieusement, jalousement délicat, curieusement odorant, maladivement attirant, bravant dangereusement, tricotant goulument, voilà pourquoi la tomate finit par vomir sur la tête soigneusement cassée d'un analphabète russe, péruvien-sénégalais, à moitié mal peigné et mal fanatiquement givrée dans du sel de Guérande gélifié pour s'auto-mutiler à l'aide d'un sécateur en plastique quasiment fondu et rouillé. Pendant que la limace auto-destructrice voulait se cloner pour pouvoir s'assoir sur ses pieds boudinés et tout sales en léchant tendrement et avec sagesse les ignobles doigts palmés du charpentier. C'est alors que Zorro et Astérix accompagnés de Richard le bouloum atrophié du postérieur se mirent à beugler et à snifer paradoxalement la maïzena, la farine, et les petits Minimoys tout jouflus pour farcir sans modération une dinde encore vivante et déplumée. Papy Sawy, vénérable mage du gruyère suisse avarié, intervint dans la construction de Dindomator, la machine coudre de sa mêre Chuck Norris Mozarella, fille supérieurement intelligente de Carlos, patron éméché des cactus bleu sympathique sans compote de grenade aromatisée à la cannelle. Dindomator cuisine des gnocchis aux champignons hallucinogènes et macéré dans du foin et diverses enzymes barbiturées d'anémone pour fêter très joyeusement l'heureux meurtre. La question princière arriva: Quel est l'imagination de la plus imaginaire rêveuse tomate rouge de l'enfer ? Tout simplement , ou pas, un petit apollon surgit derrière Luigi entamant un périlleux artifice pirouette, galipette, courbette, sornette et emplette ; suite à l'attaque simiesque,gigantesque et vidangée de ces petites allumettes couleur rouge cerise, Yuia se demande si Meno ne pourrait pas aller se faire tailler un chapeau dans la caverne de l'autre lutin crétin: aspirant assassin, magicien déchu, guerrier poltron, shaman à deux sous, Kal tricheur, Mathis félon mais charmant, Cromax arrogant mais intelligent.
C'est ainsi que malgré la bêtise humaine, le savoir divin ainsi que sancho panza, le petit gros compagnon du grand Don Quichotte, il existe un endroit où personne, jamais jamais, ne pourra s'acheter de la glace orque: Oudina Puka. Alias, Sopo le gros anthropophage, et Ticu le méchant aux dents pointues rouges saillantes, partirent pour une longue quête, dans le désert violet: C'est alors qu'arriva la grande et pulpeuse Sayara, guerrière sans cheveux, frappant de plein et large couteau jaune les deux étroites jambes de nos deux comparses. Ils furent surpris et quelque peu choqués de s'être fait coupés les jarrets aussi courts que la queue d'un gros cochon. Pourtant la lune était blonde et pleine, son contour généreux, sa face livide. Malgré tout, un chimpanzé ivre criait sa joie à qui voulait rire ou pleurer. Il hurlait comme un possédé sur un building couvert de fromage blanc et vert saupoudré de moisissures bleues et qui était mangé et dépouillé pour nager en dehors des champs. Et ces essais succincts ne lui apportait pas de grandes chances de s'échapper de la prison sombre et abandonner que lorsque que, lui, le petit primate né un jour de grand ménage alors que son dentier immaculé avait été présenté à deux proverbiales mégères, eut décrété que lors du souper du dernier des Mohicans, il pourrait jaillir soudainement un espèce _ une espèce _de gros pachiderme aveugle tout taché de sang.

Le brave sanglier borgne sourd et manchot avait appris que le coq amoureux transi avait perdu sa virilité en prenant son pied. Rumeur ou vérité ? C'est un hyperchleuasme que de rester laconique alors que les carottes de tante crament dans le chapeau du gobelin, habile marionnettiste dansant la Carioca sur du Micheal Jackson et sur le dos tout en faisant du couscous les yeux crevés par un hamster démoniaque qui avait la rage au coeur. C'est alors qu'un chien en rut décida de se rouler dans la fange du sanglier sub-cité qui rit comme une truie qui pisse. Pourtant le coq empaillé de GM9 avait pondu un petit soldat de bois d'une mocheté inégalée. Indubitablement, le chien errant et maladroit, castré par une brebis rageuse, n'aimait pas la viande de morgul des plaines. Néanmoins, le sanglier poursuivit sa route sans peine vers le chasseur embusqué qui s'empala de tout son long sur sa baleine en rut. Le chasseur lui tint le blabla pendant que le pilon du sanglier diminuait doucement tandis que la baleine avait du pue ruisselant partout tremblait la terre, le ciel, aliénant par tout le pouvoir conféré du grand manitou Ola'Bambou'lAAAaa mort de cancer aux testicules arrosées de vin blanc et de calamar géant. Mais c'était avant de pouvoir manger l'étrange petite bête sanguinolente et complètement dépravée qui rampait sur un poil hirsute qui était dépourvue de tout attribut capilaire. C'est ainsi que le sanglier borgne, sourd, toujours lui ; décida de voler un petit morceau d'une grande fleur rouge carnivore qui le regarda avec dix grands yeux mauves aux pupilles aussi rouge que le cul d'un babouin malade et fatigué. Toutefois il hésita à se relever car il n'avait pas son dentier à la camomille avariée accroché à son cou. Mais, bien qu'il soit face à une jument en chaleur, le jeune sanglier ne se doutait point que la fleur allait le charmer avant de le manger rôti avec des oignons et une langue encore salivante. Mais un évenement imprévisible arriva quand il voulut la délester de quelques denrées rares. C'est qu'elle n'était pas très dégourdie cette petite musicienne poilue et dodue, elle partait avec un clochard démembré, récemment décédé, décomposé et complètement sourd. Une orange verte et bleue s'en allait tout simplement lui défoncer sa partie intime quand soudain sa mère arriva en trombe et elle se fit un plaisir de prendre une grosse banane orange toute mûre pour se faire plaisir. Le sanglier aveugle-muet et amputé d'une dent de lait goût menthe légèrement poivré qui symbolise la perte du graal part dès qu'il aura mangé une poire épicée, trempée dans du jus de pamplemousse rose. Ainsi lors du ragnarok annuel tenu à bout de bois dans la forêt noir et bien corsée d'antan. Lucioles fermentées qu'était la plus courtisane des empaffées

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Gepsy, téméraire et courageux
Gepsy, parano et suspicieux
Gepsy, fainéant et bienheureux


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 Sujet du message: Re: Le jeu sans fin [jeu]
MessagePosté: Sam 21 Aoû 2010 00:25 
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Une tomate rouge qui dansait sur mon frigo la Carioca avait mal aux fesses car sa conscience anthropophage avait tout anéanti autour de son cher séant.Mais dans cette situation elle barbotait, cœur agonisant, derrière dégoulinant, saucisson fumant, dans son jus dégoutant. Ensuite papy Sawy, sage de n'avoir jamais ri, d'une apocalypse au goût turquoise rouge sanguinolent frappa son gros bâton sur un avenant avorton qui, tranquillement, mangeait une banane bleue passablement mûre. Ô Eumusa, veuve avare, détestant inopinément papy Sawy, fait que son aura noire étincelante s'éteigne les jours de pluie et de tristesse qui emporte, oui, emporte avec lui sa bêtise. Rêve étrange! Sombre folie qu'est la pensée obscure mais profonde est la conscience animale qui nous élève à éteindre le paroxysme inné, indubitablement anticonstitutionnel. Mais selon le goût de la fraise anhydratée, il est absolument indispensable de rêver à ce bateau rose qui rebondit sur un mur ensoleillé. De plus, l'abus de citrouille confite ajouté à la putrescence sucrée salée de la bonne-vilaine est parfaitement aphrodisiaque. Et si par hasard l'otarie fumante reniflait son aspirateur comestible rose bonbon, alors le cauchemar serait paradoxal, mais si toutefois Sawy arrivait sur sa monture anorexique et unijambiste, reniflant les croutons moisis, psalmodiant une grand-mère borgne, bossue et mal vêtue, alors il deviendrait idéal. L'arrivée impromptue d'une vache volante provoque le déluge de pop-corn, salvateur et réparateur pour quiconque voudrait copuler avec là-dite vache pour donner naissance à Monsieur Crominet le superbe et surprenant Sindel modeste. Cette naissance miraculée forma un horrible rejeton vert et rachitique affublé d'un ceinturon magique trop grand pour sa grande soeur, pourtant si grosse et vraiment malodorante qu'elle rend insupportable la pizza-party. Le canard skieur alpin démentiel, pouvait faire cuire trois oeufs, huit steack et 1200g de crevettes avant même que la baignoire percée n'exécute un quintuple salto pour atterrir sur Chuck Norris. Ce dernier, occupé à construire des barrages thermiques en papier mâché, avec un pinceau rouge carnivore et cannibale envers l'impudente qu'il gratifie d'un coup de moelle épinière de caribou pour ramasser sa perruque. Soudain, le pet légendaire sortit avec la lime à ongles d'Abraham Lincoln qui était absent à l'enterrement de sa soeur dont la jambe était déjà fort putréfiée et miraculeusement bleue, signe divin de l'ablation, et se demandant l'heure trouva que le jus jaunâtre qui suintait devait transcender la paranoïa gangréneuse du petit canard. Je me présente j'appelle Henri j'voudrais bien un petit whisky, des raviolis et un bon lit dans lequel un succube se prélasse, des limaces et GM2 la mesquine batifolent, tous avec ardeur et fanatisme. Orgie frénétique et orgasmique qui sera délicieusement attirante avec un mouton grillé arrosé de Gasoil champagnisé et javellisé. Krasse,Raclette et Bigoudie !Patate douce, champagne et préservatif troué GLORIA !, GLORIA ! Que le seigneur soit et bénisse la tomate suscitée follement amoureuse de Patrick Sebastien, Don Juan, fidel gastro prenant une puissante dose de laxatifs périmés, alors une envie de Raclette à paillette, pirouetteeeuh, cacahuèteeeuh, et Krasse le Merveilleux bouffon qui pète, cacahuèteuuuuh, et Galion le rustre puant, et alcoolique. Kallus, Krasse, ces infâmes et putrides intellectuellement supérieurs, assassins reconnus, aux blattes ils ne feront jamais la Révolution car elles ne peuvent point atteindre le ciel tropical et majestueux.Alors que Phaïtos ce sacripan de super dieu voudrait que de la bière chaude coule à flot.Ce nectar aromatisé de liquide vaisselle exaltait le palet déchiré d'une huitre à moitié pucelle, faisant doucement chanter l'arôme délectable de l'affreux chanteur Irlandais ; nonobstant tous se révoltaient, se disputaient, s'écartelaient, mais aucun ne sentaient des pieds, ni du nez. En revanche, les pistaches asséchées par l'armée martienne, Docteur Raclette entreprit de manger du feu jouissif, pop-cornant malicieusement, tapinant gracieusement, jalousement délicat, curieusement odorant, maladivement attirant, bravant dangereusement, tricotant goulument, voilà pourquoi la tomate finit par vomir sur la tête soigneusement cassée d'un analphabète russe, péruvien-sénégalais, à moitié mal peigné et mal fanatiquement givrée dans du sel de Guérande gélifié pour s'auto-mutiler à l'aide d'un sécateur en plastique quasiment fondu et rouillé. Pendant que la limace auto-destructrice voulait se cloner pour pouvoir s'assoir sur ses pieds boudinés et tout sales en léchant tendrement et avec sagesse les ignobles doigts palmés du charpentier. C'est alors que Zorro et Astérix accompagnés de Richard le bouloum atrophié du postérieur se mirent à beugler et à snifer paradoxalement la maïzena, la farine, et les petits Minimoys tout jouflus pour farcir sans modération une dinde encore vivante et déplumée. Papy Sawy, vénérable mage du gruyère suisse avarié, intervint dans la construction de Dindomator, la machine coudre de sa mêre Chuck Norris Mozarella, fille supérieurement intelligente de Carlos, patron éméché des cactus bleu sympathique sans compote de grenade aromatisée à la cannelle. Dindomator cuisine des gnocchis aux champignons hallucinogènes et macéré dans du foin et diverses enzymes barbiturées d'anémone pour fêter très joyeusement l'heureux meurtre. La question princière arriva: Quel est l'imagination de la plus imaginaire rêveuse tomate rouge de l'enfer ? Tout simplement , ou pas, un petit apollon surgit derrière Luigi entamant un périlleux artifice pirouette, galipette, courbette, sornette et emplette ; suite à l'attaque simiesque,gigantesque et vidangée de ces petites allumettes couleur rouge cerise, Yuia se demande si Meno ne pourrait pas aller se faire tailler un chapeau dans la caverne de l'autre lutin crétin: aspirant assassin, magicien déchu, guerrier poltron, shaman à deux sous, Kal tricheur, Mathis félon mais charmant, Cromax arrogant mais intelligent.
C'est ainsi que malgré la bêtise humaine, le savoir divin ainsi que sancho panza, le petit gros compagnon du grand Don Quichotte, il existe un endroit où personne, jamais jamais, ne pourra s'acheter de la glace orque: Oudina Puka. Alias, Sopo le gros anthropophage, et Ticu le méchant aux dents pointues rouges saillantes, partirent pour une longue quête, dans le désert violet: C'est alors qu'arriva la grande et pulpeuse Sayara, guerrière sans cheveux, frappant de plein et large couteau jaune les deux étroites jambes de nos deux comparses. Ils furent surpris et quelque peu choqués de s'être fait coupés les jarrets aussi courts que la queue d'un gros cochon. Pourtant la lune était blonde et pleine, son contour généreux, sa face livide. Malgré tout, un chimpanzé ivre criait sa joie à qui voulait rire ou pleurer. Il hurlait comme un possédé sur un building couvert de fromage blanc et vert saupoudré de moisissures bleues et qui était mangé et dépouillé pour nager en dehors des champs. Et ces essais succincts ne lui apportait pas de grandes chances de s'échapper de la prison sombre et abandonner que lorsque que, lui, le petit primate né un jour de grand ménage alors que son dentier immaculé avait été présenté à deux proverbiales mégères, eut décrété que lors du souper du dernier des Mohicans, il pourrait jaillir soudainement un espèce _ une espèce _de gros pachiderme aveugle tout taché de sang.

Le brave sanglier borgne sourd et manchot avait appris que le coq amoureux transi avait perdu sa virilité en prenant son pied. Rumeur ou vérité ? C'est un hyperchleuasme que de rester laconique alors que les carottes de tante crament dans le chapeau du gobelin, habile marionnettiste dansant la Carioca sur du Micheal Jackson et sur le dos tout en faisant du couscous les yeux crevés par un hamster démoniaque qui avait la rage au coeur. C'est alors qu'un chien en rut décida de se rouler dans la fange du sanglier sub-cité qui rit comme une truie qui pisse. Pourtant le coq empaillé de GM9 avait pondu un petit soldat de bois d'une mocheté inégalée. Indubitablement, le chien errant et maladroit, castré par une brebis rageuse, n'aimait pas la viande de morgul des plaines. Néanmoins, le sanglier poursuivit sa route sans peine vers le chasseur embusqué qui s'empala de tout son long sur sa baleine en rut. Le chasseur lui tint le blabla pendant que le pilon du sanglier diminuait doucement tandis que la baleine avait du pue ruisselant partout tremblait la terre, le ciel, aliénant par tout le pouvoir conféré du grand manitou Ola'Bambou'lAAAaa mort de cancer aux testicules arrosées de vin blanc et de calamar géant. Mais c'était avant de pouvoir manger l'étrange petite bête sanguinolente et complètement dépravée qui rampait sur un poil hirsute qui était dépourvue de tout attribut capilaire. C'est ainsi que le sanglier borgne, sourd, toujours lui ; décida de voler un petit morceau d'une grande fleur rouge carnivore qui le regarda avec dix grands yeux mauves aux pupilles aussi rouge que le cul d'un babouin malade et fatigué. Toutefois il hésita à se relever car il n'avait pas son dentier à la camomille avariée accroché à son cou. Mais, bien qu'il soit face à une jument en chaleur, le jeune sanglier ne se doutait point que la fleur allait le charmer avant de le manger rôti avec des oignons et une langue encore salivante. Mais un évenement imprévisible arriva quand il voulut la délester de quelques denrées rares. C'est qu'elle n'était pas très dégourdie cette petite musicienne poilue et dodue, elle partait avec un clochard démembré, récemment décédé, décomposé et complètement sourd. Une orange verte et bleue s'en allait tout simplement lui défoncer sa partie intime quand soudain sa mère arriva en trombe et elle se fit un plaisir de prendre une grosse banane orange toute mûre pour se faire plaisir. Le sanglier aveugle-muet et amputé d'une dent de lait goût menthe légèrement poivré qui symbolise la perte du graal part dès qu'il aura mangé une poire épicée, trempée dans du jus de pamplemousse rose. Ainsi lors du ragnarok annuel tenu à bout de bois dans la forêt noir et bien corsée d'antan. Lucioles fermentées qu'était la plus courtisane des empaffées. L'Hyppocampéléphantocamelos

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 Sujet du message: Re: Le jeu sans fin [jeu]
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 Sujet du message: Re: Le jeu sans fin [jeu]
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