Inscription: Lun 30 Mar 2009 16:03 Messages: 225 Localisation: Infinitésimalement quelque part.
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[ Les Rues de la Cité ]Ils avançaient dans le semblant de population se tramant ici et là pour arriver vers le château Hartefeld, l'imposante demeure du vieux roi de Yarthiss. Les deux gardes stoïques étaient comme des automates et Llewelyn en riait dans son fort intérieur tout en pensant que par le biais des deux colosses il pu sans souci et sans ennui traverser la ville. Il voulait rentrer dans ce château pour des raisons certes obscure pourtant il y avait quelque chose pour lui dedans, une information, un début. Inconsciemment il se félicita encore une fois d'être parvenu au château rapidement, dès qu'ils passèrent l'énorme herse les deux larrons de la ville poussèrent Llewelyn non loin de la caserne pour écouter son récit.
La gigantesque demeure est à la fois d'un esthétique grotesque et ancien, genre de bâtiment vestige dont la beauté est égale à l'intérêt que la personne y porte. Le mage néophyte y prêta un intérêt plus qu'incertain. Heureux et enthousiaste mais aussi perplexe à son futur jugement. Les couloirs étroits ,où de sombre armoiries se tiennent fébrilement, sont en puissances dans le bâtiment mais aucun n'est régulier ce qui provoqua une amère impression de créer un détour inutile vers la chambre d'interrogation.
Il y arrivèrent, Llewelyn prit place avec un des deux gardes tandis que l'autre resta debout. D'une voix roque et puissante le garde assit commença l'interrogatoire. « Alors, identité complète ainsi que la raison pour laquelle vous êtes venu à Yarthiss je vous prie.»« Je me nomme Llewelyn Vermelh, je suis venu à Yarthiss pour chercher un peu de travail et aussi pour visiter les forêts, on dit qu'ils s'y trame quelque chose. »« Bien. Pourquoi avoir agresser un civil non loin de l'enceinte de la ville ? »« Parce que je ne l'ai pas agressé, je l'ai assommé magiquement, cette personne était un danger pour la population et pour lui même. Le laisser en liberté en pleine début de mâtiné, vous devriez me remercier. »« Vous êtes un petit drôle, néanmoins votre version tient debout. C'est moi qui l'ai jeté aux portes de la ville, il menaçait de brûler l'auberge ! Oui, car les êtres vert craignent le feu, il n'arrêtait pas de crier cela. »« Les êtres vert? » répéta Llewelyn en cherchant longuement dans sa tête. « Il y a des elfes sylvains ici ? » « Ma foi, c'est fort possible, ces choses là grimpent à chaque branche et si il y a une branche, il y a des arbres et qui dit arbres pense à forêt et donc ils sont là » Répondit le garde un peu plus à l'aise et tout à fait moins sérieux qu'au début de la conversation.« Merci bien, c'est possible mais vos activités économiques sont bien le bois, non ? »« Oui, oui, vous pensez que cela a un rapport ? »« Je ne sais pas, et sinon, je risque quelque chose pour mon incident ? » ( oui, ça j'aimerais bien savoir. Bien sûr que cela à un rapport crétin fini ! )« Oh, bon, vous êtes nouveau, je suis sympathique, je vous laisse à condition de ne pas faire ça dans la ville même, là vous risquez une amende ! »« Je vous remercie mon brave, je pense me mettre en investigation sur les bizarreries de cette ville. Aurais-je le droit de vous poser d'autre question ... plus tard ? »Le garde se mit à rire en même temps que l'autre garde, ne voyant visiblement pas son intérêt ici attendit l'autre à la porte.« Oh, vous ne vous êtes pas gêné alors vous avez le droit !Allons ! Je vous libère, d'autre action plus importante que vous à régler moi. »« Bien. » Llewelyn se leva doucement puis salua le garde vivement avec un sourire assez ambiguë. Il pensa à pire mais se réjouit de n'avoir rien eu. Cette affaire de forêt, elfes sylvains et de bûcherons l'intrigua.
En même temps les deux gardes se remirent à discuter entre eux le second attendant l'autre demanda au premier.
« Euh, pour le guérisseur et le témoignage ... je ... je n'en avais pas trouvé de guérisseur ! »Le premier garde, perplexe, se gratta l'oreille gauche en rétorquant.« Qu'est-ce que j'ai vu alors au loin en sortant ?»( Tout est lié de toute manière, si je ne suis ici pour cela, je serai quand même ici pour cela. Ils ne m'ont pas vu, donc, je suis sauvé. Doublement sauvé. Mais qui donc embarqua ce jeune homme soûl ? Vite partons. ) En sortant, il avait remarqué la carte de la ville près du château, il profita donc pour noter les lieux, en particulier l'auberge de l'au delà. Après ce petit exercice de mémoire, il s'y précipita dans la vive conviction d'y trouver quelque chose.[ Les Rues de la Cité ]
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