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 Sujet du message: Les habitations
MessagePosté: Lun 21 Fév 2011 19:49 
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Les habitations


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A Eniod, il n'y a presque pas de hautes maisons. Elles sont généralement de plein pied, sans escalier à l'intérieur, mais relativement petites de ce fait. Les habitants d'Eniod s'en accommodent très bien, vivant le plus souvent en extérieur.

Les maisons sont la plupart du temps blanches et le restent longtemps, avec un toit adapté à la mousson qui sévit parfois sur la région.

Un même quartier de maisonnettes est souvent habité par les membres d'une même famille, car ils aiment le plus souvent vivre ensemble.

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 Sujet du message: Re: Les habitations
MessagePosté: Dim 4 Sep 2011 23:33 
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==> Le port d'Eniod

Après avoir longuement réfléchi, pleuré, et dissimulé sur mes joues toutes les larmes de mon corps, je me décidais enfin à rentrer chez moi, le coeur lourd et la tête remplie de complications trop importantes et difficiles à comprendre. Oui je n'avais que 30ans, et pourtant trottaient déjà dans mon esprit des questions sans réponses, qui me perturbaient beaucoup.

Après avoir traversé quelques ruelles, j'arrivais au seuil de ma rue et voyait ma maman, l'air inquiet, qui m'attendait sur le devant de notre petite maison. Je couru vers elle, la serra très fort contre moi. Elle savait surement pourquoi, elle se doutait bien que la dernière lettre de papa me préoccupait et que je l'attendais sans avoir aucunes informations supplémentaires autres que ses quelques phrases pour me rassurer. Elle avait l'air anxieuse elle aussi, peut-être se posait-elle les même questions que moi ! Elle me regarda en souriant et me dit:

" Ma petite Avi ( c'est comme cela qu'elle me surnomme), as-tu appris de merveilleuses choses sur notre Monde, chez les Anciens ?"

"- Oui maman, mais c'est vrai que Moura va se déchaîner si papa fait quelque chose de mal ?"

"-Avinae, ton papa ne ferai jamais de mal et tu le sais, Moura ne déploie sa colère que s'il elle en a besoin."

"- Oui tu as raison, je suis certaine que papa va vite rentrer avec pleins de belle choses à nous montrer, comme toujours ! En plus, il m’emmènera peut-être avec lui comme il me l'a dit dans sa dernière lettre ! N'est-ce pas maman ?!"


L'air attristé, maman me sourit et dit:

" Oui Avi... J'en suis certaine."

Nous échangions alors un regard d'attendrissement et maman me fit rentrer dans la maison, tout en me suivant. Je savais que maman était là pour me protéger et cela me rassurait beaucoup dans cette histoire. Elle veillait sur moi.


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 Sujet du message: Re: Les habitations
MessagePosté: Sam 23 Mar 2013 18:38 
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La nuit venait de tomber et les rues d'Eniod se retrouvaient plongées dans l'obscurité. La majorité de la populace dormaient déjà et un lourd silence pesait sur la ville. En regardant attentivement, un promeneur nocturne aurait pu distinguer une ombre mouvante sur les toits. Effectivement, une silhouette se déplaçait avec aisance d'une habitation à l'autre. Soudain, l'immobilité remplaça le mouvement.
Ciryon, car il s'agissait de lui, se trouvait maintenant sur une maison comme tant d'autres. Mais, il ne s'était pas arrêté par hasard. Il savait que cette bâtisse servait de résidence à un riche marchant d'Eniod. Il savait aussi que le commerçant laissait la fenêtre du couloir entre-ouverte pour aérer son domicile. Suspendu à l'égout de la toiture, le voleur pouvait facilement atteindre l'ouverture et se faufiler dedans.

Une fois à l'intérieur, l'earion c'était arrêté pour analyser la situation. Le couloir semblait interminable dans l'obscurité. Les murs revêtaient beaucoup de tableaux, des portraits pour la plus part. Cela pourrait constituer une grande richesse mais, encore fallait il trouver un acheteur. N'ayant pas de contact en ville, Ciryon décida de continuer son exploration. Marchant silencieusement, la quiétude des lieux n'était brisé que par les ronflements provenant de la chambre du fond. Ce dirigeant à l'opposé de celle-ci, le cambrioleur allait bientôt atteindre le salon.

Arrivé dans la salle à manger, le voleur remarqua qu'elle était assez modeste comparé au reste de la maison. Il n'y avait que le strict nécessaire. Une grande table en bois massif occupait le centre de la pièce, prête à accueillir n'importe quel gourmet. À gauche de celle-ci se trouvait une armoire, en bois elle aussi, où l'on rangeait les couverts. Mais ce qui attira le regard de l'elfe bleu, c'était le petit coffre se trouvant au fond du salon. D'une forme rectangulaire, il pourrait sembler banal si l'on ne prêtait pas attention à ces gravures. Un artiste avait peint dessus une représentation de la région d'Eniod. La base du coffre représentait la mer. Si l'on continuait son observation, le paysage aquatique laissait place à de grandes pleines où l'on distinguait plusieurs mines d'or. Mais, se n'était pas pour sa beauté que Ciryon s'intéressait à lui.

Son crochet en main, le voleur allait commencer son travail. D'un geste habille, il glissa lentement le rossignol au fond de la serrure. Une fois cella de fait, le travail consistait à retirer doucement le crochet tout en effectuant une légère pression sur les goupilles. Habitué à ce genre boulot, l'earion savait rester calme pour contrôler ces gestes. Mais, se n'était pas pour autant une partie de plaisir. De ça courte expérience, il n'était tombé uniquement sur des serrures basiques. Il ne serrait vraiment pas quoi faire si celle-ci demandait une plus grande connaissance en la matière pour être ouverte.

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 Sujet du message: Re: Les habitations
MessagePosté: Dim 24 Mar 2013 14:19 
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Intervention GMique pour Ciryon



Jet de dés : 78 réussite


La serrure s'ouvre docilement sous le crochet du voleur.
Dans le coffre se trouvent une trentaine de yus et cinq petites pierres précieuses.


Gains ajoutés à la fiche

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 Sujet du message: Re: Les habitations
MessagePosté: Mar 26 Mar 2013 13:23 
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Heureusement pour notre cambrioleur, le coffre ressemblait à tout ceux qu'il avait déjà vu. Sa facilité d'ouverture arrangeait le voleur. Il affichait d'ailleurs un large sourire quand il découvrit son butin. Une trentaine de pièces d'or ainsi que cinq petites pierres précieuses. Avec une telle trouvaille, l'on peut dire qu'il commençait bien sa carrière de bandit à Eniod.
Une fois son butin en poche, Ciryon avait décidé qu'il fallait partir d'ici avant de se faire repérer. Prendre des risques inutilement relevait de l'idiotisme pur et dur.
Le chemin du retour c'était déroulé sans encombres. À un moment il y a bien eu le plancher qui grinça sous un mauvais pas de l'elfe bleu mais, cela n'eu aucune conséquence. Bien que sur le moment une véritable pièce de théâtre se déroula dans sa tête. Il se voyait déjà repéré par le marchand, devant fuir la ville avec plusieurs miliciens aux trousses.

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 Sujet du message: Re: Les habitations
MessagePosté: Mar 16 Juil 2013 15:13 
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Une porte et deux fenêtres donnent sur la cour. C'est une sorte de petit jardin, modeste, mais offrant un peu d'ombre et de fraîcheur. Au centre, un bassin humidifie la terre, et de folles herbes s'égaillent tout autour. Profitant de l'ombre du bâtiment et de la présence d'eau, un petit parterre de menthe pousse dans un coin. La cour est entourée par des arcades, et c'est à l'ombre de celles-ci que se trouvent les entrées des habitations. Elles sont toutes à peu près identique : deux pièces dont une chambre, petite mais jolie, avec des murs bien blanc, et une cave. Les toits sont en schistes, inclinés vers l'extérieur.

La maison se trouve non loin du port. Elle faisait partie d'une série d'habitation construite il y a quelques décennies pour une famille locale, mais celle-ci s'est enrichie, et habite désormais dans des demeures plus cossues. Leurs anciennes maisons furent laissées un temps à l'abandon, puis un jeune Eniodais les racheta à bas prix, et elles servent depuis à héberger de nouveaux arrivants et quelques jeunes couples peu aisés. C'est également une alternative viable aux auberges pour les voyageurs souhaitant rester un certain temps à Eniod.



Au moment de mon arrivée en ville, le jeune Eniodais, Jasam Mercus, a déjà un certain âge, et une certaine richesse. Mais, si ses affaires ont fructifié et se sont diversifiées, les maisons sont toujours là, et la pension reste raisonnable. Jasam a également une bonne réputation, et on m'orienta naturellement vers lui quand je me mis à la recherche d'un endroit où s'abriter. Je n'ai bien évidement pas traité avec Jasam lui-même, mais avec un subalterne peu inquisiteur, et à peine une demi-journée après être arrivés à Eniod, je pus m'installer dans ma nouvelle demeure avec Lisia et ma fille.

Avant cela, il a fallu passer les gardes de la ville, qui ont vu d'un mauvais oeil qu'un Sang Pourpre souhaite pénétrer librement dans leur ville. Il est vrai que je n'ai peut-être pas été très diplomate. Et puis, on peut difficilement croire que ma hache est celle d'un bûcheron... Ils ont finis par me laisser passer, mais pas avant que je n'ais accepté de leur confier mon arme. En temps normal, je pense que je n'aurais jamais accepté. Mais là, le ventre vide, et las du voyage, j'ai préféré céder.

Puis il a fallu trouver en urgence de la nourriture et de l'eau, car nous étions tout trois affamés et épuisés. Après s'être reposés un temps à la terrasse d'une auberge, nous sommes partis à la recherche d'un marchand peu scrupuleux prêt à racheter une part du butin que j'avais pu amener. Ce n'est qu'après que nous avons pu nous inquiéter d'un abris, si possible plus durable qu'une chambre dans une auberge.


Pendant tout ce temps, nous n'avons pas parlé. En fait, cela fait plusieurs jours que le silence règne entre nous... La conversation n'aide pas à la survie. Elle s'occupait de l'enfant, moi du bateau.
Ce soir encore, pas une parole. Mais je m'en moque éperdument, et elle aussi, je suppose. J'apprécie juste la douceur du lit, sous moi, et la satisfaction d'avoir un toit. Un instant de repos, enfin... Je me redresse un instant, jette un coup d'oeil à la pièce. C'est vide, dégarni ; il y a juste le minimum vital. Mais, comparé au confort d'un bateau, c'est largement suffisant.
Sur l'autre lit, ma fille dort déjà au côté de sa mère. Le soleil vient à peine de disparaître derrière l'horizon, mais je sens que le sommeil me guette. Pour la première fois depuis trop longtemps, je cède à ma somnolence, et m'endors profondément.




Un cri. La lumière de la lune pénètre par la fenêtre ; quelques formes se détachent, masses indistinctes et immobiles.

Je me réveille en sursaut, cherche mon arme, à tâtons, repoussant le drap, me demandant où je suis. Quelques secondes passent, puis je reprend mes esprits, et la panique se dissipe en un instant. Mon arme, les gardes l'ont confisqué ; mais ce n'est que ma fille qui pleure. Lisia est déjà en train de lui donner le sein. Il n'y a aucun danger... Je me retourne, tente de me rendormir. Quelle heure peut-il bien être ? Cela fait un bout de temps que je n'ai pu faire une vraie nuit. Il y a eut les veilles pour surveiller le camp, là-bas, sur l'île. Puis sur le bateau, pour s'assurer d'arriver à bon port. Le lit m'irrite, et j'ai l'impression de sentir le regard de Lisia. Et, en effet, quand je me retourne à nouveau, il me semble apercevoir un air réprobateur sur son visage avant qu'elle ne détourne les yeux.

Je sens une bouffée de colère naître dans mon estomac. Mon regard glisse jusqu'à ma fille, mais la vision de l'enfant ne me calme pas, bien au contraire. Elle me rappelle les derniers jours, la fuite, l'épuisement, et... l'incompréhension. Mon incompréhension, face à mes propres décisions. Pourquoi ? Pourquoi la sauver ? Pourquoi n'ai-je pas pu suivre les lois de mon peuple ? L'aigreur grandit, m'envahit. Mais une pudeur inconnue me retient : je ne veux pas exprimer ma colère devant eux. Serrant les dents, sans un mot, je me lève brusquement, récupère mes habits, puis je quitte la maison, fuyant le regard de Lisia.


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 Sujet du message: Re: Les habitations
MessagePosté: Lun 22 Juil 2013 15:25 
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Je finis par retrouver ma maison, après avoir tourné en rond un certain temps. Les habitations se ressemblent toutes, à mes yeux... Heureusement que le port n'est pas bien loin.

Les bâtiments étouffent le bruit de la ville, et la cour est silencieuse. Les habitants doivent encore dormir, profitant des restes de la fraîcheur nocturne. Je profite de l'ombre des arcades, compte les portes. Je m'arrête devant la troisième, introduit ma clé, ouvre doucement. Un instant, je me demande pourquoi je prends tant de précaution. Mais pourquoi pas ? Quel intérêt de réveiller ma fille et l'entendre pleurer, encore ?

Les pièces baignent dans une douce obscurité matinale. Les lourds rideaux arrêtent encore la chaleur, et seuls quelques rayons de soleil pénètrent dans la chambre. Lisia et ma fille dorment paisiblement, sur leur lit. J'observe pendant un moment leurs sommeil, me satisfaisant de voir leurs poitrines se soulever doucement, d'entendre le doux bruit de leurs expirations. Si seulement elles pouvaient toujours être ainsi...

Lentement, la tâche se soleil glisse sur le sol. Un frisson me parcourt soudain. Je n'ai pas le temps pour ces bêtises. Mon butin ne va durer éternellement, et ce n'est pas Lisia qui va trouver de l'argent pour nourrir ma fille. Le plus silencieusement possible, je dépose une partie des yus qu'il me reste près du lit, puis, sans plus attendre, je rejoins la chaleur des rues.


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 Sujet du message: Re: Les habitations
MessagePosté: Mar 30 Juil 2013 10:12 
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Après avoir tourné en rond un certain temps, je finis par arriver devant ce qui doit être la boutique des Grenans. Enfin, la boutique... Je ne sais pas trop comment l'appeler : il ne vendent rien, ils transportent. En tout cas, c'est ici qu'on m'a dit de m'adresser si je voulais me faire recruter. C'est une petite maison, à un étage, modeste. Il semble peu crédible qu'ils gardent l'or ici ; cet endroit ne doit servir qu'a trier les mercenaires qui se présentent.

Je passe la porte, et découvre une salle austère, sombre. Un jeune homme, assis dans un fauteuil près de la porte, se lève quand j'entre, et me salue d'un vague signe de tête. Il a un air maladif : le teint pale, maigre, lent. Sans un mot, il contourne le comptoir, puis, d'un ton peu enjoué et traînant, me demande :

" Oui ? C'est pour quoi ?

- Je suis à la recherche d'un peu d'argent. Je souhaiterai faire partie de l'escorte du prochain convoi.

- Vraiment ? Un Sang Pourpre, hein... Je ne suis pas sûr que ce soit une bonne idée.

La lassitude m'envahit. Je comprends pourquoi il ne me font pas confiance, bien sûr. Moi-même, je ne suis pas bien sûr de pourquoi je fais tout ça. Mais devoir se justifier, à chaque pas, parce que mon origine est marqué sur ma peau... Cela semble injuste.

- Que risquez-vous ? Donnez-moi ma récompense à l'arrivée, et le problème est réglé. Si je voulais voler votre or, je tendrais une embuscade quelque part sur le chemin, je ne m'engagerai pas dans l'escorte...

- Mouais... Vous avez un cheval ?

- Oui, vous n'avez même pas besoin de m'en fournir un. Alors ?

- Hum... Très bien. Soyez deux heures après l'aube devant les portes de la ville. Je préviendrais la personne en charge du convoi. Mais ne vous étonnez pas si il vous garde à l'oeil.

- Cela me convient. Au revoir.


Sans attendre, je quitte la boutique, et retrouve avec plaisir le soleil brûlant des rues. La présence de cet être morne me faisait froid dans le dos. J'ai connu, parmi mon peuple, des guerriers terrifiants qui pouvaient mettre mal à l'aise d'un simple regard ; mais c'était leur force qui inspirait la peur. Lui... Comment quelqu'un d'aussi visiblement faible a-t-il pu survivre jusque là ? C'est contre-nature... Un frisson me parcoure le dos, arrêtant mes pensées.

Le soleil ne doit pas être loin de son zénith ; d'ailleurs, la faim me chatouille l'estomac. Sans hésiter, je prends la direction de ma maison.

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 Sujet du message: Re: Les habitations
MessagePosté: Mar 30 Juil 2013 12:12 
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C'est avec un sourire aux lèvres que j'arrive chez moi. Il fait chaud, j'ai le ventre plein ; un petit détour par le port m'a permis d'acquérir à un prix modeste une bonne portion de friture sortant de l'huile. Et dans une échoppe un peu plus loin, j'ai récupéré quelques pêches bien mûres. La situation est toujours étrange, mais je sais ce que je dois faire. La matinée a été bonne.


J'ouvre la porte, dépose les fruits sur la table, en choisit un, et rentre dans la chambre. Là, je découvre Lisia, berçant doucement ma fille. Elle a l'air fatigué, mais aussi... surprise ? Elle me fixe, sans réagir. Sans me départir de ma bonne humeur, je la salue :

" Belle journée, n'est-ce pas ? J'ai ramené des pêches, si tu en veux une... "

Elle ne répond pas, se contentant de bercer un peu plus fort l'enfant. Il est vrai qu'on a jamais réellement parlé, depuis la fuite. Même avant, en fait. Il faut bien dire que l'on a pas vraiment eut le temps. Cette pensée ramène mon sourire : je suis peut-être coincé à terre, dans cette ville, mais j'ai une maison, et je suis désormais milicien. Pas sûr qu'ils me fassent vraiment confiance, mais on pourrait imaginer pire...
Lisia couche l'enfant, l'installant confortablement contre l'oreiller. Il semble protester un instant, mais une caresse de sa mère le calme, et elle se retourne vers moi. Elle semble furieuse ; je ne l'ai jamais vu ainsi. Je fais instinctivement un pas en arrière ; pourtant, c'est sans élever la voix qu'elle s'adresse à moi :

" A quoi tu joues ? Tu disparaît, en laissant juste quelques piécette ; puis tu reviens, comme si de rien n'était ! Je pensais que tu t'étais enfui !

Le ton est blessant ; mais c'est plus l'incohérence de la scène qui me choque. Lisia, en colère, contre moi ? A-t-elle oublié grâce à qui elle est ici ?

- Je t'ai laissé de quoi te nourrir, à moins que tu comptes gagner toi-même ta pitance ! Et, non, je n'ai pas fui. J'ai juste trouvé un moyen de gagner de l'argent. Qui nourrira ma fille, sinon ?

- Ta fille ?

Sa voix gagne en puissance. Elle se rapproche de moi, semblant oublier notre différence de force.

- Ta fille, hein ? Ce n'est pas ta fille. Tu n'es pas son père, tu peux à peine prétendre être son géniteur. Tu ne l'aimes pas, ne t'en occupe pas. Tu n'as aucun droit pour l'appeler ainsi !

- Et qui l'a sauvé, alors ? Qui l'a amené jusqu'ici, qui a été capable de naviguer jour et nuit pour elle ?

- Ah ! Félicitation, tu as réussi à la sauver de ton propre peuple. Quelle bonté, de n'avoir pas assassiner ta propre fille. Pourquoi as-tu seulement fait ça ?

La question est me transperce mieux qu'une flèche. Là, à cette instant, une réponse s'impose : parce que j'ai été trop lâche pour la tuer. Mais jamais je ne l'admettrais.

- C'est ainsi que tu remercies ton sauveur ? Mes raisons n'ont pas d'importance. Elle est en vie, et toi aussi.

- Mon sauveur ? Toi et les tiens, vous avez tué ma famille, m'avez gardé prisonnière... Tu as oublié ce que tu m'as fait, Asgeir ? Tu crois vraiment que je te vois comme mon sauveur ? Tu es un barbare, rien de plus !

Les pleurs de ma fille l'interrompe. Pourtant, c'est sans douceur qu'elle la reprend dans ses bras, et la berce.

- C'est les lois de la guerre. Les lois de mon peuple. Mais si tu es ici, c'est grâce à moi ; et à moins que tu ne veuilles te retrouver seule et à la rue, je te conseille d'accepter cela. J'ai décidé de protéger ma fille ; si tu t'occupes d'elle, je te protégerai aussi. Ça devrait te suffire.

- Encore cela, hein ? Ta fille ? Quoi que tu fasse, elle ne le sera jamais. Ce n'est pas grâce à l'argent que l'on devient un père. Tu ne connais même pas son nom ! Tu ne l'as jamais demandé. Tu n'y a même pas pensé, j'en suis sûre.

Son nom ? Comment ais-je pu oublier cela ! Un nom, c'est ce qui lie un enfant à sa destinée. Un nom bien choisi inspire la crainte chez l'ennemi, ou le courage parmi l'équipage. Comment ais-je pu oublier ? Elle a peut-être raison...

- Je devais m'assurer de notre survie. Je n'avais pas le temps pour ce genre de frivolité.

Malgré tout, mon ton est hésitant. Je déglutis difficilement.

- C-Comment l'as-tu appelé ?

- Lila.

- Ce n'est pas un nom Sang Pourpre, ça.

- Peut-être parce ton peuple préfère tuer les filles que de les nommer ? Si tu voulais un autre nom, il aurait fallu y penser avant. Et ne te crois pas tout puissant. Là-bas, sur votre misérable île, je ne pouvais peut-être pas fuir ; mais Eniod est une ville. Que crois-tu qu'il arrivera si je vais voir la milice, et leur explique que tu as tué toute ma famille ?

- S'ils t'écoutent, et s'ils m'attrapent, je me retrouverai pendu au bout d'une corde. Et toi, tu sera seule avec une fille de quelques semaines. Combien de temps crois-tu pouvoir survivre alors ? Tu peux m'en vouloir si ça te chante ; mais occupes-toi de Lila, et ne fais rien de stupide.

Elle semble vouloir répliquer, mais se retourne finalement rageusement, se rassoit sur son lit, et détournes le regard. Elle est toujours en colère, c'est évident ; mais elle semble accepter mes arguments.

Ma bonne humeur s'est envolé. Qu'est-ce qui lui a pris ? Elle voudrait peut-être aller se battre à ma place ? Ridicule. Dès que j'aurais assez d'argent, je pourrais peut-être chercher une autre femme qui pourrait s'occuper de Lila...

Lila.
C'est un joli nom, finalement. Il fait un peu trop continental, peut-être. Lila Korin... Mon regard dérive vers Lisia. Non, je ne l'abandonnerai pas non plus. Il faudra qu'elle apprenne sa place ; mais qu'elle s'oppose à moi est un signe de force. Je ne peux pas l'en blâmer. Elle a peur, voilà tout. Mais elle n'a pas le choix, elle devra s'habituer à cette nouvelle vie.

En silence, je repasse dans l'autre pièce, m'installe sur une chaise. Mentalement, je fais la liste de ce qu'il me reste à faire : acheter quelques provisions, aiguiser ma hache, vérifier mon armure...
Rien de bien long, mais il est inutile de traîner. Mordant finalement dans ma pêche, je me mets au travail. Demain, je devrais faire mes preuves pendant ma mission...

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 Sujet du message: Re: Les habitations
MessagePosté: Ven 6 Jan 2017 14:30 
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Chapitre I : partie 1
Un jeune homme se leva de son lit un bon matin. Quoiqu'épuisé après avoir passé une nuit éprouvante il avait le sourire aux lèvres car aujourd’hui était un jour spécial pour lui. Son nom Jake, c’est un humain et aujourd’hui c’est le jour de sa naissance. IL sortit de sa chambre et prit seau d’eau pour se laver le visage et reprendre ses esprits. IL se dirigea vers la salle à manger où surprise son père l’attendait, il portait déjà son armure, c’était un homme grand et de forte carrure, aux yeux bleus, et avec des cheveux châtains son nom est Iro, tout le contraire de Jake taille fine, moyennement grand, ses yeux étaient noirs, et ses cheveux étaient aussi noirs.

Bonne anniversaire !!! Mon fils, dit son père avec un grand sourire, prépare toi. On va sortir ajouta-il avec un ton énigmatique.

Quoi ? Déjà moi je contais retourner au lit pour me reposer.

Jake n’y croyait pas son père être matinale et en plus sortir de la maison, bien sûre ça lui arrivait quand il était appelé en mission, car il était un militaire, un guerrier qui plus est, de ce simple fait il partait souvent pour protéger des points stratégique ou pour une garde ou des contres offensives pour la ville pour le reste la milice s’en chargeait, mais là il n’y avait rien.

Puisque demain tu vas partir, j’aimerais t’offrir un cadeau.

Mais on n’a pas besoin de sortir pour offrir un cadeau à quelqu’un et en plus je veux d’abord voir Maman et Ina

Avait renchérie Jake pour lui-même, car il voulait rester chez lui pour se reposer. Mais son père était une forte tête et dit :

Oui, c’est vraie sauf si le cadeau est dehors ou dépend de toi plutôt. Oublie ta mère et ta sœur un moment et sortons entre homme, et en plus elles dorment encore alors laissons-les se reposer, dit-il encore avec un sourire.

Celle-là je l’ai déjà entendu, dit Jake, et pourquoi moi je n’ai pas le droit de me reposer ? C’est mon anniversaire quand même.

Une fois son père l’avait amenée dans une de ses sorties entre homme c’était dans la taverne du Dragonnet d’or, son père y commanda des boissons alcoolisé une grande quantité d’ailleurs, Jake ne s’en était pas remis et cette escapade le dégoutta à vie de l’alcool même s’il en buvait autre fois.

Ne t’inquiète pas ce n’est pas pour aller à la taverne cette fois. C’est en rapport avec ce que tu comptes faire de ta vie ton avenir pour faire court.

Quoi ? Je ne comprends pas de quoi tu veux parler.

Aller met des vêtements et pas cette robe de nuit, ce n’est pas vus d’un bon œil de voir un soldat et un garçon en robe de chambre se promener le matin dans les ruelles même si ils sont père et fils.

Jake ne comprenais pas, quel cadeau pouvais être en rapport avec son avenir et surtout pourquoi sortir tôt le matin. Dans sa tête il se dit :

(Ça pouvait pas attendre l’après-midi !! moi je suis crevé. Mais bon s’il faut y aller, faut y aller.)

Après ce débat intérieur, Jake pris la résolution de sortir et répondit :

C’est bon. Tu as gagné, on y va ; attend moi dehors je vais vite me changer.

Son père sortit tandis que Jake alla se changer puis il s’approcha de la porte de sortie et se retourna pour savoir si sa mère ou sa sœur était réveillée. En écoutant attentivement il entendus de léger ronflements.

(Pas de doute elles dorment toutes. J’entends les petits ronflements de ma sœur et celui de ma mère.)

Pensa-t-il avant de franchir la porte un peu déçu de ne pas pouvoir les voir le jour de son
aniversaire.

=>ruelle d'Eniod 1

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Si tu veux, tu peux.

Thême de Jake


Dernière édition par Jake strange le Jeu 8 Nov 2018 16:56, édité 3 fois.

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 Sujet du message: Re: Les habitations
MessagePosté: Ven 6 Jan 2017 15:01 
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I-partie 3

En entrant, Iro le père de Jake dit :

Comment cela ce fait que tu as pu ouvrir la porte juste après que j’ai frappé.

Jake fut étonné en se retournant et en regardant vers la porte qui était déjà fermé sans qu’il ne l’ait pas remarqué que cette porte se soit fermée, et encore plus étonnant il ne savait pas même qu’il ne voyait pas avec qui parlait son père.


Je vous ai vus venir vers ma direction par ma fenêtre alors je suis descendus pour vous accueillir.

Jake fut étonné en regardant vers la direction d’où la voix venait, il vit un vieil homme. IL était assez vieux qui sait quel âge mais il avait un teint claire et des vêtements propres mais surtout ses yeux était gris et recelait une grande sagesse tout l’inverse de sa maison qui pourtant vus de dehors était assez laids mais à l’intérieur tout était magnifique des meubles sculptés avec un bois pure et claire jusqu’aux plafonds ayant une forme parfaitement géométrique et fait d’un magnifique bois foncés. Le vieil homme dit :

Alors c’est lui ton fils, il te ressemble.

Jake fut étonné c’était la première fois qu’on lui disait ça mais ne vit aucune ressemblance Jake allait lui poser une question quand l’homme dit :


Bon anniversaire à toi Jake vient je vais te montrer quelque chose.

Et l’homme marcha vers une chambre contenant un lit et une table avec une chaise et l'homme pris une bougie allumée qui était posé sur la table puis à l’étonnement de Jake ouvrit une trappe qui menait à une cave à l'aide d'un escalier, l'homme descendis. Jake y aussi entra suivit de son père silencieux. Arriver en bas le vieil homme alluma des bougies et quel fut la surprise de Jake en voyant que cette cave contenait des armes de toutes sortes même son père fut émerveillé à la vus de ses armes, il fallait l’avoué seul les gens de guerre pouvait voir la beauté qu’elles émanaient. IL y avait des arcs de différentes tailles et styles, des haches aussi grande que tranchante, des lances de différente forme, mais ce qui attiras le plus Jake c’était les épées, aucune ne se ressemblait puis son regard s’arrêta sur une lame son fourreau était noire comme la nuit et sa garde était tout aussi noire on aurait dit un que le fourreau et sa garde était unis mais ce qui l’attira le plus s’était sa forme gracieuse. IL s’approcha de l’arme et la pris. Elle était légère comme une plume et bien différente des épées qu’il connaissait. Le vieil homme sourit et dit :


Au bout du compte tu es différent de ton père. Lui il aurait choisi autre chose.

Quoi je peux le garder


Bien sûr, puisque tu es ici pour ça ? Qu’est-ce que tu attends essaie le ?

Excitée et tremblant Jake mis l’arme en position vertical et la dégaina comme on dégaine toutes les épées. La Lame était magnifique, quoi qu’un peu courbé, son fer avait été poli à tel point qu’elle brillait. Le vieil homme ria et dit :


C’est vraiment drôle comme tu l’as dégainée comme ton père. Donne-le-moi je te prie.

Jake lui donna l’arme après l’avoir rengainer. Le vieil homme saisit l’arme et en le positionnant prêt de son bassin et mettant une un pouce prêt de sa garde dit :


Ceci est un katana,. Elle est un peu différentte des épée car elle est moin épaise et résistante mais plus maniable.

Le vieil homme prit la garde avec sa main droite et dégaina son épée avec une vitesse hallucinante tel une attaque éclaire pour couper une bougie qui ne bougea pas d’un pousse ensuite il rengaina le katana avec une grande adresse en le décrivant un cercle pour positionner le katana par rapport à son fourreau et le rengaina. Puis il le rendus à Jake après cette démonstration et se tourna vers la bougie qu’il avait apparemment manquée pour prendre la bougie. Jake fut étonné de constater que la bougie se sépara en 2 parties égales. Le vieil homme dit :


On raconte que de grands guerriers pouvaient vaincre ses ennemies en dégainant leur katana une seule fois. Je m’appelle Joram, j’ai été le maitre de ton père cette épée a été le mien maintenant je te la donne.

Mais si cette arme vous appartient je ne peux pas la prendre

En ouvrant une boite posée prêt d’une table il offrit de petits rubans blancs à Jake en disant :


A chaque fois que tu auras livré un combat s’il te plait attache un ruban blanc comme j’en avais l’habitude sur la garde du katana pour lui donner de la valeur et prouvant ton adresse. Si tu pouvais faire ça je te serais reconnaissant c’est tout ce que je te demande en échange de cette arme.

Mais pourquoi il n’y a plus de ruban alors ?

Le vieil homme les invita à remonter et une fois haut Joram dit :


Aller vous assoir prêt de la table là-bas je vais nous servir de quoi manger, je présume que vous n’avez pas encore mangés. 

Nos deux hommes se rendirent compte qu’ils n’avaient pas encore mangé et hochèrent la tête. Aussitôt le vieil homme alla dans sa cuisine et ramena un délicieux poulet. Et durant le repas, ils discutèrent de leurs anciennes vies où Joram le vieil homme jeune en son époque enseignait à son père l’art de l’épée. Ils discutèrent si longtemps que l’après-midi viens et ils déjeunèrent encore dans la maison de Joram. Une fois le déjeuner terminés Jake et son père prirent congés du vieil homme. Avant de franchir la porte Jake demanda :

Pardonner moi mais, pourquoi il n’y a plus de ruban sur le katana ?

Le vieil homme sourit et dit :


Parce que j’ai trouvé ma voie et atteint mon but alors j’ai nettoyé mes fautes dit-il énigmatiquement en regardant le fourreau. Bonne chance jeune guerrier la route sera longue.

Et le vieil homme ferma sa porte.

=>ruelle d'eniod2

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 Sujet du message: Re: Les habitations
MessagePosté: Ven 10 Fév 2017 11:49 
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I-Partie5
Jake se dirigea vers sa chambre posa son katana sur son lit puis il attacha un ruban sur son katana marquant son premier combat et il s'allongea sur son lit car la journée avait été longue mais reussi à s'extirper du lit pour aller dans la salle à manger et où surprise son père, sa mère et sa soeur l'avait attendus pour lui souhaiter un bon anniversaire, après son père lui donna un ceinturon pour y mettre son épée, sa mère lui donna une cape noir qu'elle avait acheter à un elfe de passage, et sa soeur lui donna un bracelet de coquillage qu'elle avait faite. Ensuite, ils dinèrent puis chacun alla se coucher.

Le lendemain, Jake se leva à l'aube pour se changer, mettre son ceinturon et son épée, puis il prit son sac. En entrant dans la salle à manger il vit un tas de nouriture sur la table et une soupe au légume à côté. Jake souris, sa mère avait pensée à tout. IL mangea la soupe puis rangea les vivres dans son sac. IL se dirigea vers la porte de sortie quand une voix dit dérrière son dos :

Soit prudent.

Jake ne se retourna pas, il savait que c'était sa mère, les autres n'était pas des lève tôt. IL se contenta de lever la main comme pour dire aurevoir et dit :

Je vous aime tous.

Jake ne pouvais rien dire d'autre, il ne savait même pas si il reviendrais un jour.

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