J'aimerais ajouter cette bestiole au bg de Yuimen.

Aspidochélon

Je pourrais juste décrire ça comme une grosse baleine avec une île sur le dos mais j'aimerais quelque chose qui donne vraiment envie de se lancer à l'aventure. Une motivation pour aller les rechercher. Mais j'ai aucune idée de ce que ça pourrait être
Du coup je suis ouvert à toutes les idées ou pistes que vous pourriez me donner

utilise ça pour un archipel légendaire avec une civilisation disparue ou d'hommes-poissons?

l'archipel se balade autour du monde suivant les mouvement du troupeau de baleine et ne passe près des terres déjà connues que toutes les X années donc c'en est resté au stade de légendes de marins

et apres t'a plus qu'a voir avec heartless pour qu'il t’emmène ^^

L'idée qu'on puisse trouver les vestiges de civilisations disparues me plait bien. On alors une peuplade qui aurait évolué en fonction de leur hôte. On peut imaginer des sortes de gardiens vivants en harmonie avec la bestiole en formant une sorte de symbiose.

Mais encore, il manque le truc qui fait que l'endroit est vraiment attrayant. Et si on part sur une civilisation éteinte et/ou des gardiens faudrait savoir de quoi il s'agit aussi. Après pour l'idée d'un déplacement cyclique je suis un peu moins emballé. Je ne suis pas sûr que ça apporte beaucoup au final. Si les créatures se déplacent de manière aléatoire dans l'Aeronland, vu la taille de ce dernier, ça explique pourquoi elles sont restées à l'état de légende.

Par contre faudrait aussi justifier pourquoi y en a pas des masses encore en vie. Je doute que les gm acceptent qu'un millier de petites îles pop soudainement sur Yuimen ^^

Un truc attrayant ? Une civilisation en avance sur son temps type Atlantide, des artéfacts divins, ou des cités d'or style eldorado ? C'est prêt pas ce qu'il y a de plus original mais on a bien notre propre version de la table ronde alors pas de raison que ce soit refusé ^^

Bah le déplacement cyclique fait que pour y aller tu as une chance toutes les X années que tu peux pas te permettre de manquer à cause du temps de cycle car sinon les îles sont trop loin pour que des marins acceptent de tenter l'aventure.

Pourquoi y'en a pas des masses ? Soit pas découvertes soit ces animaux vivent des millénaire et n'ont aucun prédateur donc le cycle de reproduction est hyper grand
(Certifié par la science, les grands animaux qui vivent très longtemps avec très peu de mortalité infantile font moins de petits et moins souvent)

Faudrait un truc commun à toutes les créatures. C'est compliqué de justifier que sur chacune d'elle une cité d'or se soit construite ^^

Je pense pas qu'elles puissent être vraiment trop loin. Y a pas d'endroit inaccessible dans l'Aeronland pour les marins. Après en effet pour pouvoir les localiser c'est plus pratique que de devoir quadriller tous l'océan mais bon... Je suis sûr qu'on peut trouver un truc plus sympa qu'une date de rendez-vous. En fait ce qui m'ennuie avec ça c'est que n'importe qui pourrait y aller pour peu qu'il se soit trouvé par hasard au bon endroit au bon moment. Je préférais que même trouver la bestiole soit un défi en soit! Je sais, je suis chiant, désolé

Je suis pour une grande longévité. En plus ça justifie comment la vie et éventuellement des civilisations ont pu se développer sur leurs dos

Je trouve ça triste de devoir avoir la même chose partout, si c'est pas le cas ça fait loterie et explique que sur les plus petites il n'y aurait rien...

Sinon tu pars sur un minerai qui ne se créé que dans leur carapace comme ça y'en a sur tous

J'ai eu une idée, je serais content d'avoir ton avis

Les aspidochélons seraient les enfants directs de Moura et Yuimen, une sorte de réconciliation après la bataille du désert de l'est de l'Imiftil. Ils incarnent à la fois le foisonnement de la vie et la force colossale. Tout va bien jusqu'au moment où Zewen demande aux dieux de quitter le monde des humains et que ces bestioles soit également dégagées.

Moura et Yuimen supplient pour qu'elles puissent rester, argumentant que si elles devaient partir toutes les créatures vivant sur elles mouraient. Zewen finit par céder mais place tout de même une malédiction sur les bêtes. Le temps s'écoulera beaucoup plus rapidement pour elles et tous leurs habitants. Ainsi lorsqu'un jour s'écoule en dehors, c'est un mois qui passe sous l'influence de ce maléfice.

Moura organise un grand banquet pour remercier Zewen mais il s'agit en réalité d'un subterfuge pour distraire son attention. Yuimen en profite pour trouver sa sœur Gaïa et ensemble ils fabriquent deux éclats de vie pure (un truc à base de lumière, à voir). Tandis que Yuimen rejoint le banquet juste à temps pour que Zewen ne se doute de rien Gaïa ira cacher les éclats dans les carapaces des aspidochélons. Elle ira à son tour au banquet et le tour passera inaperçu.

Le maléfice est toujours en place mais grâce à la magie de Yuimen et de Gaïa les créatures mythiques et tous leurs habitants se trouvent dotés d'une durée de vie décuplée. Ca compense en quelque sorte le temps accéléré. Plus tard pendant le banquet, Zewen finit par céder aux demandes de Moura et Yuimen. Il crée deux reliques capables de détruire son sort, cependant elles ne pourront être maniées que par quelqu'un que lui-même jugera digne. Ignorant qu'il a été dupé, il est persuadé que les bêtes mourront avant qu'un tel être se présente. Il cachera ses créations dans deux endroits connus de lui seul.

Les divinités les chercheront avec acharnement dans tous les mondes pendant des siècles, en vain. Zewen se doutant que son pouvoir serait convoité a caché ses créations dans un endroit où lui seul peut avoir accès, pas dans l'espace mais dans le temps. Moura et Yuimen créeront douze compas qu'ils distribueront à leurs fidèles. Ils pointent en permanence vers l'un de leurs deux enfants.

Trouver l'une de ces créatures c'est accéder à un endroit quasi hors du temps. Pour quiconque sous l'emprise du sortilège le monde extérieur apparaît presque comme figé. Les jours durent, comme les nuits, durent deux semaines. Grâce à la magie de Gaïa et Yuimen le vieillissement n'a également quasiment presque pas d'emprise. Sur l'île il y a de nombreuses plantes et créatures imprégnées de cette magie qui pourrait garantir une vie quasi éternelle à celui qui les trouve. Des fontaines de jouvence et ce genre de choses sont également présentes.

Cependant la faune des lieux et beaucoup plus "puissante" que sur le continent. Les créatures vivant beaucoup plus longtemps sans vieillir sont incroyablement fortes, intelligentes et rapides par rapport à leurs homologues continentaux. Que ce soit sur la carapace des aspidochélons ou dans les eaux avoisinantes.

je trouve que ça fait beaucoup de trucs d'un coup, les compas soit pourquoi pas mais les créations cachées dans le temps pour annuler le sort... ça fait beaucoup surtout qu'il n'y a aucun intérêt à introduire les créations de zewen si ce n'est pour les découvrir... ton perso s'apparente il à un pretre de zewen en lui ayant dédié sa vie depuis aussi loin que sa mémoire remonte?

Apres personnellement j'ai toujours eu un probleme avec la magie, dans tous les univers, j'aime pouvoir trouver des explications autres que "tgcm" c'pour ça que mes persos seront tous des physiques pures, donc forcément avec la quantité de magie engagée dans ton histoire, ça me plait moins.

Il faut comprendre une chose, les enfants.

Une créature du bestiaire, ça s'affronte. En faire un lieu ou une particularité de Yuimen, pourquoi pas. A toi de creuser le BG et le devenir de cette île vivante. Mais j'ai beaucoup de mal à croire que quelqu'un puisse triompher de quelque chose de la taille d'une île.

EDIT : je vois que la discussion ne semble pas vraiment y faire allusion, mais du coup, le titre est trompeur.

Je ne pense pas que l'on peut ajouter de créature unique dans le bestiaire de toute façon. Il faudrait se concentrer sur la création d'un lieu "vivant" et "mouvant".

Alors non pas du tout mais on est pas obligé de créer du bg directement pour son perso je pense. Ce qui s'est passé en fait c'est que j'avais fais une première écriture de mon idée mais qu'après une fausse manip je l'ai effacée. La relique pour contrecarrer le sort était justifiée par le fait que cela permettait de récupérer l'éclat de vie sans pour autant nuire à l'aspidochélon. Une fois le maléfice rompu le cristal pouvait être récupéré sans mauvaises conséquences. Arracher le joyau sans défaire le maléfice avant reviendrait à condamner la créature. Après c'est vrai que du coup ça fait beaucoup. On peut rajouter dans la légende que le maléfice a été rompu bien plus tard par un aventurier lambda. Du coup la bestiole continue de se balader sur Yuimen mais le maléfice et le cristal ne sont plus dessus. Il resterait tout de même des traces de ces anciennes magies (plus longue longévité, créature plus puissante, plantes aux effets rajeunissants...) et éventuellement une relique laissée par l'aventurier qui a libéré la bête.

Du coup ça fait un peu moins de magie puisque presque tous passe dans la légende
En tout cas merci pour ton point de vue. Je suis d'accord avec toi pour le TGCM mais j'aime bien la magie malgré ça. Surtout que dans ce cas il s'agit pas de justifier un truc bancale par la magie mais de créer une légende.
Bah pourquoi pas. On peut supposer qu'après être parvenu sur le dos de la créature on peut tenter de se forcer un passage pour la tuer de l'intérieur. Le combat serait plus contre les créatures de l'île cherchant à défendre leur hôte mais du coup sa taille n'est pas forcement insurmontable. Après c'est sûr que si tu tentes un assaut frontal tu risques d'avoir des problèmes ^^

Yep tu as raison pour le titre, c'est ma faute. A la base l'idée c'était vraiment de faire un truc pour le bestiaire mais je me suis un peu (beaucoup?) emballé sur l'histoire. Aide pour le BG serait plus approprié maintenant.

L'un n'empêche pas l'autre. Valider le lieu vivant serait au final valider la créature unique et vice versa. C'est juste la question de dans quel sujet mettre le truc à la fin si validé et la encore, l'un empêche pas l'autre

Le combat ne serait donc pas contre la bête en elle-même. C'est le point que je veux souligner. Bien sûr, travailler l'idée comme un lieu unique davantage que comme un monstre à tuer, c'est plus tentant.