Hum, j'aurais besoin d'un petit conseil sur un couple de phrases dont je ne suis pas certain de la compréhensibilité...
Petit résumé du contexte :
Un groupe de fidèles de Phaïtos et un de fidèles de Thimoros voyagent ensemble. Pour tenir ses hommes qui veulent foutre le bordel partout, le "chef" du groupe des fidèles de Thimoros fout régulièrement sur la gueule de ses propres hommes pour les tenir pendant que les fidèles de Phaïtos n'ont d'autres choix que de rester là à regarder.
Voici donc la phrase en question :
Citation:
Goetius était énervé d'un tel déploiement de force, du bruit et du ralentissement qu'il engendrait. D'autres semblaient amusés, raillant dans leur tête l'imbécilité des fidèles de Thimoros ou s'enivrant d'un sadisme cathartique à chaque coups administrés comme s'ils furent les leurs.
La seconde phrase en particulier, je n'arrive pas à savoir si elle est bien tourné ou pas.
Ah et pour ceux qui ne comprendrait pas le mot "cathartique", c'est un synonyme de "purgatif/purificatoire/libérateur".
Voilà donc, pour savoir si c'est clair ou pas...
_________________
Playlist de Goetius Gomorrheus
Méléagant, le personnage l'ayant inspiré
Écoutez-moi bien.
Je suis Goetius Gomorrheus, le nécromant, l'élu de Phaïtos et de Zewen, le prophète qui va rendre au monde son silence originel.
Croyez-vous vraiment que rien de pire que la mort ne puisse vous arriver, à vous et à votre famille ?
D'un geste, je pourrais les ramener à la vie, en faire des pantins soumis à ma volonté jusqu'à la fin des temps. Ils ne rejoindraient jamais le repos des enfers. Leurs âmes disposées à ma jouissance, dépossédées de volontés, pourriraient petit à petit jusqu'à totalement oublier qui ils furent. Ça, c'est ce qu'il arrivera si vous ne faites pas exactement tout ce que je vous ordonne.
Et, si vous avez l'audace de croire que me tuer résoudrait votre problème, regardez donc mon cou.
Vous la voyez, cette cicatrice, qui longe ma gorge ? Le vestige d'un combat qui aurait dû m'être fatal.
C'est un témoignage des dieux. Ils ne veulent pas que je meure.
Désormais, que vous le vouliez ou non, vous m'appartenez. Et mon premier ordre sera :
Faites silence.