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Nom : Odalie Landois
Classe : Voleuse
Race : Humaine (Kendrane)
Age : 18ans
Description physique et de la personnalité: A sa silhouette fine et élancée, à sa démarche souple et légèrement chaloupée, on reconnaît immédiatement en Odalie une danseuse. Ses vêtements composés de multiples voiles colorés accompagnent et soulignent gracieusement chacun de ses mouvements. Tandis que quelques colliers glissants doucement vers ses seins mettent en valeur son audacieux décolleté.
La plupart du temps elle laisse sa longue chevelure brune flotter librement derrière elle ce qui lui donne un peu l’air d’une sauvageonne. Impression qui n’est d’ailleurs pas complètement fausse. En effet la jeune fille possède un esprit d’indépendance et un goût pour la liberté des plus prononcés. De plus, fière et têtue comme savent l’être ceux de son peuple, elle ne laisse rien ni personne lui dicter sa conduite. Cette attitude lui à parfois et même souvent attirée des ennuis. Passionnée, elle est capable d’agir sur un coup de tête et de s’en prendre à plus forte partie sans réfléchir uniquement pour ne pas se laisser marcher sur les pieds ou simplement parce qu’elle ne sait pas dire non à un défi.
Espiègle, agile et rusée, elle a vite appris à se servir de ses divers atouts pour parvenir à ses fins. On se méprendrait en croyant que vivre dans la rue à entamer sa bonne humeur et sa joie de vivre. Un perpétuel sourire vient têtue illuminé son visage et faire briller ses yeux verts d’eau un peu plus clairs que ceux de la majorité des Kendrans. Amoureuse de la vie, elle aime la fête et c’est une bonne vivante qui sait profiter des plaisirs de que lui offre l’existence. C’est peut-être aussi pour cette raison qu’elle a choisit de vivre ainsi, car c’est les jours de fête et près des endroits où l’on s’amuse qu’elle gagne le mieux sa vie.[/b]
Biographie (résumé) : Odalie a vécu une enfance relativement classique pour une Kendrane. Ses parents étaient tous deux de riches commerçants qui avaient fait fortune dans la vente de tissus de luxe. Elle et ses frères aînés Erian et Josua ont reçu une éducation raffinée et éclectique. Ils ont ainsi étudié la musique, la littérature, la peinture, les mathématiques, la grammaire, la rhétorique, la géographie, l’histoire. La jeune fille montra vite un certains talents pour la danse, la musique et le chant. Elle apprit aussi quelques rudiments d’art martial en assistant en cachette aux cours donné à ses frères. Pour elle danse et combat n’étaient qu’une seule et même matière : une chorégraphie savante destinée soit à séduire soit à tuer.
Leur résidence principale se trouvant à Kendra-Kâr, les Landois ne se séparèrent pas de leurs enfants quand ceux-ci atteignirent l’adolescence Erian et Josua reçurent tous deux une formation classique en politique et dans maniement de l’épée.
On renonça bien vite à envoyer Odalie servir dans un temple tant elle montrait peu de goût pour la religion et la prière. Elle resta donc au près de ses parents. Ces derniers engagèrent un précepteur qui avait pour mission de parfaire les qualités de la jeune en matière de musique et de danse, mais aussi de lui inculquer le sens des bonnes manières et du protocole. Les marchands destinaient en effet leur fille à un grand mariage et ils espéraient, par ses qualités, attirer un époux noble et fortuné dont les réseaux pourraient servir ceux de la famille.
Cependant lorsqu’Odalie eu 15 ans, tout cela changea. Après plusieurs investissements malheureux et la perte d’une de leur cargaison en mer, ses parents furent ruinés. Tous leurs efforts pour rétablir leur situation furent vains et leurs anciens amis leurs tournèrent le dos. Ne supportant cette déchéance Olderic Landois se donna la mort. Quelques mois plupart Céleste mourut des suites d’une longue maladie.
Après une enfance et une adolescence dorées, l’avenir de la jeune fille s’annonçait donc bien noir. Mais c’était sans conter sur le travail et la persévérance de ses frères. Peu à peu, à force d’acharnement tous deux parvinrent à refaire fortune. Ce ne fut tout d’abord que quelques sous, de quoi nourrir la famille. Puis ils parvinrent à apporter à leur foyer un peu d’aisance. Erian se spécialisa dans le commerce des épices tandis que Josua reprenait la tradition familiale de la vente d’étoffe.
Reconstituant lentement, mais sûrement les réseaux de leurs parents, les deux jeunes gens voulurent alors marier leur sœur pour servir leur plan. Le futur mari était un moins bon parti que ce que celui qu’Olderic et Céleste envisageaient pour leur fille. Toutefois il s’agissait tout de même de l’héritier d’une affaire de produits cosmétiques tout à fait fleurissante. En bref un époux bien au-dessus de tout ce à quoi Odalie aurait pu prétendre dans ce contexte.
Seulement c’était sans compter sur l’esprit d’indépendance de la jeune fille : elle refusa d’épouser cet homme qu’elle ne connaissait pas et qu’elle n’aimait pas. Elle refusa de devenir une bonne épouse au foyer, un objet d’ornement, un faire-valoir pour ses frères et son époux. Elle était une artiste, elle voulait devenir musicienne et danseuse. Il était hors de question que d’autres décident de son destin. Ses frères qui s’apprêtaient eux aussi à faire des mariages stratégiques ne comprirent pas les réticences de la demoiselle, son refus de contribuer au renouveau de leur famille. A bout de patience, ils lui fixèrent un ultimatum soit elle épousait le jeune Félix Dépreux, soit elle trouvait un meilleur parti, soit elle quittait immédiatement leur domicile.
Têtue comme une mule et fière comme en paon, la rebelle ne se le fit pas dire deux fois. Sans plus réfléchir aux conséquences de ses actes, à tout juste 18 ans, elle quitta la belle demeure que le labeur de ses frères leur avaient obtenu. Elle n’emporta avec elle qu’un peu d’argent, les vêtements qu’elle portait et un modeste poignard de fer qui avait jadis appartenu à son grand père maternel qui était tout sa vie demeuré un aventurier et une âme libre.
Bien vite le contenu de sa bourse se trouva épuisé et elle commença alors à voler pour vivre. Elle avait pour politique de ne voler qu’aux riches et payait ses larcins par les distractions qu’elle offrait en échange. En effet Odalie avait su mettre à profit son talent pour la danse et c’était lors de ses représentations de rues que les spectateurs les plus fortunés et les moins généreux se voyaient tout à coup et en tout discrétion alléger de leur bourse. C’est d’ailleurs ainsi que la jeune chapardeuse obtint par hasard une cape de dissimulation elfique qui promettait de lui être très utile à l’avenir.[/b]
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Armes et bouclier :En main principale : poignard en fer
En main secondaire :Armure(s) :
Protection pour le torse :Protection pour la tête :Protection pour les jambes :
Protection pour les bras :
Cape : cape elfique de dissimulation
Bijoux Magiques : -
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Sac (Encombrement = 0/20) :-
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Or : 50 Yus
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Magies Acquise(s) :-
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Capacités de combat (CC) :- Dérober
CC sans arme acquise(s) :-
CC avec arme acquise(s) :-
CC avec arme de jet acquise(s) :-
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ville de départ : Kendra-Kâr
Croyances :- Dieu vénéré : aucun
- Dieu(x) prié(s) régulièrement : Gaïa, Kubi, Yuimen
- Dieu(x) haïs : Tous les dieux d’alignement mauvais
- Dieux non reconnus : aucun
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