"Le port, s'il vous plait ?"

L'homme qui, le regard morne, était accoudé comme de coutume sur le rebord de sa fenêtre délavée par les violents orages qui secouaient souvent la petite ville d'Eniod, baissa ses yeux gris vers la paire d'enfants qui se trouvait là - et plus particulièrement sur celui qui l'avait ainsi interrogé, c'était à dire, le plus âgé des deux. La relation entre les deux gamins étaient indubitables et leur tendre âge, à tous les deux, tout autant. L'adulte, d'un doigt crasseux, retira de sa bouche crénelée une pipe sale. Les deux bords de ses lèvres gercées par l'air marin qui fouettait tout et tous, s'écartèrent et il accorda une réponse au garçonnet, le bout noirci de sa pipe illustrant ses propos. L'enfant remercia avec un imperceptible signe de tête et sa main resserra la courroie de son sac qu'il portait transversalement sur sa poitrine, puis il s'en fut, tirant gentiment son frère par la main. L'homme les suivit un instant du regard avant de se replonger dans l'ennui triste de sa vie.

"Lennen, arrête de trainer s'il te plait !"

La voix de Maelgion était encore fraîche et candide, car il n'avait toujours pas mué - et son petit frère d'autant moins. Il avait un très grand sac, gonflé des fourrures qu'ils étaient venus vendre ici, dans ce grand port, ville la plus importante la plus proche de leur bienheureux village et arborait d'énormes bottes de cuir, faites sur mesure par leur mère pour couvrir rapidement la distance qui leur était demandée et sans risquer de se blesser. Secrètement, Maelgion trouvait aussi qu'elles lui rajoutaient quelques centimètres et un air mature. Après tout, la ville, c'était aussi là où on trouvait des filles...

(Non, non ! Je dois surveiller Lennen !)

"Tu sais qu'on a six heures pour le retour et mère n'aime pas qu'on voyage la nuit, alors il faut se dépêcher de tout vendre !"

Il avait dit cela à voix haute, mais, réellement, plus pour lui que pour son petit frère qui était un ange. Lui, au contraire, repensait à la fille du poissonnier qu'il avait vu la dernière fois qu'ils étaient venus à la ville. Il l'avait trouvée très jolie avec ses deux nattes blondes et sa petite robe bleue que recouvrait le tablier blanc en coton pour le protéger. Bien sûr, il n'avait pas pu aller lui parler. Aujourd'hui, peut-être la chance lui sourirait-elle ? Le coeur gonflait d'espoir, il se taillait un chemin dans les rues d'Eniod, suivant les indications de l'homme à la pipe en veillant toutefois à rester dans les artères principales, les ruelles n'ayant pas la réputation d'être tout à fait fiables...

Tenant la main de son grand-frère, Lenen regardait un peu autour de lui, ne faisant pas vraiment attention à l'échange entre son grand-frère et l'homme inconnu. Il regardait avec une certaine curiosité ce qui se passait autour de lui; les hommes habillés avec de drôles de vêtements, les commerçants qui s'en allaient à certaines affaires... Il rejeta par ailleurs un timide coup d'oeil vers l'homme à la pipe. Il s'empêcha de frissonner.

(Si Maelgion n'était pas là, j'aurais certainement préféré continuer mon chemin pour trouver quelqu'un d'autre ...)

Toujours aussi curieux, il observait la pipe de l'homme, se demandant ce qui pouvait le pousser à devoir avoir ça dans la bouche, et faisant attention à ne pas paraître trop impoli en le fixant. Dès que les enfants eurent leur chemin, aussitôt, son grand-frère commença à doucement le tirer par la main, auquel Lenen ne s'y opposa bien évidemment pas, suivant gentiment son ainé, bien que gêné d'avoir à être tiré par la main à son âge. Sous la demande de Maelgion, il essaya d'accélérer le pas, s'excusant timidement. Ce n'était pourtant pas de sa faute ! On croirait que son frère était poursuivit par une goule !

"Oui, je sais... Pardon !"

Il faisait de son mieux pour ne pas retarder son frère. Sur le chemin, il repensait au fait à être tiré par la main. Même si cela le gênait, secrètement, ça le rassurait. Les rues étaient souvent bondés, et pas que par des Saints, mais des gens a priori assez sombre, physiquement. Lenen savait aussi plus ou moins que ce n'était pas forcément la ville où l'on était le plus en sécurité. Mais tant qu'il avait son grand-frère avec lui,il se sentait bien et rassuré.

"C'est encore loin, dis ?"

Il avait demandé cela avec sa voix effectivement loin d'avoir mué, respirant l'innocence. Lenen avait hâte de pouvoir enfin s'allonger quelque part, ou même juste s'asseoir; que c'était dur de devoir rester debout, et encore pire de marcher aux côtés d'un grand-frère très énergétique !

I-Partie 2
Jake et son père marchaient dans la rue mais c’était son père qui menait Jake ne sachant même pas pourquoi ils étaient sortis. Le soleil commençait à peine à se lever et la brume du matin commençait à disparaitre mais déjà des femmes sortaient pour étendre leurs linges et des hommes ou des vieillards sortaient devant leur porte ou se montraient sur les fenêtres pour profiter des premiers rayons du soleil dans cette partie de la ville tout le monde se connaissaient c’était soit des amis de longue date soit de la famille ce qui en revenait au même après un certain temps car des liens s’unissent. Jake et son père furent salués par ces gens qu’ils connaissent tous deux bien même si ce fut surtout son père car Jake n’était pas très bavards avec les autres ni même sociable pour cause les autres enfants ne l’aimait pas tellement car il était différent des autres, il ne priait aucun Dieu et regardait à peu près tout d’un regard froid ou avec trop d’attention et ce même si c’était des morts ou des choses qu’il fallait éviter de voir.

(Les gens ne comprennent pas que j’analyse ce que je regarde en mettant de côté mes sentiments pour bien tout saisir. Pourtant si les gens discutaient avec moi il sauraient que je suis aussi une………)

Son père arrêta ses pensées en disant tout en fessant un virage sur un croisement de la route :

Ne t’inquiète pas pour ta mère et ta sœur je leur ai laissé un petit mot.

Jake sourit, il savait que son père était nul pour laisser des mots d’ailleurs pour des discussions intellectuelles aussi. IL a surement écrit un mot du genre : «  Moi et Fils sortir  » habitude de l’armée peut-être mais marrant tout de même. Des fois Jake se demande comment il a fait pour être avec sa mère.

Qu’est ce qui te fait sourire ? Demanda l’intéressé d’un air intriguer.

Non, rien. Répondit Jake l’air innocent.

Son père fut piqué par la curiosité de savoir ce que c’était, d’ailleurs il n’aimait pas qu’on lui cache des choses derrière son dos et fixa son fils avec assistance droit dans les yeux. Pour éviter des explications et changer de sujet Jake demanda :

Tu m’as dit que ton cadeau a un rapport avec mon avenir de quoi tu voulais parler je ne comprends pas.

Ah !! C’est ça qui t’a intrigué. C’est simple tu te rappelles quand vous avez passés le rite de passage toi et ceux du même âge que toi il y a trois mois.

Jake hocha la tête, pour s’en souvenir il s’en souvenait ce rite est une coutume de son peuple tous ceux ayant 18 ans ont passés se rite pour devenir adulte. Et vers leurs 19 ans chacun choisi de ce qu’il veut faire rester avec sa famille ou fondés la sienne.

Maintenant que tu as passé se cape tu vas pouvoir choisir ce que tu veux faire. C’est être guerrier n’est-ce pas ?

Son père ralentie le pas et avait des sueurs froides en pensant que son fils refuse pour devenir magicien ou autre chose.

Oui, bien sûr !!

Et bien alors il te manque quelque chose de capital dit-il soulagé que son fils suive ses pas.

Ah !! Quoi ? demanda Jake intrigué.

Le fidèle ami d’un guerrier et son plus grand confident son arme.

Puis il eue un silence d’ailleurs la partie de la ville où il marchait était desert les routes commençaient à se serrer. Chacun des 2 hommes étaientigilants car ce quartier était le lieu de prédilection des voleurs, des assassins, des escrocs, et d’autres être malveillants de tout genre chacun savait à sa manière que c’était dangereux de se promener dans les rues étroites par expérience Jake car il connaissait la ville depuis son enfance et forcément était allé partout et son père car les soldats connaissait que les pires ennemies de leurs contrée s’y cachent

D’habitude tu ne vas jamais ici, d’ailleurs le marchand d’armes n’habite pas ici même si c’est un habituer. Je suis même étonné que tu ailles y acheter une arme.
C’est simple, répondit son père tout en gardant sa main sur son fourreau alerte, on va te procurer une arme mais pas chez ce voleur de Maniork beaucoup de ses clients se sont plaints de ses escroqueries toutes manières je le déteste. On va chez un ami à moi qui aime collectionner des armes tu pourras y choisir le tien.

A peine ses mots furent terminés qu’ils s’arrêtèrent devant une maison assez sombre et ancien.Son père frappa à la porte, qui s’ouvrit en quelque secondes, et y pénétra avec Jake.

==>les habitations

I-Partie4
La porte se ferma dérrière Jake. Celui-ci fut intrigué par les mots que venaient de dire le vielle homme. Son père voyant son fils pensif dit :

Ne t'inquiète pas de ce qu'il t'a dit tu sais il dit souvent des choses incompréhensibles, alors tu viens. On nous attends à la maison.

Oui, mais pourrais tu y aller seul. J'ai encore quelque chose à faire.

D'accord mais rappel toi, c'est toi qu'on veut voir pas moi.

Oui, juste le temps de faire un détour.

Puis le père de Jake hocha la tête et partit par la route qu'ils avaient empruntés auparavent tandisque Jake pris la direction du port, tout en portant son katana de la main gauche.
Cette fois-ci les ruelles fourmillaient de gens et ceux de tout genre et de toute espèce,généralement des humains Varockien majoritairement, mais il y avait aussi parfois des elfes, des hobbits, des orcs, et tout ce que Yuimen notre monde commun pouvait avoir comme être vivant doté de conscience même si ceux ci était peut nombreux à Eniod qui d'ailleurs est un térritoire dominé par les humains. De ce fait dans les rues, on voyait des humains se promener ou occuper à ses tâches plus souvent qu'une autre espèce à Eniod. Jake se dirige vers les quartiers des nobles puis il vit un jeunne homme à peut prêt de son âge mais plus grand que lui avec deux de ses camarades, Jake n'était jamais allé de ce côté de la ville mais cette fois il avait une arme donc il n'avait plus à craindre de ce faire tabasser par ces malfrats car maintenant il avait de quoi se défendre. Dans sa tête Jake se mit à rire.

Malfrat...C'est comme ça qu'ils appellent touts les enfants pauvres. Pourtant, c'est eux qui nous tabasses et on ne peux rien dire ni agir. Sinon leur parents nous mettent en prison pour avoir toucher à leur enfants. Mais cette fois, il ne me mettrons pas en prison car demain je vais partir alors ils pouront toujours courir.

Jake regarda les trois hommes qui marchaient vers lui. Jake regarda celui du milieu. Orion, un grand blond aux yeux bleus, assez large d'épaule, il était l'oposé de Jake, les gens aimaient Orion comme ils détestaient Jake, on disait qu'un jour Orion serait un héros ou un roi comme on racontait que Jake était le profil exacte d'un voleur ou d'un mendiant. Orion annonca avec des rire :

Alors, tu veux qu'on avance ta raclé. Oh!! mais que vois je une épée,
tu as du cran à ce que je vois. Bien alors voyons si tu sais t'en servir pour équilibrer le combat je vais utiliser ma main gauche

A ces mots, Orion sorti une épée dont le forreau était sur son dos puis il se mit en garde. Jake compte à lui n'avait rien dit à force d'être seul on s'habitue au silence mais Jake tremblait Orion était un bon épeiste alors que lui n'avait fait que des théories et s'entrainnait avec un bout de bois. Cependant Jake serra la manche de son katana et positionna l'arme en verticale pour plus facilement la dégainée car il fallait l'avouer Jake n'avait pas de ceinturon où mettre son fourreau donc il tenait le katana par la main droite et son fourreau par celle de gauche. A peine Jake eut dégainé son arme qu'Orion attaqua, Jake ne put que faire un bond en arrière et l'épee d'Orion pasa la où était sa tête auparavant. Après Jake n'eue pas l'oportunitée de s'élancer ni de se défendre et encore moins de riposter. Jake fit un rapide bond en arrière seul mouvement possible car la lame d'Orion passa là où était la tête de Jake. Celui-ci en eut le souffle coupé puis il dus encore faire plusieurs pas en arrière car Orion lancait une série d'assaut. A chaque coup Jake fallit se faire happer par la lame. De toute évidance, il n'avait pas l'habitude de ce genre de combat et devoir tenir son fourreau n'aida pas Jake à mieux se déplacer mais il reniait à la jeter par terre ce serait comme déshonnorer le maitre de son père qui le lui avait offert. Puis une éteincelle brilla dans les yeux de Jake et à ce même moment Orion attaqua de nouveau en verticale, ce fut à ce moment que Jake para le coup avec son fourreau puis frappa avec son katana mais il ne fut pas au bout de ses surprises car le fourreau reussi à faire dévier l'épée d'Orion mais cela eut pour effet de foullet le bras gauche de Jake qui tennait tout de même malgré la violence du choc tandisque la main doite de Jake ne pus
atteindre Orion qui avait bondit à 2 mètres pour éviter le coup et une suposée suite. (Si je ne l'attaque pas maintenant, il reprendra son souffle car il ne le laissera pas le temps d'attaquer. C'est le moment ou jamais.

Jake prit une grande respiration et serra la garde de son katana, puis il positionna ses deux mains dérrière lui, et brusquement Jake fit des pas rapides vers Orion et sauta pour frapper Orion verticalement, celui-ci parus étonné par l'attaque et au moment critique où la lame allait toucher sa cible deux lames formèrent une croix en forme de X sur la tête d'Orion. Celui ne sembla d'ailleurs pas du tout troublé par l'attaque de Jake. Jake ne put que regarder les deux camarades d'Orion qui au bout du compte sont ses gardes du corps car en les regardant bien Jake remarqua qu'il ne les avait jamais vues près d'Orion de plus ces deux hommes maniaiemt leur lames comme de vraie proffessionnelle. Le sang de Jake ne fit qu'un tour et il palit. Comment pourait-il affronter deux maitres d'armes alors qu'il ne pouvait même pas tenir tête à un seul. L'un des gardes d'Orion repousa le katana de Jake d'un coup habil tandisque l'autre d'un coup rapide attaqua en diagonale pour toucher le ventre de Jake. Jake en fus sauver en bandisant en arrière manquant de trébucher puis il reussi à se maintenir en équilibre mais le problème de Jake resta entier un contre trois serait signés sont arrêt de mort pour Jake. Quand soudain Orion s'avanca loin du champ de protection des deux gardes qui sourcillèrent en voyant leur protégé se mettre volentairement en danger et dire :

Laissez moi respirer mon père vous à peut-être engager pour me protéger et m'éloigner de mes camarades mais vous ne m'empêcherais pas de me battre.

Sur ceux Orion attaqua Jake par une attaque visant son ventre mais cette fois Jake vit le coup venir et tout en parant le coup il recula d'un bond pour prendre son élan et positionner son arme horizontalement pour ensuite fendre sur son adversaire en visant le coeur. Orion comme entrainné à ce coup fit un pas de côté et frappa la lame de Jake avec assez de force pour l'envoyer à trois mètre de Jake. Jake allait courir vers son arme quand une lame s'immobilisa sur sa gorge. Cette fois Jake en était sûre, il avait perdus. Orion le fixa droit dans les yeux et dit :

T'es qu'un faible. Tu ne reussiras jamais rien, tu as de la chance puisque c'est ton anniversaire aujourd'hui je ne vais pas te rouer de coup, mais la prochaine fois je te referais le portrait soit en sûre.

Quand Orion finit ces mots il partit avec ses deux gardes du corps sans jeter un regard à Jake qui était resté immobile fixant son katana sur le sol quand il fut seul une larme coula sur sa joue et il versa des larmes. IL pensait pouvoir vaincre Orion dans ce duel pour prouver qu'il était aussi un bon combatant et gagner le respect des gens mais il avait échoué. Puis Jake éssuiya ses joues et pris son katana pour la rengainner dans son fourreau, et il se fit une promesse :

Je... Je ne m'arrêterais jamais de réessayer tantpis si j'échoue mais la prochaine fois que je reverais Orion, je le battrais lui et ses amis peut importe si ils seront trois ou dix je les battrais.

Puis Jake couru pour s'éloigner des pas qu'il entendais car des gens avaient sûrement prévenue la milice. Mais Jake était déjas loin il connaissait la ville comme sa poche.

Le soleil commencais à se coucher déjas le ciel était orange-rouge, Jake arriva enfin dans son quartier d'ailleurs il avait dus aller un peut partout pour semer les miliciens et en multipliant ses traces de pas. Jake sourit, ce n'était pas la première fois car enfant il avait été un vilain garnement, puis il vit sa maison et trouva étrange que la porte fut grande ouvertre et il y pénétra.

I-partie6
Jake sortie de sa maison, il ne se retourna pas même si ce serait la dernière fois qu'il la verais. Jake pris la direction du port puis voyant que personne ne le voyait, il prit une embouchure pour changer de direction et aller vers les portes de la ville.